
McKinsey, une société crée spécialement pour la fraude, voici d’autres révélations sur l’ampleur de celle-ci, des USA à la France en traversant le monde, E. Macron savait.
C’est bientôt officiel, et tout le monde a compris maintenant la supercherie que les juges tente de démontrer, mais pourtant tellement clair. Cette société a été créée spécialement pour frauder les états, et c’est sciemment que l’argent des Français et d’autres états, a été détourné en bande organisée pour alimenter ses comptes en quantité pharaonique. Nos questions, comment fonctionnent les rétrocommissions des “Pseudos Dirigeants” ? (Qui plus est, aucun titre de dirigeant ne pouvant leur être attribué, tant ils ne savent pas diriger justement sans un (tiers payant)), à quelle hauteur les sommes volés ? où sont elles transférée ? par exemple pour E. Macron, mais aussi pour les autres “Dirigeants” qui les utilisent depuis toujours ?
Publié le 31.12.2022
Non, vous n’êtes pas complotiste ! McKinsey ou plutôt “Maque(reau) King Say” en d’autre terme français et très explicite “le Roi des Maques nous dit ce qu’il faut faire !”.
Le monde restera un asile à ciel ouvert tant que les Francs-Maçons/globalistes/sioniste/satanistes seront libres de nuire. DAVOS, WEF et CIA, et les Américains sont responsables de tout cela ? L’affaire GLADIO avait mis à jour le rôle de la CIA et de l’OTAN dans des attentats terroristes en Europe (voir Les armées secrètes de l’OTAN Ganser, Daniele). McKinsey, le Wokisme, les injections pourries… tout cela vient de E.U. sous couvert des US avec la bénédiction de McKinsey.
Ci-dessous, regardez les dégâts fait sur l’humain avec les labos et Mc Kinsey, Philadelphie pour exemple, et vous avez des centaines de villes aux États-Unis où les gens vivent dans ce même système, les Zombies des USA ou la mort lente, plutôt la dépopulation lente et calculée par le profit.

Michèle Rivasi alerte sur l’influence de McKinsey sur l’OMS et la Fondation Gates, avec Michèle Rivasi, députée européenne Europe – Ecologie Les Verts.
En pleine tourmente judiciaire, la directrice communication de McKinsey s’apprête à « prendre la fuite ».
Publié le 31.12.2022 par Réseau International et Cheikh Dieng

En pleine tourmente judiciaire, la Dircom (directrice de communication) de McKinsey s’apprête à quitter son poste à la fin de l’année. Cette information a été révélée ce 14 décembre, date à laquelle une perquisition a été menée au siège parisien du cabinet de conseil américain visé par une enquête du PNF (Parquet national financier).
Les rats s’apprêtent-ils à quitter le navire ? Cette question se pose au moment où l’étau se resserre autour du cabinet de conseil McKinsey et de ses relations très suspectes avec le gouvernement français. Et c’est dans ce contexte houleux qu’un poids lourd du cabinet de conseil américain va quitter son poste à la fin de l’année.
Cette personnalité n’est autre que Charlotte Pasternak, nommée directrice de la communication du cabinet McKinsey en France en mai 2021. D’après le média Consultor spécialisé en cabinets de conseil, Pasternak a tout simplement décidé de quitter ses fonctions.
« Charlotte Pasternak, une ancienne de Danone (dont McKinsey est un consultant de choix) et du PMU (dont la DG est également une ancienne du cabinet), arrivée aux fonctions de directrice de la communication de McKinsey en France en mai 2021, quittera ses fonctions à la fin de l’année, a appris Consultor. Elle a eu à gérer une des plus importantes crises de réputation de l’histoire de la firme depuis qu’elle s’est implantée dans l’Hexagone en… 1964 », révèle la source.
