Le professeur gauchiste Alan Dershowitz défend Elon Musk qui dénonce le super-vilain marxiste George Soros… et explique pourquoi Musk n’est pas un « antisémite » et pourquoi Soros est un ennemi d’Israël [VIDÉO].
Publié le 26.5.2023
Le 17 mai, l’homme le plus riche du monde et défenseur de la liberté d’expression, Elon Musk, a stupéfié le monde lorsqu’il a tweeté au sujet du méga-fondateur démocrate-marxiste George Soros, qu’il a qualifié de « Magneto », le super-vilain de Marvel Comics.
Soros me rappelle Magneto, a-t-il tweeté.
Traduction du tweet :
Soros me rappelle Magneto
Lorsque Musk a été attaqué pour avoir ouvertement critiqué le milliardaire véreux George Soros, il s’est moqué de lui en tweetant : « J’aimerais m’excuser pour ce post », avant d’ajouter : « C’était vraiment injuste pour Magneto. »
Traduction du tweet :
C’était vraiment injuste pour Magneto
Traduction du tweet :
Lorsque Thomas Matthew a répliqué en disant que « Magneto est waaaaaaaaaaaay cooler », Musk a répondu avec « Fair point » et un emoji rieur.
Tout à fait d’accord 😂
Brian Krassenstein, qui est l’une des voix pro-marxiste-parti démocrate les plus fortes sur Twitter, a répondu en tentant de transformer Soros en victime en suggérant que la déclaration de Musk était antisémite en soulignant que Magneto était un survivant de l’Holocauste, et en suggérant faussement que Soros a de « bonnes intentions » qui sont simplement mal comprises, Musk a répondu avec « Vous supposez qu’elles sont de bonnes intentions. Ce n’est pas le cas. » Il a poursuivi en disant : « Il veut éroder le tissu même de la civilisation. Soros déteste l’humanité. »
Traduction du tweet :
Vous supposez qu’il s’agit de bonnes intentions. Ce n’est pas le cas. Il veut éroder le tissu même de la civilisation. Soros déteste l’humanité.
Presque immédiatement après que ses tweets sur Soros sont devenus viraux, Elon Musk a été interviewé par David Faber, de CNBC, qui a tenté de lui faire honte d’avoir partagé ses idées sur Soros. « Pourquoi le partager [son tweet qui parlait de son mépris pour George Soros] alors que les gens qui achètent des Teslas peuvent ne pas être d’accord avec vous ? Les annonceurs sur Twitter ne sont peut-être pas d’accord avec vous », a demandé M. Faber à M. Musk, qui l’a presque supplié de retirer ses tweets.
M. Musk a expliqué qu’en Amérique, la liberté d’expression existe toujours et qu’il ne faisait que dire ce qu’il pensait, ce qu’il a toujours le droit de faire. « Je dirai ce que je veux, et si cela a pour conséquence de me faire perdre de l’argent, qu’il en soit ainsi », a expliqué M. Musk avec audace.
Regardez l’échange ici :
Interrogé sur ses tweets de George Soros, Musk répond qu’il est « pro-sémite » et dit qu’il ne veut pas que cela se transforme en « interview de Soros »
La gauche, qui ne supporte pas que son super-vilain soit correctement identifié par l’homme le plus riche du monde, a rapidement transformé les commentaires de Musk en une attaque « antisémite » contre le sale milliardaire. L’avocat libéral Alan Dershowitz, qui est juif, a pris la défense de Musk dans une tribune du Wall Street Journal.
Voici une partie de ce que Dershowitz a écrit dans le Wall Street Journal pour défendre l’évaluation de Musk du super-vilain :
Elon Musk a été accusé d’antisémitisme en raison de ses critiques et de ses moqueries à l’égard de George Soros. M. Soros est juif, M. Musk ne l’est pas. Mais M. Musk est accusé à tort. M. Soros participe activement à la vie politique et sa judéité ne devrait pas le mettre à l’abri des critiques.
En outre, personne n’a fait plus que George Soros pour nuire à la réputation d’Israël dans le monde, en particulier parmi les soi-disant progressistes. Son soutien financier a multiplié l’influence des deux principales organisations qui ont le plus contribué à faire évoluer le paradigme de la gauche contre Israël.
Bien qu’elle se présente comme une organisation progressiste pro-israélienne et pro-palestinienne, J Street a beaucoup fait pour que la plupart des démocrates progressistes et certains démocrates libéraux – y compris des membres du Congrès, des universitaires et des personnalités des médias – se retournent contre Israël. L’année dernière, Haaretz a rapporté que M. Soros avait versé 1 million de dollars au super PAC de J Street, soit « 20 fois plus que tout autre don reçu précédemment par le J Street Action Fund ».
