Israël : Israël retire des forces de Gaza et libère des réservistes pour l’économie, tout en se préparant à une guerre prolongée


Israël retire des forces de Gaza et libère des réservistes pour l’économie, tout en se préparant à une guerre prolongée

Publié le 1.1.2024


Un responsable israélien a déclaré qu’Israël retirait certaines forces de Gaza « pour passer à des opérations plus ciblées contre le Hamas ».

Tsahal affirme qu’environ 17 % des décès de ses soldats pendant la guerre avec la bande de Gaza étaient des accidents.

La mort de 29 des 170 soldats lors des opérations à Gaza était due à ce qu’on appelle des tirs amis.

Dix-huit des 170 soldats ont été tués par des tirs amis en raison d’une erreur d’identification, notamment lors de frappes aériennes, de bombardements de chars et de tirs d’armes à feu.

Deux soldats ont été tués par des tirs qui n’étaient pas destinés à les atteindre.

Neuf soldats ont été tués dans des accidents, notamment en tirant accidentellement des armes, en étant écrasés par des véhicules blindés et en étant touchés par des éclats d’obus provenant de démolitions contrôlées.

Depuis le début des opérations terrestres, entre deux et six soldats ont été tués chaque semaine dans des incidents de tirs amis ou dans des accidents, selon les données.

Tsahal ramène également partiellement les réservistes à la vie civile pour aider l’économie alors que le pays entre dans une nouvelle année marquée par une guerre prolongée.

Israël a enrôlé 300 000 réservistes pour la guerre, soit environ 10 à 15 % de sa main-d’œuvre.

Certains ont été rapidement libérés de leur obligation, mais des sources gouvernementales ont indiqué qu’entre 200 000 et 250 000 d’entre eux étaient toujours en service et absents de leur emploi ou de l’université.

L’Iran a révélé les noms des quatre « agents du Mossad » exécutés le 30 décembre, dernier.

Leurs noms sont :

  • Vafa Hanareh
  • Aram Omari
  • Rahman Parhazu
  • Nasim Namazi

Ils travaillaient sous la direction du Mossad et tentaient d’identifier les personnels qui coopéraient avec la sécurité iranienne et les kidnappaient, les menaçaient et les battaient pour obtenir des informations secrètes.

Quelque chose qui frappe chez les journalistes palestiniens.

Ils déposent des gilets de presse sur les cercueils, ils les portent aux funérailles. Ils sont fiers de leur métier et ils l’honorent.

Et pourtant, de nombreux journalistes restent silencieux sur ce qui leur arrive.

Ils méritent notre solidarité.