USA : L’accusatrice de Kavanaugh admet qu’elle a menti… et fait face à des accusations criminelles.

L’accusatrice de Kavanaugh admet qu’elle a menti… et fait face à des accusations criminelles.

Publié le 26.2.2023

Le juge de la Cour suprême Brett Kavanaugh a été confronté à l’une des audiences de confirmation du Sénat les plus controversées et les plus politisées de l’histoire des États-Unis.

Les démocrates du Sénat n’ont pas seulement critiqué ses opinions politiques et ses décisions passées, ils ont également mis en avant les accusations d’agression sexuelle contre Kavanaugh, malgré l’absence de preuves dans un certain nombre d’accusations portées à l’attention du Sénat.

Après une enquête, le Sénat a estimé que les accusations n’étaient pas fondées et a choisi de le confirmer, une décision qui a suscité l’indignation des politiciens et des militants démocrates et a été le catalyseur du mouvement #MeToo.

Aujourd’hui, il a été révélé que l’une des accusatrices a fabriqué ses accusations « pour attirer l’attention ».

La personne a été renvoyée pour des poursuites pénales par le président de la commission judiciaire du Sénat, Chuck Grassley, R-Iowa.

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Traduction du tweet :

La révélation que des membres du parti démocrate ont conspirée avec les menteurs qui se sont parjurés lors des audiences de Kavanaugh pour modifier la Cour suprême est une menace bien plus grande pour la démocratie que ne l’a JAMAIS été le 6 janvier. C’est loin d’être le cas.

This revelation that members of the Democrat party conspired with the liars who perjured themselves in the Kavanaugh hearings to alter the Supreme Court was a much bigger threat to democracy than Jan 6 EVER was. It’s not even close.https://t.co/6OATXUuvzw
— David A. Clarke, Jr. (@SheriffClarke) February 20, 2023

Zero Hedge rapporte : Judy Monro-Leighton, l’une des trois femmes qui ont accusé l’actuel juge Brett Kavanaugh d’agression sexuelle, a menti au cours d’une enquête du Congrès et est maintenant accusée de faire de fausses déclarations et d’obstruction.

Selon The Beltway Report, une lettre écrite par le président de la commission judiciaire du Sénat, Chuck Grassley, R-Iowa, a fait un renvoi au pénal contre Mme Monro-Leighton, qui a admis qu’elle « voulait juste attirer l’attention ».

Elle a également admis qu’une lettre anonyme qu’elle a envoyée à Kamala Harris, alors sénateur, décrivant une agression sexuelle graphique par Kavanaugh et un ami n’a pas été écrite par elle, malgré sa déclaration initiale d’être « Jane Doe d’Oceanside, Californie ».

« Non, non, non. J’ai fait cela pour attirer l’attention », a expliqué Mme Munro-Leighton lorsqu’elle a été interrogée par les enquêteurs de la commission judiciaire. « Je ne suis pas Jane Doe… mais j’ai lu la lettre de Jane Doe. J’ai lu la transcription de l’appel à votre commission… Je l’ai vu en ligne. C’était une nouvelle. »