Et Consultor d’ajouter : « ainsi, encore tout récemment, apprenait-on que Charlotte Pasternak avait initié un appel d’offres pour protéger sa réputation ». En effet, il y a moins d’un mois, le média d’investigation Lettre A révélait que le cabinet de conseil américain avait lancé un appel d’offres pour nettoyer sa réputation.
« Le numéro un mondial du conseil, McKinsey, a lancé un marché début novembre pour améliorer son image, en réaction à la divulgation de son recours à l’optimisation fiscale. Plusieurs agences planchent sur l’e-réputation de la marque, qui affronte une nouvelle tempête judiciaire sur le financement de la campagne d’Emmanuel Macron », nous a appris Lettre A le 25 novembre dernier.
Il faut dire que cette tentative de redorer son image intervient dans un contexte extrêmement difficile pour la multinationale américaine secouée par de nombreux scandales en France, aux États-Unis mais aussi dans d’autres pays du monde, tels que l’Afrique du Sud.
En France, le cabinet est accusé de favoritisme et d’avoir touché plusieurs millions d’euros de l’État français qui n’a cessé de recourir à ses services. D’ailleurs, en novembre dernier, il a été révélé que l’État français a dépensé 28 millions en cabinets de conseil lors de la pandémie et de cette somme, 6,7 millions sont allés tout droit dans les poches de McKinsey.
C’est du moins ce que nous a appris le média Marianne. En effet, d’après cette source qui cite un rapport du sénat français, 28 millions d’euros ont été dépensés en cabinets de conseil lors de la pandémie à Coronavirus. La source précise que l’information est apparue dans le rapport « Santé » du Budget de l’État et a été confirmée par la députée Véronique Louwagie.
Les cabinets ayant bénéficié de cette immense ont été cités. Il s’agit de : Citwell Consulting, Accenture, CGI (comprenant sa filiale française CGI France) et McKinsey, qui travaillait avec sa société Orphoz. Et les dépenses ont connu une hause vertigineuse lors de la période allant de mars 2021 à mai 2022.
« En novembre 2021, Véronique Louwagie avait évalué à 11,2 millions d’euros, le montant de la première facture liée au recours aux consultants entre mars 2020 et février 2021. Au total, ce sont ainsi 28,6 millions d’euros qui ont été dépensés par l’exécutif auprès de cabinets privés pour gérer la crise sanitaire », renseigne la source. Et sans surprise ! Le cabinet américain McKinsey a touché le jackpot en empochant 6,7 millions d’euros pour trois missions réalisées entre mars et août 2021.
« Le cabinet de conseil américain, champion de l’évasion fiscale, était notamment venu en appui de la task force de vaccination du ministère de la Santé. Pour compléter le podium : Accenture a remporté 19 appels d’offres, pour un montant global de 5,3 millions d’euros, suivi juste derrière de la société Citwell, qui a empoché 3 millions d’euros. Cette dernière avait été appelée en renfort, d’avril à juillet 2021, pour l’accompagnement logistique et la distribution des vaccins contre le Covid-19 », détaille le rapport.
Le départ de Charlotte Pasternak est certainement dû à la crise qui secoue le cabinet de conseil sous le feu des critiques depuis le début de la pandémie. D’ailleurs, ce 14 décembre, son siège parisien a été perquisitionné par la justice française qui mène une enquête sur ses liens avec la campagne présidentielle de Macron en 2017.
Source : Le Courrier du Soir
« McKinsey confirme la tenue le 13 décembre 2022 d’opérations de visite menées par un juge d’instruction au siège de McKinsey France à Paris », a indiqué le cabinet dans un communiqué, assurant « collaborer pleinement avec les autorités publiques, comme cela a toujours été le cas ».

Le 27 décembre : Gros scandale en France, l’État a versé 289 785 euros à un cabinet de conseil pour gérer la propagande électorale.

