Incroyable ! La semaine prochaine, le NYT, en collaboration avec Accenture, partenaire du WEF, est censé organiser un événement en direct avec Sam Bankman-Fried (FTX). À ses côtés seront assis Zelensky, Zuckerberg et Janet Yellen, du Trésor américain.
Tous les faits ci-dessous nous sont rapportés par Jeremy Loffredo, journaliste d’investigation à NYC @rebelnewsonline.
Publié le 17.11.2022
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Au travers du « New York Times », nous découvrons encore un plan machiavélique de réinformation, désinformations, (leur monde inversé, ils ont tous perdu, mais vont vous prouver que non ?). Ils nous rapportent ce que nous savons tous déjà, à savoir qu’ils nous avaient prévenus à l’avance, comme toujours chez les satanistes, « Bush et Obama tiendront des conférences sur la menace de « désinformation » juste après la « grande » annonce de Trump« . C’est officialisé maintenant avec The New York Times qui va convoquer tous les corrompus que vous connaissez bien, maintenant, autour de quoi ? La désinformation, en l’occurrence la plus grosse tombée il y a peu FTX « la banque » des démocrates corrompus au travers de l’Ukraine avec son clown de président, eh bien en plein dans le mille, le PDG de FTX avec Zelinsky, Zuckerberg, etc… Et bien d’autres à vous de voir ci-dessous. Ils seront de la partie pour défendre leur mensonge et surtout commencer à enterrer leur cadavre que D. Trump risque d’exhumer en plein jour pendant un an. Source
C’est fou, mais c’est vraiment une brochette de personnages de la « cabale et de la réinitialisation » du NOM, notamment ces personnages ci-dessous en plus de ceux ci-dessus, tête de pont.
Reportage honteux du NY Times sur FTX. Il dépeint SBF comme un entrepreneur charitable qui a fait faillite et ne mentionne nulle part les mots fraude, criminel, toxicomanie, racket KYC aux Bahamas, piratage, fonds volés ou serveurs effacés.
Archive-nous rapporte qu’en moins d’une semaine, le milliardaire des crypto-monnaies Sam Bankman-Fried est passé du statut de leader du secteur à celui de méchant, a perdu la majeure partie de sa fortune, a vu sa société de 32 milliards de dollars plonger dans la faillite et est devenu la cible d’enquêtes de la Securities and Exchange Commission et du ministère de la Justice.
Mais au cours d’une interview à grande échelle qui s’est prolongée au-delà de minuit dimanche, il est apparu étonnamment calme. « On aurait pu penser que je ne dormirais pas en ce moment, et au contraire, j’en dors un peu », a-t-il déclaré. « Cela pourrait être pire. »
L’empire construit par M. Bankman-Fried, qui a un jour été comparé à des titans de la finance comme John Pierpont Morgan et Warren Buffett, s’est effondré la semaine dernière après qu’une ruée sur les dépôts a laissé son marché d’échange de crypto, FTX, avec un manque à gagner de 8 milliards de dollars, obligeant la société à déposer le bilan. Les dégâts se sont répercutés sur l’ensemble du secteur, déstabilisant d’autres sociétés de crypto-monnaies et semant une méfiance généralisée à l’égard de la technologie.
En dehors de quelques messages sur Twitter, de messages aux employés et de textes occasionnels aux journalistes, M. Bankman-Fried, 30 ans, a peu parlé publiquement au cours de la semaine dernière. Dans l’interview de dimanche, il a exprimé de nombreux regrets quant à l’effondrement de FTX.
Mais il n’a donné que des détails limités sur les questions centrales qui tournent autour de lui : FTX a-t-il utilisé de manière inappropriée des milliards de dollars de fonds de clients pour soutenir une société de trading qu’il a également fondée, Alameda Research ? Le ministère de la Justice et la S.E.C. examinent actuellement cette relation.
Alameda avait accumulé une importante « position de marge » sur FTX, ce qui signifie essentiellement qu’elle avait emprunté des fonds à la bourse, a déclaré M. Bankman-Fried. « C’était beaucoup plus important que je ne le pensais », a-t-il dit. « Et en fait, le risque de baisse était très important ». Il a déclaré que la taille de la position se chiffrait en milliards de dollars, mais a refusé de fournir plus de détails.
