Eh les gueux, pendant que vous regardez « The Voice gueux » chanté par des gens honnêtes pour des humains avec a la clé une éventuelle carrière biaisée, vous avez mieux que cela maintenant!! Nous vous présentons les : « Les Distinguished Leadership Awards 2021 » ou « Le prix du Dirigeant Distingué 2021 », enfin nous traduisons pour mieux comprendre, l’élection du meilleur voleur génocideur en col blanc, Hitler, Staline, Mesrine, etc.. Sont vraiment dépassés.
Explication :
C’est le prix jamais, mais jamais eux depuis que le monde est monde.
Pourquoi ?
Parce que comment voulez-vous ne pas « Gagner ce prix » ??
Car vous avez sous les yeux la plus grande escroquerie mondiale inventée pour terroriser les humains sur terre, doublée du plus grand casse des siècles sur les gouvernements en les extorquants a grand coup de Milliards, et enfin le plus grand génocide jamais mis en place a plus ou moins long terme de l’histoire de l’humanité, à côté leurs pères nazi paraissent petit avec leurs vols de tableaux, d’or ou autres déportations ?? Hitler a fait 57 millions de morts, volé l’Europe en Or, Tableaux, etc… mais eux, ils visent juste 7 milliards d’humains qu’ils soient morts ou robotisés ?? Payé par vos impôts ou autres ressources financières des pays, avec une brutalité en col blanc jamais égalé. Hitler n’a même pas eu de prix décerné?? Par contre, eux ils se l’arrogent très Honorablement et volontairement, avec grand fracas de caviar à volonté sous vos yeux d’esclave piégés??
Bon, il n’y a plus rien à expliquer, le caviar, l’argent, etc.. (Et pour ceux qui diront, mais ils sont vaccinés ?? Bourla a toujours dit qu’il ne se ferait jamais vacciné et ses employé non plus), aucun masque, aucune distanciation sociale à Washington. Si vous n’avez toujours pas compris la collusion entre les dirigeants du Monde #BigPharma et le « Hold-up Financier Génocidaire Mondial » mis en place par tous les gouvernements Mondiaux corrompus, Macron en tête d’affiche, c’est que vous avez un problème de discernement complet.
Au fait savez-vous vraiment qui est Ursula von der Leyen ? Voyez notre article ci-dessous. Et Bourla c’est par ici
Publié le 12.11.2021
Et pendant ce temps-là, à Washington tenue de soirée pour la Présidente de la Commission européenne Von der Leyen pour la remise du prix du meilleur dirigeant commercial… And the winner is …. #Pfizer ! #UE
Les Distinguished Leadership Awards 2021 : Célébrer les personnes exceptionnelles qui relèvent les défis extraordinaires d’aujourd’hui ?? Bien voyons ? Pas trop de difficulté pour cela les démoncrates??
Von der Leyen dans les bras de Bourla !!
Le PDG de Pfizer a reçu le Prix du Tiroir-Caisse 2021
La caste cupide s’autocongratule… C’était à l’Atlantic Council, à Washington, et c’est Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, qui a remis à Albert Bourla sa récompense. Avec en prime une bise chaleureuse… mais sans masque, s’il vous plaît. On n’était pas chez les gueux ! OD
Voici l’article publié dans le « Atlantic Council » le 10.11.2021 par Dan Peleschuk
Compte tenu des nombreux hauts et bas de 2021 – une reprise inégale de la pandémie, des succès et des revers pour les démocraties du monde entier – il convient de saluer ceux qui ont contribué au progrès et à la stabilité en ces temps tumultueux.
C’est ce que le Conseil atlantique a entrepris de faire lors de la remise des Distinguished Leadership Awards (DLA) mercredi, en honorant des personnes exemplaires qui ont contribué à la mission du Conseil, à savoir façonner ensemble l’avenir mondial dans un large éventail de domaines.
En cette période de grande discorde mondiale, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a fait preuve d’un engagement farouche en faveur du maintien des liens transatlantiques. Et dans le contexte de la plus grave crise de santé publique depuis un siècle, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ainsi que les cofondateurs de BioNTech, Özlem Türeci et Ugur Sahin, ont montré le meilleur de ce que les entreprises peuvent offrir à la société.
De son côté, la chanteuse Dua Lipa, lauréate d’un Grammy Award, a utilisé son pouvoir de star pour aider le Kosovo, la patrie de ses ancêtres, à sortir de la pauvreté d’après-guerre et à offrir à toute une génération le cadeau de l’espoir.