« D’après un rapport du Sénat français relayé par le média Public Sénat, l’État a accordé 289 785 euros au cabinet de conseil Sémaphores pour une mission sur la propagande électorale des élections présidentielle et législatives
A quelques semaines d’une présidentielle cruciale pour la France, le scandale McKinsey reste, sans nul doute, celui qui a le plus plongé le gouvernement dans l’embarras. Et hélas, les révélations sur cette affaire d’Etat n’ont pas encore connu leur fin. Car, ces dernières heures, c’est le Sénat français qui en rajoute une couche.
En effet, d’après un rapport publié par le Sénat et relayé par PublicSénat.fr, l’Etat français a, une fois de plus, accordé une mission à plusieurs milliers d’euros à un cabinet de conseil, plutôt connu sous le nom de Sémaphores.
Et encore d’autres affaires, ou vous-y trouverez : ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
- Hydro-Québec a versé des millions de dollars à McKinsey pour l’aider à gérer ses barrages.
- La Caisse de dépôt s’est elle aussi entichée de McKinsey
- Un sixième bureau de l’ONU à Montréal
- Cinq municipalités réclament l’interdiction du chauffage au gaz naturel
- Notre pays devrait aussi bannir progressivement le tabac, selon le CQTS
Le 26 octobre 2022, article publié par Radio-Canada
“Hydro-Québec confirme que ce cabinet travaille sur des mandats stratégiques, des questions d’approvisionnements et des innovations. Au cours des six dernières années, la société d’État a versé 31 millions de dollars à McKinsey et doit encore lui payer 7 millions pour des mandats en cours.
Des experts et des sources à l’interne s’interrogent toutefois sur l’ampleur et sur la pertinence de cette relation d’affaires.”
“Dans certains dossiers, il y a tout le temps des gens de McKinsey aux réunions, raconte un cadre d’Hydro-Québec qui n’est pas autorisé à parler publiquement. Ça frustre beaucoup de gens.”
Le 12 décembre 2022, article publié par Le Journal de Montréal
“Seulement en 2020, année pendant laquelle la pandémie de COVID-19 a éclaté, la Caisse de dépôt a payé près de 3,4 millions de dollars pour des services de McKinsey, a indiqué l’institution en réponse à une demande déposée en vertu de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics.”
“La Caisse, qui a recours à McKinsey «depuis plusieurs années», a toutefois refusé de divulguer les mandats confiés au puissant cabinet privé.”
“En 2021, la Caisse a versé un peu plus de 1,1 million $ à McKinsey. En 2019, la somme s’était élevée à près de 2,1 millions $.”
“McKinsey, qui compte un bureau à Montréal, a beaucoup fait parler d’elle cette année. En septembre, Radio-Canada a révélé que le gouvernement Legault lui a confié de larges pans du processus décisionnel entourant la campagne de vaccination contre la COVID, moyennant des honoraires de 1,7 million $.
De plus, le ministère de l’Économie, dirigé par Pierre Fitzgibbon, a retenu la firme l’an dernier pour le conseiller sur la relance post-pandémique – un mandat qui pourrait coûter jusqu’à 4,9 millions $ aux contribuables.”
Le 13 décembre 2022, article publié par La Presse
“L’équipe de la métropole québécoise sera responsable du « programme mondial pour des villes vertes, résilientes et durables », indique un communiqué de Montréal International. Elle aura pour mission d’élaborer « des recommandations de politiques et de gestes concrets en matière de développement urbain durable ».”
“« Montréal a été sélectionnée en raison de ses écosystèmes de pointe en développement durable et en intelligence artificielle, de même que ses institutions académiques et son bassin d’organisations internationales », précise-t-on. Des « pistes de collaboration » ont été établies avec des chercheurs de l’Université McGill, de l’Université Concordia et de l’Institut québécois d’intelligence artificielle, le MILA.
Déjà, en octobre, ONU-Habitat et le MILA ont lancé un « livre blanc collaboratif » sur la façon dont l’intelligence artificielle peut « soutenir le développement de villes et d’établissements humains durables sur les plans social et écologique ».”
Les liens des articles sont ici :
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