M. Bankman-Fried a toutefois donné raison aux critiques de la communauté cryptographique qui ont déclaré qu’il avait étendu ses intérêts commerciaux trop rapidement à un large pan de l’industrie. Il a déclaré que ses autres engagements l’avaient conduit à ne pas voir les signes que FTX avait des problèmes.
« Si j’avais été un peu plus concentré sur ce que je faisais, j’aurais pu être plus minutieux », a-t-il dit. « Cela m’aurait permis de saisir ce qui se passait du côté des risques ».
M. Bankman-Fried, qui est basé aux Bahamas, a refusé de commenter son emplacement actuel, invoquant des raisons de sécurité. Les avocats de FTX et de M. Bankman-Fried n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.
La chute de M. Bankman-Fried a stupéfié le monde de la cryptographie. Mais ces derniers mois, des signes avant-coureurs étaient apparus indiquant que son empire commercial était en péril et que ses ambitions dépassaient ses capacités, selon des entretiens avec neuf de ses collègues et partenaires commerciaux, ainsi que des messages internes obtenus par le New York Times.
Alors qu’il s’est lancé dans une frénésie d’achats cette année, en investissant dans des sociétés de crypto-monnaies en difficulté, il ne partageait pas les informations avec son personnel clé. Lorsqu’on lui a dit qu’il était débordé et qu’on l’a encouragé à embaucher plus d’employés, il a résisté aux suggestions. Et à Washington, il mettait en avant un programme réglementaire ambitieux tout en critiquant Changpeng Zhao, le directeur général de la bourse concurrente Binance, qui a fini par mobiliser ses nombreux abonnés sur Twitter pour déclencher la ruée sur FTX.
Malgré les milliards investis par les sociétés de capital-risque dans la société, aucun de ces investisseurs extérieurs ne siégeait au conseil d’administration de FTX. Aux Bahamas, M. Bankman-Fried menait une existence parfois cloîtrée, entouré d’une petite coterie de collègues, dont certains entretenaient des relations amoureuses avec d’autres employés de FTX, selon quatre personnes au fait de l’affaire. Lui et ses principaux lieutenants vivaient ensemble dans un penthouse à Albany, une station balnéaire de 600 acres sur l’île de New Providence aux Bahamas.
Lorsqu’on lui a demandé s’il était trop dépendant de ce petit groupe, M. Bankman-Fried a répondu que son cercle de collègues proches comptait environ 15 personnes. « D’un point de vue réaliste, je ne pense pas que quiconque puisse maintenir un contact étroit et une communication étroite avec plus de 15 personnes », a-t-il déclaré.
La relation entre Alameda et FTX est à l’origine de la chute de M. Bankman-Fried. Il a fondé la société de trading en 2017 et a loué des bureaux à Berkeley, en Californie, non loin de l’endroit où il avait grandi en tant que fils de professeurs de droit de Stanford. Rapidement, la société a gagné des millions de dollars en exploitant les inefficacités du marché du bitcoin.
En 2019, M. Bankman-Fried a délocalisé l’entreprise à Hong Kong, un environnement réglementaire plus accueillant. Il s’est installé avec une petite bande de traders – dont Caroline Ellison, une ancienne trader de la société financière Jane Street – et a ensuite lancé FTX, une place de marché permettant aux investisseurs en crypto-monnaies d’acheter, de vendre et de stocker des actifs numériques.
FTX et Alameda étaient étroitement liés. Alameda effectuait de nombreuses transactions sur la plateforme FTX, ce qui signifie qu’elle profitait parfois des pertes des autres clients de FTX, une dynamique que les critiques ont qualifiée de conflit d’intérêts. Dans le passé, M. Bankman-Fried a défendu l’arrangement, affirmant qu’Alameda fournissait des liquidités cruciales – des injections de capital qui permettaient aux autres clients de réaliser des transactions sur la bourse.
Alameda était dirigée par Mme Ellison, mais M. Bankman-Fried était également impliqué, contribuant à la prise de décision sur les grosses transactions, selon une personne familière des rouages de la société. Parfois, il ne semblait pas y avoir de pare-feu entre les deux entreprises. Alameda était censé fonctionner dans un bureau séparé, mais un invité qui a visité le complexe de FTX au cours des derniers mois a déclaré que Mme Ellison était assise à portée de vue des ordinateurs affichant les données de négociation de la bourse.
