Voyons, aujourd’hui, ce que l’on peut apprendre de l’influence de la secte FM. Sous la IIIème République au sein des partis.
Publié le 30.4.2023
Les aveux des frères 3 points sur ce fait indiscutable sont assez éloquents quant au pouvoir de nuisance de la F.-M. sur la sacro-sainte…”démocratie”.
«Je supplie mes F.-M. qui voudraient que la Maçonnerie se livre parfois à des manifestations extérieures, de prendre garde que notre Ordre ne peut conserver sa force et sa valeur que s’il maintient son caractère secret. Le jour où nous aurons perdu notre caractère spécifique “qui tient à notre discrétion et à notre secret, notre action dans le pays sera terminé” – (Applaudissement) – (Convent G.O. 1929, p201-202)
“Le secret maçonnique, c’est la source de notre puissance” – (Convent 1921, p. 407)
“L’État, c’est nous !” s’écriait le F.M. Geyer, – Convent 1898
Qu’en est-il des frères et de leur représentation issue du suffrage universel ?
Ils devraient se conduire en F.-M. d’abord, en parlementaire, ensuite :
“Lorsque un frère est élu, il a le devoir impérieux de se rappeler encore qu’il est Maçon et agir toujours en F.-M.” – (Convent du G.O. 1928, p.255)
“S’il est député, il est responsable devant ses électeurs, mais il l’est aussi vis-à-vis de nous ” – (Convent du G.O. 1929, p.48)»
Le F.-M. Marc Rucart, confirme :
“Jai surtout considéré que le mandat parlementaire devait m’apparaître comme un Outil supplémentaire pour le travail du grand œuvre”
Ils devaient obéissance :
“Ils doivent rester tributaires de l’ordre, et en toutes circonstances de leur vie politique, ils sont dans l’obligation de se plier aux principes qui nous régissent” – (Convent de 1923, p.365)
Ils devaient rendre compte de leurs actes :
“Ils doivent rendre compte de leur mandat devant les Ateliers à des époques déterminées… ” – (Convent de 1923)
La F.-M. se chargeait de les surveiller :
“Une Commission de vigilance… serait nommée chaque année par l’Assemblée générale et CONTRÔLERAIT LES ACTES ET LES VOTES des parlementaires Franc-maçons” – (Convent du G.O. de 1927, p.90)
“Nous devons assurer le contrôle des élus politiques”- (Convent G.O. de 1928)
La secte savait également les encourager ou les sanctionner
“Nous devons redresser leurs torts, les avertir de leurs erreurs, leur reprocher leurs défaillances. En un mot, la F.-M. doit être la conscience des hommes politiques.”
(Convent du G.O. de 1928, p.256)
Mr Colrat à la tribune de la Chambre, déclare : “Depuis un demi-siècle,. Les textes sur lesquels nous sommes appelés à nous prononcer ont été élaborés ailleurs. Ils l’ont été par les Loges et nous n’avons pas eu licence d’en changer une virgule.”
FM Tinière, membre du Conseil de l’Ordre : “si le Conseil de l’ordre venait à disparaître, il pourrait être remplacé par le Conseil des ministres”!
Et il ajoutait : “On pourrait fonder une loge à l’Élysée, le nombre des maîtres serait suffisant, le Vénérable serait tout indiqué ”!!!»
Travaux recueillis par J. De Boistel, “Les documents Maçonniques”, avril 1942
En guise de conclusion, me direz-vous, «la F.-M. a changé », «c’était au début du XXème siècle », etc.
Je laisse donc la parole au Grand maître du Grand Orient de France, Fred Zeller, le 28/05/1973, vous répondre sur cet aspect :
Ou à voir ici :
“Une association de gauche “, ouin ouin… NON!
Il s’agit de la fraternelle “Libre pensée”, association maçonnique, qui est à l’origine de la décision de justice de déboulonner la statue ; Cette “association” a les faveurs du Grand Orient depuis… 1892 !