À l’occasion du soixantième anniversaire du Conseil atlantique, le président-directeur général de l’organisation, Frederick Kempe, a rappelé le moment de sa création, lorsque la jeune administration Kennedy était mise à l’épreuve par l’Union soviétique. Il a fait remarquer qu’il existe de forts parallèles entre les circonstances extraordinaires dans lesquelles le Conseil a vu le jour et les défis d’aujourd’hui, qui vont de la pandémie au changement climatique en passant par la concurrence avec la Chine. « C’est pourquoi nous sommes tous réunis ici, car nous comprenons que l’impératif historique de notre époque n’est pas moindre qu’à l’époque de notre fondation, et peut-être même plus grand encore », a déclaré M. Kempe.
Les lauréats DLA de cette année ont prouvé que de grandes avancées sont possibles, même lorsque le chemin à parcourir semble le plus intimidant. Voici quelques-unes des idées qu’ils ont partagées avec les participants au dîner de gala au Mellon Auditorium de Washington et avec les téléspectateurs du monde entier. (Lire la transcription complète ici).
Regarder l’événement dans son intégralité
Ursula von der Leyen : « Cette année nous a rappelé que nous devons défendre la démocratie tous les jours »
Ursula Von der Leyen a décrit les États-Unis et l’Union européenne comme des « partenaires naturels » bien placés pour lutter ensemble contre le changement climatique et « réécrire les règles modernes de l’économie mondiale ». Sur ce dernier point, elle a cité la nouvelle stratégie Global Gateway de l’Union européenne, qu’elle a comparée à l’initiative Build Back Better World du président américain Joe Biden, en tant que « multiplicateur d’investissements de haut niveau dans les infrastructures » dans le monde entier. « Elle permettra de tisser des liens, a-t-elle déclaré, et non de créer des dépendances. Elle a ajouté : « Lorsque l’Union européenne et les États-Unis s’unissent, nous avons le pouvoir de façonner le monde de demain, de la 6G à la finance verte. »
La protection de la démocratie, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, devrait également être une priorité pour le partenariat transatlantique, a déclaré Mme von der Leyen, appelant l’ingérence autoritaire dans les élections démocratiques, l’attaque du 6 janvier contre le Capitole américain et les tendances antidémocratiques autour de l’Union européenne. « Cette année nous a rappelé que nous devons défendre la démocratie tous les jours », a-t-elle déclaré sous les applaudissements de la foule.
La bataille pour ces valeurs se joue de plus en plus en ligne. Mme Von der Leyen a souligné les efforts du Conseil en faveur d’une politique numérique transatlantique, qui porte désormais ses fruits avec le Conseil UE-États-Unis du commerce et de la technologie. « Nous avons une vision convergente de la manière dont les plateformes numériques devraient fonctionner dans des sociétés et des économies ouvertes », a-t-elle déclaré.
Évoquant son arrière-grand-mère d’origine américaine et son père ayant fait ses études aux États-Unis – ainsi que ses deux enfants américains -, cette membre de longue date du cabinet de la chancelière allemande Angela Merkel a salué les « valeurs communes » qui lient les deux côtés de l’Atlantique : « L’histoire des liens transatlantiques est faite de millions d’histoires comme la mienne ».
Albert Bourla : « Pour vaincre [le virus], nous devons être unis ».