Outre M. Bankman-Fried et Mme Ellison, le cercle des cadres dirigeant l’opération cryptographique aux Bahamas comprenait Nishad Singh, directeur de l’ingénierie de FTX, Gary Wang, directeur de la technologie de la bourse, et Ramnik Arora, responsable des produits.
M. Bankman-Fried a installé FTX aux Bahamas en 2021, attiré par un cadre réglementaire qui lui permettait de proposer des options de négociation risquées qui n’étaient pas légales aux États-Unis. Sur la bourse, les investisseurs pouvaient emprunter de l’argent pour faire de gros paris sur la valeur future des crypto-monnaies.
Il vivait dans un penthouse de cinq chambres à coucher dans le bâtiment Orchid du complexe Albany, avec Mme Ellison, M. Singh, M. Wang et six autres personnes. Selon deux personnes, M. Bankman-Fried et Mme Ellison avaient parfois une relation amoureuse.
M. Bankman-Fried a déclaré que Mme Ellison et lui n’avaient plus de relation amoureuse, mais il a refusé de faire d’autres commentaires. Mme Ellison n’a pas répondu à une demande de commentaire. De nombreux détails sur les relations au sein de l’équipe dirigeante de FTX ont déjà été rapportés dans la publication cryptographique CoinDesk.
Le cercle de collègues de M. Bankman-Fried était lié par un engagement envers l’altruisme efficace, un mouvement caritatif qui exhorte les adhérents à donner leur richesse de manière efficace et logique. Pour les collègues n’appartenant pas à la clique, il était parfois difficile d’obtenir du temps pour parler avec M. Bankman-Fried, a déclaré une personne au courant de l’affaire. Et M. Bankman-Fried mettait un point d’honneur à ce que FTX ne compte qu’environ 300 personnes, soit beaucoup moins que ses principaux rivaux, Binance et Coinbase.
Tout en limitant les embauches, M. Bankman-Fried a mis en place une opération philanthropique ambitieuse, a investi dans des dizaines d’autres sociétés de crypto-monnaies, a acheté des actions de la société de trading Robinhood, a fait des dons à des campagnes politiques, a donné des interviews aux médias et a offert à Elon Musk des milliards de dollars pour l’aider à financer le rachat de Twitter par le magnat.
M. Bankman-Fried a déclaré qu’il aurait souhaité « être beaucoup moins gourmand ».
« L’activité de capital-risque n’en valait probablement pas vraiment la peine étant donné l’attention qu’elle a suscitée », a-t-il déclaré, en faisant référence à ses investissements dans d’autres entreprises.
L’objectif le plus ambitieux de M. Bankman-Fried était peut-être de façonner la réglementation des crypto-monnaies à Washington, où il a témoigné devant le Congrès et rencontré des régulateurs. Il a également utilisé son influence croissante dans la capitale pour critiquer son plus grand rival, M. Zhao, lors de réunions privées, ont déclaré des personnes familières avec la question.
Attaquer M. Zhao « n’était pas une bonne décision stratégique de ma part », a déclaré M. Bankman-Fried dimanche. « J’étais assez frustré par une grande partie de ce que je voyais se produire, mais j’aurais dû comprendre que ce n’était pas une bonne décision de ma part d’exprimer cela. »
Ancien investisseur de FTX, M. Zhao possédait encore une grande quantité de FTT, une crypto-monnaie que FTX a inventée pour faciliter les échanges sur sa plateforme. Le 6 novembre, M. Zhao a annoncé sur Twitter qu’il vendait le FTT, effrayant les clients qui se sont précipités pour retirer leurs dépôts chez FTX.
« Nous ne prétendrons pas faire l’amour après le divorce », a écrit M. Zhao sur Twitter. « Nous ne soutiendrons pas les personnes qui font pression contre d’autres acteurs du secteur dans leur dos ».