Je ne suis pas le seul juif américain à critiquer M. Soros. Dans un article publié en janvier par le Jewish News Service, Farley Weiss, ancien président du Conseil national du Jeune Israël, écrit : « Les défenseurs de Soros tentent de faire taire les critiques à l’égard du milliardaire en prétendant qu’elles sont antisémites parce que Soros lui-même est juif. Mais personne n’a financé autant d’attaques destructrices contre Israël et la communauté juive américaine que Soros ».
Amichai Chikli, dont la bio sur Twitter se lit comme suit : Ministre de la diaspora et de la lutte contre l’antisémitisme et ministre de l’égalité sociale. Fondateur du Midrash for Zionist Leadership, il a également défendu Elon Musk et ses propos visant le milliardaire George Soros, méga-démocrate et bailleur de fonds du parti marxiste :
Traduction du tweet :
En tant que ministre israélien chargé de la lutte contre l’antisémitisme, je tiens à préciser que le gouvernement israélien et la grande majorité des citoyens israéliens considèrent Elon Musk comme un entrepreneur extraordinaire et un modèle à suivre. Les critiques à l’encontre de Soros, qui finance les organisations les plus…
M. Chikli a également fait part de son soutien au professeur émérite de la faculté de droit de Harvard, Alan Dershowitz :
Traduction du tweet :
« Aucune personne n’a fait plus pour nuire à la position d’Israël dans le monde, en particulier parmi les soi-disant progressistes, que George Soros. »
Merci au professeur Dershowitz de dire la simple vérité
Il a fait suivre son tweet d’un rappel qu’il n’est pas la seule voix juive de premier plan à avoir condamné George Soros.
« Je ne suis pas le seul juif américain à critiquer M. Soros. Dans un article publié en janvier par le Jewish News Service, Farley Weiss écrivait : « Les défenseurs de Soros tentent de faire taire les critiques à l’encontre du milliardaire en prétendant qu’elles sont antisémites parce que Soros lui-même est juif. Mais personne n’a financé autant d’attaques destructrices contre Israël et la communauté juive américaine que Soros ».
Le tweet de M. Chikli a reçu le soutien d’autres juifs éminents et d’organisations, comme B’nai Brith Canada, qui a partagé un article écrit par DC Leaks qui expose le financement par George Soros de groupes antisémites et d’organisations qui prônent le boycott d’Israël :
DCLeaks.com a révélé que Soros, un magnat des affaires d’origine juive hongroise, a l’habitude de financer des groupes anti-israéliens. Soros a fondé et continue de financer les groupes suivants : PILI Foundation, Mada al-Carmel, The Galilee Society, Adalah, Al-Tufula Center, New Israel Fund, Women Against Violence, Kayan-Feminist Organization, Ma’an, Injaz, Sidreh, Lakiya, Baladna, Arab Association for Human Rights, Mossawa Center, National Committee of Heads of Arab Local Authorities in Israel, et Molad. Tous ces groupes sont anti-Israël et soutiennent le mouvement de boycott et de sanctions contre l’État juif. Certains de ces groupes vont jusqu’à affirmer qu’Israël n’a pas le droit d’exister et que le peuple juif n’a pas le droit d’y résider.
Tablet a rapporté que ces groupes avaient reçu d’énormes sommes d’argent de la part de la fondation de Soros. Par exemple, Adalah, un groupe qui accuse Israël de crimes de guerre et plaide pour que les puissances mondiales rompent leurs liens diplomatiques avec l’État juif, a reçu 2 688 561 dollars en 14 subventions depuis 2001.
I’lam, un centre médiatique palestinien, a accusé Israël de nettoyage ethnique à plusieurs reprises. Il fait campagne pour convaincre les gens que l’État juif n’a pas le droit d’exister. L’Open Society Foundation a accordé à ce groupe 1 083 000 dollars en neuf subventions depuis 2003.
Le dernier groupe en date à avoir reçu des fonds de Soros est le mouvement Black Lives Matter. Ce mouvement, basé aux États-Unis, n’est pas principalement anti-israélien ; sur son site web, il décrit son mouvement comme une campagne « pour un monde où les vies noires ne sont plus systématiquement et intentionnellement ciblées pour être détruites ». Récemment, le mouvement Black Lives Matter a élargi sa plateforme de campagne pour soutenir le mouvement de boycott et de sanctions contre Israël. Soros aurait fourni au mouvement 650 000 dollars destinés à l’assistance technique.
Il y a tellement d’exemples qui montrent la véracité de la déclaration d’Elon Musk sur George Soros, y compris ce clip vintage du milliardaire d’extrême gauche jubilant de la facilité avec laquelle il peut capitaliser sur l’effondrement de l’économie dans les nations du monde entier – dans ce cas, il cite la Pologne comme exemple.
Traduction du tweet :
George Soros planifie cela depuis des décennies. Faire s’effondrer l’économie… puis prendre le contrôle avec une fraction des ressources nécessaires pour prendre le contrôle d’une économie forte et mettre en œuvre le socialisme !
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