France : Les restrictions alimentaires post-lois egalim, un coup dur pour les consommateurs et les agriculteurs français


Les restrictions alimentaires post-lois egalim, un coup dur pour les consommateurs et les agriculteurs français

Publié le 21.2.2024


À partir du 1er mars, les consommateurs français verront la fin des grosses promotions sur les produits d’hygiène et ménagers, une décision attribuée à Frédéric Descrozaille, un pur Macroniste qui, selon certains, incarne la pire espèce du gouvernement actuel. Cette mesure, présentée comme une tentative de préserver les intérêts des petits agriculteurs, soulève des questions quant à ses véritables motivations, certains y voyant plutôt une stratégie pour enrichir les alliés politiques et agro alimentaire.

Le double discours en mode « accusation inversé »

En se basant sur les nouvelles directives, un simple steak surgelé de 100 grammes se voit rationné à 4,5 portions pour 14 repas. Le jambon et le pâté, eux, sont tout bonnement absents des options. Ces restrictions alimentaires laissent entrevoir un projet plus vaste, celui d’un agenda mondialiste dont les contours sont tracés par des figures comme Klaus Schwab du WEF de Davos.

Sous le prétexte de la protection de l’environnement et de la lutte contre le réchauffement climatique, des terres sont promises à de grands groupes industriels au détriment des agriculteurs locaux. Des usines de farine d’insecte se dressent déjà sur l’horizon, prêtes à produire une nourriture dont la qualité laisse à désirer. Les craintes se cristallisent autour d’un scénario cauchemardesque où la population serait réduite à l’esclavage alimentaire, contrainte de se nourrir de produits douteux.

L’essor des steaks végétaux, ou de la viande cultivée, souvent importés, est également pointé du doigt. Si ces alternatives semblent répondre à une demande croissante pour une alimentation plus durable, leur origine hors de France suscite des inquiétudes quant à leur sécurité sanitaire.

Ils ne veulent plus d’agriculteurs…

Suisse :

Où que vous regardiez le géant orange, McKinsey s’illumine partout.

Cela crée des émotions. La consultante est considérée comme la plus controversée dans le monde du conseil, en Suisse, elle a été la compagne de Swissair vers le mur.

Aujourd’hui, les fissures de la branche suisse de McKinsey, qui vient d’emménager dans un nouveau siège dans le manoir reconverti de la Bahnhofstrasse, dirigent le grand démantèlement de l’empire Dutti.

Pour la Suisse un exemple avec Migros qui est regardé très bien conseiller, car toutes les filiales agro sont infiltrés par Mc kinsey ou autre Mondialiste corrompus :

Le dernier top shot des dirigeants de Migros, avec des années d’errance chez McKinsey, est Matthias Wunderlin, qui est passé de responsable du commerce de détail à « chief transformation officer » puis à nouveau chef des « entreprises industrielles ».

Wunderlin a également été Mackie pendant 7 ans, de 2000 à 2007, avant de rejoindre Migros en 2008.

Dans ce tableau sombre des globalistes, la disparition progressive des agriculteurs français ou européen, apparaît comme l’un des objectifs majeurs. Privés de leurs moyens de subsistance, les éleveurs se voient peu à peu relégués au second plan, alors que l’industrie agroalimentaire poursuit sa marche en avant, indifférente aux conséquences sur le tissu social et économique du pays.

En conclusion, derrière les discours sur l’écologie et le bien-être des agriculteurs se cache une réalité bien plus sinistre : celle d’un système qui sacrifie les intérêts nationaux sur l’autel du profit et de la domination mondiale. Les Français doivent rester vigilants face à ces manœuvres politiques et économiques qui menacent leur souveraineté alimentaire et leur liberté de choix.

Quant à eux aucun problème pour les restaurants a grand coup de Bonne Bouffe

Comme les français adorent la gastronomie, il est normal qu’on me demande ce que les Arnault et Brigitte ont diné hier soir. Ils ont sélectionné un restaurant simple. Chez Anna. Étrangement, les Arnault n’aiment pas le caviar, leur péché mignon ce sont les pâtes.

Ils adorent tous ça. C’est pourtant un plat de pauvre. Alors, il est vrai qu’ils rajoutent de la truffe, mais de simples pennes les rend complétement hystériques. Les joies de la simplicité sans doute. Alexandre Arnault a un faible pour les coquillettes au jambon, mais Jean, lui, ne jure que par les pâtes aux gambas.

Chez Anna, c’est accessible pour eux, la penne est à 46 euros. Ils rajoutent pour la forme un petit agneau rosé à l’os à 110 euros et l’affaire est faite. Brigitte, elle, avait une faim de loup hier soir. Ce fut entrée, plat, désert. Elle a commencé avec un caviar d’aubergines grillé, préparé à la minute avec feta, poivrons et persil, avant d’enchainer sur un steak mariné et grillé, accompagné par des brocolis et des champignons au miel. Mais le drame est arrivé pour le dessert. Une surprise du chef. Il avait réalisé une coccinelle en chocolat avec un coulis de fruit rouge. Madame n’a pas du tout apprécié.

Elle a quitté la table sans payer et s’est dirigée vers les « paparazzis » rémunérés eux par l’Élysée pour l’attendre et lui dire des mots réconfortants, comme « Madame la présidente », « vous êtes incroyable » ou « j’adore votre outfit », l’un d’eux a même osé l’appeler : « LA REINE ».

Regardez :

On nous a interdit d’en parler. Il ne fallait rien de plus pour s’exécuter. Hier a eu lieu le dîner le plus important pour l’avenir de la France. Brigitte a été convoquée par les Arnault pour un point de mi-mandat et savoir s’il était possible de continuer dans ces conditions. Ça a eu lieu dans le restaurant Anna, dans le 8e arrondissement de Paris. Il a été question, dès l’entrée, de la sortie des nouvelles photos de Jean-Michel Trogneux. Ils ont lu à table les meilleurs posts sur le sujet pour prendre ensemble la température et voir si les français étaient prêts à embrasser l’histoire de la première dame comme une fierté nationale.

Pendant ce temps, Jean Arnault a fait une crise se plaignant que c’était son frère qui allait reprendre le flambeau de LVMH et sa maman Hélène Mercier-Arnault l’a rassuré en disant qu’il pouvait encore se rattraper pour tuer symboliquement son frère. Brigitte a simplement dit qu’elle avait bien invité Lisa du groupe Blackpink, comme demandé, parce que c’est la nouvelle petite amie de l’un de ses élèves particuliers.

Mais la seule information à retenir, c’est qu’ils ont proposé à Brigitte un petit palais contemporain à Beverly-Hills pour sa retraite et pour la remercier du travail accompli. Elle était vexée, disant que c’était un comble que la France offre un château à Ghislaine Maxwell en France et qu’elle, devait s’exiler aux États-Unis. Il est clair que s’ils décaissent déjà l’immobilier, c’est qu’ils savent que le mandat n’ira pas jusqu’à son terme.

Brigitte Macron et Frédéric Arnault a la sortie de restaurant Anna à paris