Lorsque FTX s’est effondré, M. Zhao a initialement accepté de racheter la bourse dans ce qui aurait constitué un renflouement. Mais l’accord est rapidement tombé à l’eau, après que Binance ait découvert des problèmes dans les finances de la société. Dans une discussion de groupe Signal, à laquelle participaient M. Bankman-Fried et d’autres représentants de FTX, M. Zhao a posté une note brève, selon deux personnes connaissant bien la question. « Sam, je suis désolé », a-t-il écrit, « mais nous ne serons pas en mesure de poursuivre cette affaire. Beaucoup trop de problèmes. CZ. »
M. Bankman-Fried s’est démené pour trouver un nouveau financement. « Je ne devrais pas jeter de pierres dans une maison de verre, alors je vais me retenir un peu », a-t-il déclaré dans un message aux employés obtenu par le Times. « Sauf pour dire : probablement qu’ils n’ont jamais vraiment prévu d’aller jusqu’au bout de l’opération ».
Pendant ce temps, lors d’une réunion avec les employés d’Alameda mercredi, Mme Ellison a expliqué ce qui avait causé l’effondrement, selon une personne familière de l’affaire. La voix tremblante, elle s’est excusée, disant qu’elle avait laissé tomber le groupe. Au cours des derniers mois, a-t-elle dit, Alameda avait contracté des prêts et utilisé l’argent pour réaliser des investissements en capital-risque, entre autres dépenses.
Au moment où le marché des crypto-monnaies s’est effondré au printemps dernier, a expliqué Mme Ellison, les prêteurs ont décidé de rappeler ces prêts, selon la personne qui connaissait la réunion. Mais les fonds qu’Alameda avait dépensés n’étaient plus facilement disponibles, et la société a donc utilisé les fonds des clients de FTX pour effectuer les paiements. Outre elle et M. Bankman-Fried, deux autres personnes étaient au courant de cet arrangement : M. Singh et M. Wang.
La réunion a été rapportée précédemment par le Wall Street Journal. M. Singh n’a pas répondu à une demande de commentaire, et M. Wang n’a pas pu être joint. Selon une personne connaissant bien les finances de FTX, la bourse a prêté jusqu’à 10 milliards de dollars à Alameda.
Alors que FTX s’effrite, M. Bankman-Fried a « travaillé de manière constructive avec les régulateurs, les responsables de la faillite et la société pour essayer de faire ce qui est le mieux pour les consommateurs », a-t-il déclaré dimanche.
Sa gestion de FTX fait désormais l’objet d’une enquête de la part des procureurs fédéraux de New York, qui ont commencé à contacter des témoins potentiels, selon une personne au fait de l’affaire. D’autres personnes associées à FTX ont commencé à contacter des avocats pour une représentation potentielle, ont déclaré plusieurs personnes au courant de l’affaire. FTX est représenté dans les enquêtes et la faillite par le cabinet d’avocats Sullivan & Cromwell, tandis que des avocats de Paul Weiss représentent M. Bankman-Fried.
Lors de l’interview, M. Bankman-Fried a refusé d’évoquer la perspective d’une peine de prison.
« Les gens peuvent dire toutes les choses méchantes qu’ils veulent sur moi en ligne », a-t-il déclaré. « Au final, ce qui va compter pour moi, c’est ce que j’ai fait et ce que je peux faire ».
Il a également trouvé d’autres moyens d’occuper son temps ces derniers jours, en jouant au jeu vidéo Storybook Brawl, bien que moins qu’il ne le fait habituellement, a-t-il dit. « Cela m’aide à me détendre un peu », a-t-il dit. « Ça me vide l’esprit ».
Peu avant l’interview, M. Bankman-Fried avait posté un tweet énigmatique : le mot « Quoi ». Ensuite, il avait tweeté la lettre H. Lorsqu’on lui a demandé d’expliquer, M. Bankman-Fried a dit qu’il prévoyait de poster la lettre A, puis la lettre P. « Il y aura plus d’un mot », a-t-il dit. « Je l’invente au fur et à mesure. »
Donc il prévoyait une série de tweets énigmatiques ? « Quelque chose comme ça. »
Mais pourquoi ? « Je ne sais pas », a-t-il dit. « Je suis en train d’improviser. Je pense que c’est le moment. »
Matthew Goldstein, Erin Griffith et Ephrat Livni ont contribué aux reportages.
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Pierce a fait une énorme erreur en nommant sa nouvelle utopie cryptographique sans surveillance « terrain de jeu pour garçons éternels » et il n’était pas du tout au courant des milliers d’images pédophiles dans sa propre maison.
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