Dans «l’Appendice de la République satanique, éprise de symboles anti-chrétiens, ne peut pas voir d’un bon œil la statue d’un ange terrasser le dragon représentant Satan constitution et de son Règlement Graal :
Les Loges du G.O.D.F. sont invitées à encourager et favoriser le développement des sociétés de la Libre pensée qui complètent et étendent l’action de la FM dans sa lutte contre le cléricalisme » (p.183)
«La devise Liberté, Égalité Fraternité est si spécifiquement maçonnique qu’elle perd toute signification en dehors du Temple et que sa transposition dans le monde profane lui a fait perdre tout contact avec la moindre des réalités. Positivement, cette formule ne s’applique et «Ne pourra jamais s’appliquer objectivement qu’au régime auquel le Maçon est soumis dans le cadre fermé de la maçonnerie…» écrit le FM Plantagenet, de son vrai nom, Ignace Engel
Les Documents maçonniques, janvier 1942
“La Libre pensée, complément “Et prolongation de la FM Doit trouver asile dans ses Temples. En mettant à chaque fois nos locaux à la disposition des groupes de la Libre pensée, nous établissons un trait d’union entre ces groupes et nous, nous nous créons, de ce fait, une pépinière pour le recrutement de nos ateliers ” – (Convent du G.O. 1897, 171)
Les documents Maçonniques, avril 1942
Statue de Saint-Michel : le Conseil d’État retoque la ville des Sables d’Olonne – #LesSablesdOlonne#saintMichel
Le Conseil d’État n’admet pas le pourvoi en cassation de la ville et condamne donc la statue.
Pas étonnant, car parmi les membres extraordinaires, 12 conseillers d’état sont nommés par le gouvernement qui s’approprie aussi le Conseil Constitutionnel, donc blindé des 2 côtés !
Cette soumission au pervers explique le déclin de notre pays et en priorité là de-christianisation à marche forcée.
25 avril 1792 : le franc-maçon Rouget de Lisle compose “La Marseillaise” ; le même jour, la guillotine du frère Guillotin s’abat pour la première fois.
Le “sang impur” va pouvoir abreuver les sillons.
Jusqu’à l’écœurement.
«La devise Liberté, Égalité Fraternité est si spécifiquement maçonnique qu’elle perd toute signification en dehors du Temple et que sa transposition dans le monde profane lui a fait perdre tout contact avec la moindre des réalités. Positivement, cette formule ne s’applique et «Ne pourra jamais s’appliquer objectivement qu’au régime auquel le Maçon est soumis dans le cadre fermé de la maçonnerie…» écrit le FM Plantagenet, de son vrai nom, Ignace Engel
Les Documents maçonniques, janvier 1942
Ici, les médailles des loges maçonniques… toujours avec cette idée sur ce monument de «vivre libre ou mourir » :
Ci-contre, on peut voir un bonnet phrygien confirmer cette utopie, et juste à côté, 2 compas représentant un pentagramme, symbole satanique.
En fait, tout le monument, une invitation à la prière au Diable
Lieu : Dans les jardins du champ de Mars près du Trocadéro.
Les Droits de l’homme affirmés contre Dieu : Au pied de l’une des statues du monument, on y trouve, notamment, une scène qui représente le but final de la Révolution : Lucifer chasse la religion catholique et le Roi, lieutenant du Christ
Jésus leur dit : «Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair.». Sur l’une des faces de l’un des 2 obélisques, on peut y voir cette représentation de Lucifer
Les révolutionnaires n’ont pas oublié un clin d’œil à leur arme du crime…
Ni l’humiliation du roi coiffé d’un bonnet phrygien et, abjection suprême, le dauphin Louis XVII mort à l’âge de 10 ans dans la prison du Temple… «La République ou la mort »
Ici, les tables de la loi des 10 Commandements… forme que l’on retrouve avec la Déclaration des droits de l’homme.
Blasphème : La religion catholique représentée par un âne qui marche sur une croix et la Bible… Il porte un Calice autour du cou, un ostensoir sur sa selle, avec sur la tête une mitre d’évêque.
On peut y lire à côté : «mort au fanatisme et à la superstition »
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