Vétérinaire de formation, originaire de Thessalonique, en Grèce, Albert Bourla a décrit la réponse à la pandémie comme « un excellent exemple du pouvoir de la coopération transatlantique » et une leçon de cause commune. « Le virus ne connaît pas de frontières géographiques », a-t-il déclaré. « Il ne fait aucune discrimination fondée sur la race, la religion, le sexe, la situation financière ou l’affiliation politique, ce qui est une erreur que nous commettons grandement, en particulier dans ce pays. Donc, pour la vaincre, nous devons être unis. »
Bourla a réfléchi au lien qui existe entre lui et ses partenaires commerciaux de BioNTech. « Je ne peux pas penser à un meilleur exemple de cette unité que la relation solide dont jouissent les dirigeants, les humains, de nos deux entreprises. Pensez-y : l’un est juif, originaire de Grèce, et a immigré en Amérique ; l’autre est musulman, originaire de Turquie, et a immigré en Allemagne », a-t-il déclaré, en faisant référence à Ugur Sahin, un autre lauréat. « Certains pourraient considérer qu’il s’agit d’un couple improbable. Moi, je considère que c’est ma grande chance. »
Et les deux entreprises ne se laissent pas faire. D’ici la fin de l’année, a déclaré M. Bourla, Pfizer et BioNTech prévoient de produire trois milliards de doses de vaccin, et quatre milliards de plus en 2022. Et ce n’est pas tout : La semaine dernière, Pfizer a annoncé que son nouveau médicament antiviral oral réduisait de 89 % le risque d’hospitalisation ou de décès chez les patients à haut risque atteints du virus COVID-19, ce qui « pourrait changer la donne », a-t-il ajouté, « mais ne doit en aucun cas être une nouvelle qui alimente l’hésitation à se faire vacciner. Les vaccins sont très importants. »
Le partenariat public-privé est également essentiel dans la lutte contre cette maladie mortelle, a ajouté M. Bourla, ce qui a permis à Pfizer de fournir au gouvernement américain des vaccins à bas prix pour les donner aux pays les plus pauvres. « Et nous travaillons avec l’UE non seulement sur des accords d’approvisionnement, mais aussi sur des campagnes d’éducation pour aider à lutter contre l’hésitation à se faire vacciner », a-t-il ajouté.
Özlem Türeci : « Nous laissons tous la science et les données être nos professeurs ».
Mme Türeci a déclaré qu’elle était d’abord perplexe à l’idée de recevoir un prix de leadership plutôt qu’un prix scientifique, mais elle a vite compris que « les [vertus] clés pour transformer la science en survie » sont similaires à celles dont font preuve les leaders.
« La recherche d’un vaccin contre le COVID-19, une quête en territoire inconnu, a nécessité du courage et a également exigé de l’humilité, ce qui signifie rester enseignable », a-t-elle déclaré. « Toutes les parties prenantes étaient ouvertes pour apprendre les unes des autres face à une menace mondiale. Et nous avons tous laissé la science et les données être nos enseignants. »
Türeci a ajouté que le secret de leur réussite a été « une tribu de camarades, de personnes partageant les mêmes idées », concentrées au laser sur la mise à profit de leur intelligence scientifique pour aider l’humanité.
Ugur Sahin : « Le désir d’aider les autres est câblé et codé dans nos gènes ».
Ajoutant à la liste de sa femme des incontournables pour une science réussie, orientée vers l’humanité, Sahin a singularisé la responsabilité sociale. « Je sais que le désir d’aider les autres est câblé et encodé dans nos gènes – ou on pourrait aussi dire notre ARNm », a-t-il déclaré. « Ces gènes ne sont pas toujours actifs. Ils ont souvent besoin d’un déclencheur pour être activés – une inspiration, un exemple, quelqu’un pour faire le premier pas. »
C’est ce qui a poussé l’équipe de BioNTech à grinder, comme l’a décrit Sahin, « en équipes 24/7, à travailler jour et nuit, également le week-end, et à parcourir les milliers de kilomètres supplémentaires. » Parfois, a-t-il ajouté, « le travail des scientifiques et des concepteurs de médicaments est célébré – comme l’impressionnante récompense de ce soir – mais le plus souvent, il se déroule dans les coulisses, dans des laboratoires tranquilles ou au chevet d’un patient ».
Dua Lipa : « Donnez-nous une chance et nous excellerons ».
Honorée pour ses efforts en faveur du Kosovo par le biais de sa fondation Sunny Hill, qui vise à améliorer la qualité de vie dans la jeune nation, la chanteuse d’origine britannique a dépeint le lieu de naissance de ses parents comme un centre culturel florissant « débordant de créativité ».
Elle a ajouté que les cicatrices de la guerre restent visibles et que même la jeune génération a du mal à saisir les occasions de s’épanouir, de travailler et de voyager. « Même avec un esprit national déterminé et audacieux, » dit-elle, « il faut du temps pour se remettre et trouver une nouvelle assise. »
C’est pourquoi Lipa et son père ont lancé la Fondation Sunny Hill, qui organise un festival de musique annuel qui fait venir des artistes de premier plan à Pristina et qui va bientôt lancer les travaux d’un centre d’art et d’innovation qui offrira aux jeunes un espace créatif. « Nous n’en sommes qu’à treize petites années de notre voyage vers l’indépendance et, en tant que membres d’une communauté internationale forte, nous allons nous épanouir sur le plan émotionnel. Nous prospérerons sur le plan économique et culturel », a-t-elle déclaré. « C’est dans notre ADN ».
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