France : Macron et Attali retournent-ils leur veste ? La mise en garde d’Emmanuel Macron à Israël et la repentance d’Attali alors que les normes agricoles françaises s’intensifient face à une colère croissante du peuple européen ?

Macron et Attali retournent-ils leur veste ? La mise en garde d’Emmanuel Macron à Israël et la repentance d’Attali alors que les normes agricoles françaises s’intensifient face à une colère croissante du peuple européen ?

Publié le 25.1.2024

Opération à Gaza : Macron met en garde « Israël » contre « un risque dans la durée » pour sa sécurité.

Macron s’exprime lors d’une conférence de presse pour répondre aux questions des journalistes après avoir nommé un nouveau gouvernement, au palais de l’Élysée à Paris, France, 16 janvier 2024. REUTERS/Christian Hartmann

La poursuite par Israël d’opérations pas suffisamment ciblées à Gaza constitue « un risque dans la durée pour la sécurité » du pays, a prévenu mardi Emmanuel Macron, plaidant à nouveau pour un cessez-le-feu.

« Je le dis parce que c’est aussi l’intérêt sur le plan de la sécurité à long terme d’Israël et que poursuivre aujourd’hui les opérations telles qu’elles sont conduites, c’est prendre un risque dans la durée, compte tenu de ce que cela fait naître dans toute la région, pour la sécurité d’Israël même », a-t-il fait valoir.

« Donc, nous allons poursuivre les initiatives diplomatiques, les résolutions, les discussions pour appeler un cessez-le-feu et je vais poursuivre le contact bilatéral pour essayer de l’obtenir de manière très concrète », a dit M. Macron. « C’est ça maintenant la priorité, car on le sait, c’est ce qui permettra d’aller au contact des populations, de les protéger ».

Attali cherche à se repentir ? Malgré cela, nos agriculteurs sont soumis aux normes de l’Union européenne et la France les durcit encore plus… Cependant, nous sommes confrontés à l’entrée de poulet ukrainien qui ne répond pas à nos critères, ainsi qu’à l’agneau de la Nouvelle-Zélande et à la viande surgelée d’Argentine !

Jacques Attali : « Comment faire en sorte que les paysans vivent décemment de leur travail et que l’alimentation soit saine pour tous ? »

Notre réponse : Méfiance avec ce serpent mondialiste, et arrêtez votre mondialisation excessive, cessez votre domination et le vol sur les peuples. D’un côté, vous surveillez les populations pour le CO2, de l’autre, vous autorisez le transport de nourriture du monde entier jusqu’en France par bateaux et avions cargo. Votre bilan carbone relève déjà de l’utopie, mais il vous sert bien pour surveiller et asservir le peuple à la manière du Parti communiste chinois (CCP). Vous avez perdu, et les peuples le savent, et Pour le reste, qu’il l’a ferme ! Il fait partie du problème Frexit.

50 ans qu’il œuvre dans les coulisses à construire l’Europe…..et détruire la France….il est temps de comprendre les choses monsieur l’intellectuel. À l’aube de sa mort, on revient aux choses simples et élémentaires….???

Attali en crise de conscience : Retour sur ses remords tardifs et l’appel au Frexit pour sauver l’agriculture française

« Accroître la part de l’alimentation dans notre budget » (Attali) C’est peut-être une manière d’annoncer UN PROGRAMME DE FAMINE

Ce qui sera rare sera cher
La nourriture va devenir rare
Le peuple la paiera au prix fort
Ce sera bon pour la planète

Dans un retournement de situation surprenant, Jacques Attali semble traverser une crise de conscience. L’architecte discret de l’Europe, après avoir consacré une vie à la construction européenne, semble montrer des signes de regret. L’apparence fatiguée et marquée de l’intellectuel émérite suggère une dissonance cognitive palpable, un Jackou pris entre deux mondes.

Après des décennies à contribuer à la déconstruction du monde traditionnel, il semblerait qu’Attali soit confronté à une réalité qui le rattrape. La campagne avec des paysans, la valorisation de la bonne nourriture authentique – des éléments qu’il aurait pu négliger dans son parcours – lui apparaissent désormais sous un jour différent.

Cependant, les remords semblent tardifs pour certains, qui ne manquent pas de rappeler à Attali son rôle dans la construction de l’Europe au détriment de la France. L’appel au Frexit résonne fort dans les réponses à ses récentes prises de position.

Certaines propositions émanent de cette réaction, préconisant une diminution drastique de toutes les taxes et impôts sur les produits alimentaires, un contrôle strict des intermédiaires et une taxation sévère (90%) des bénéfices des géants de l’agroalimentaire et du CAC, ainsi que de tous ceux dont le patrimoine dépasse les 50 millions d’euros.

L’argument central repose sur la nécessité de retrouver une souveraineté alimentaire, énonçant que chaque pays doit être capable de subvenir à ses propres besoins. Les critiques pointent du doigt le rôle d’Attali et de ses pairs dans la promotion du marché mondial, accusant ces figures d’être le cœur du problème, notamment avec des références à son implication supposée avec Klaus Schwab et Macron.

L’appel à augmenter le revenu des agriculteurs est largement soutenu, mais l’idée d’augmenter les prix est vivement contestée. Les partisans de cette vision argumentent que le juste prix existe déjà, mais que la marge exorbitante, profitant à certains acteurs au détriment des producteurs, est le véritable problème à résoudre.

En résumé, la controverse entourant Attali met en lumière des tensions profondes entre les défenseurs d’une souveraineté alimentaire renforcée et les partisans d’une mondialisation perçue comme destructrice. La question du Frexit semble de plus en plus incontournable dans ce débat animé par des années d’injustice économique.