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Malte : Sommet de Malte, plus de 50 Pays Participent à des Pourparlers de Paix sur l’Ukraine, Malgré l’Absence de la Russie

Sommet de Malte, plus de 50 Pays Participent à des Pourparlers de Paix sur l’Ukraine, Malgré l’Absence de la Russie

Publié le 4.11.2023

Le Sommet de Malte, Perspectives d’une Paix en Ukraine avec de Nouveaux Contrats Juteux

BRUXELLES – Le président ukrainien Volodimir Zelensky rencontre le premier ministre maltais Robert Abela lors d’un sommet inséré de l’UE. La réunion portera, entre autres, sur le soutien de l’UE à l’Ukraine et sur les problèmes croissants de migration en Europe. ANP JONAS ROOSENS netherlands out – belgium out (Photo by ANP – Jonas Roosens / ANP MAG / ANP via AFP)
BRUXELLES – Le président ukrainien Volodimir Zelensky rencontre le premier ministre maltais Robert Abela lors d’un sommet inséré de l’UE. La réunion portera, entre autres, sur le soutien de l’UE à l’Ukraine et sur les problèmes croissants de migration en Europe. ANP JONAS ROOSENS netherlands out – belgium out (Photo by ANP – Jonas Roosens / ANP MAG / ANP via AFP)
BRUXELLES – Le président ukrainien Volodimir Zelensky rencontre le premier ministre maltais Robert Abela lors d’un sommet inséré de l’UE. La réunion portera, entre autres, sur le soutien de l’UE à l’Ukraine et sur les problèmes croissants de migration en Europe. ANP JONAS ROOSENS netherlands out – belgium out (Photo by ANP – Jonas Roosens / ANP MAG / ANP via AFP)

Le sommet de Malte, en cours jusqu’à mardi, suscite l’attention internationale en tant que troisième session des pourparlers visant à aider l’Ukraine à parvenir à des conditions de paix avec la Russie, mettant ainsi fin au conflit en cours. Plus de 120 pays participent à ce sommet, qui se déroule en l’absence de la Russie et de la Chine. L’objectif est de favoriser des discussions en vue de la paix, même si un dialogue direct avec Poutine n’est pas encore prévu.

Cette réunion, qui intervient dans un contexte géopolitique complexe, est marquée par divers facteurs influents. D’une part, la médiatisation du conflit en Ukraine s’est réduite en raison des préoccupations liées au conflit entre Israël et la Palestine. D’autre part, les États-Unis envisagent un affrontement avec la Chine d’ici 2030, ce qui détourne leur attention. Le fait que trois porte-avions aient déjà été déployés en Israël et des armes aient été acheminées en Ukraine montre le désir américain de se concentrer sur plusieurs fronts.

De plus, les élections présidentielles américaines de novembre 2024, qui pourraient voir Donald Trump revenir au pouvoir, sont un élément clé de cette situation. Récemment, l’ancien président républicain Mike Pence a retiré sa candidature, laissant la voie libre à Trump. Ce dernier avait déjà averti qu’il lâcherait l’Ukraine et demanderait aux Européens d’augmenter leurs budgets militaires de plus de 3 % de leur PIB, menaçant de les exclure s’ils n’obéissaient pas. Ce contexte soulève des questions sur la faisabilité d’une solution de paix en moins d’un an.

Parmi les enjeux de la négociation, la question de la délimitation du territoire ukrainien est cruciale, avec une possible absorption de l’Ukraine par l’Union européenne. Cela pourrait modifier le visage de l’Europe et ouvrir la voie à des contrats lucratifs pour des entreprises privées telles que Veolia, Bouygues et d’autres, notamment dans les secteurs de l’assainissement et de l’énergie. La situation économique actuelle en Europe, marquée par l’inflation et une croissance faible, renforce l’attrait de ces opportunités.

Les négociations en cours au sommet de Malte sont perçues comme un signe encourageant de progrès vers la paix, rappelant les précédents sommets de ce type qui ont précédé des bouleversements majeurs, comme la chute du mur de Berlin en 1989 et la dissolution de l’Union soviétique. Alors que les défis sont nombreux, les perspectives de paix et de coopération économique sont à l’horizon.

Maria Zakharova (03 Novembre 2023)

La Troisième Commission de la 78e session de l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution traditionnelle initiée par la Russie pour lutter contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d’autres pratiques qui contribuent à l’escalade des formes modernes de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée.» Les co-auteurs provenaient de 36 pays.

Voici une liste de ceux qui sont contre la résolution et ne sont pas contre la condamnation du racisme et de la glorification du nazisme et ne veulent pas condamner la xénophobie :

États-Unis, Canada, Ukraine, Royaume-Uni, Allemagne, France, Italie, Espagne, Pologne, Estonie, Lettonie, Lituanie, Autriche, Albanie, Belgique, Bulgarie, Danemark, Grèce, Chypre, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Finlande, Croatie, République tchèque, Suède, Australie, Japon, Andorre, Bosnie-Herzégovine, Hongrie, Géorgie, Nouvelle-Zélande, Islande, Irlande, Kiribati, Libéria, Liechtenstein, Luxembourg, Malte, Norvège, Saint-Marin, Macédoine du Nord, Monaco, Moldavie, Îles Marshall, Micronésie, Monténégro. (Bizarre l’Occident et l’OTAN)

Les pays du Sud n’étaient pas intéressés par la formule de paix de Zelensky parce que leur attention était attirée sur le conflit israélo-palestinien, a rapporté Bloomberg à la suite d’un sommet de paix à Malte ce week-end.

Les efforts de l’Ukraine pour trouver des alliés dans ce qu’on appelle le Sud global afin de promouvoir sa formule de paix ont été sapés par les inquiétudes croissantes concernant Israël et le Hamas.

  • Noté dans l’article.

L’agence, citant des diplomates anonymes, a rapporté que certains participants au sommet souhaitaient la présence de la Russie aux pourparlers de paix en Ukraine .

L’un des participants à la conférence a ajouté que les négociations de paix ne commenceraient qu’après les élections présidentielles aux États-Unis.