Q SCOOP – Une nouvelle enquête sur une bombe médiatique « La COVID-25 », ou « La pandémie de SPARS ».


Il faut informer au maximum… !

Le plan du Deep-State de plus en plus révélé :

Voici une nouvelle bombe médiatique que nous allons vous expliquer avec la découverte de ces informations, en plus du Grand Reset de klaus Schwab, le nouvel Hitler de l’Europe.

Saviez-vous que la banque mondiale a programmé la Covid-19 jusqu’au 31 mars 2025 ? Et qu’en suivra la pandémie « SPARS » 2025-2028 ? Découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA)

(voir page 6 du document PDF à télécharger sous la vidéo)
Ce script ne concerne pas uniquement les États-Unis d’Amérique, mais le monde entier.

NB : L’université Johns Hopkins de Baltimore aux USA est aussi célèbre que la tour Eiffel en France.

Le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire a écrit un autre scénario avec un titre assez prometteur, vous avez souffert avec la pandémie de la COVID-19, ce n’est rien comparé au second plan prévu qui est en route vers le nouveau COVID-25, nous vous présentons : 

« La pandémie de SPARS ».

Problème, elle se passera de 2025 à 2028. Nous sommes dans un mauvais film dont le scénario a été écrit en 2017 ! Pour une épidémie liée à un nouveau coronavirus de 2025 à 2028 ? Ce document de l’institut Johns Hopkins est effarant. Cet institut a également piloté l’évent 201. C’est un délit d’initié à la ramification énorme, un passage en force mondial et pour l’instant ça marche… Opération Lockstep ! Event 201 ! Plan du forum de Davos et de Schwab ! Le transhumanisme en route! Réveille-toi peuple de France où tu seras anéanti, tes enfants seront les esclaves de ces malades, tes anciens seront euthanasiés jusqu’au dernier, réveillez-vous. Leur plan marche parfaitement regardez dessous leurs projections de dépopulation mondiale……


Table des Matières:

Le plan du Deep-State de plus en plus révélé

La pandémie « SPARS » 2025-2028 (Vidéo)

Le projet de la dépopulation mondiale est en route

« La pandémie de SPARS »

« La pandémie de SPARS ».pdf

COVID-19.pdf

Ils ont tenté d’anticiper nos réactions !

Toujours dans leur scénario

Nous rappelons que cela date de 2017

On continue


[Vidéo 25 mn] La pandémie « SPARS » 2025-2028 : découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA) ci-dessous

COVID – VOUS VOULEZ CONNAÎTRE LA SUITE ? (version courte)
LA SUITE DU COVID S’APPELLE « SPARS »
Covid-19… ça n’en finit pas, hein?
VOUS VOULEZ SAVOIR LA SUITE ?
Ca tombe bien, elle est déjà écrite…
ET ELLE S’APPELLE « SPARS 2025-2028 »
Notre avenir, c’est la nouvelle PANDÉMIE de SPARS, c’est joli, hein?
Et comme le COVID, c’est une PLANDÉMIE.
Le scénario est déjà tout prêt.
Et depuis longtemps.
Vous en doutez? Alors jetez plutôt un petit coup d’oeil dans le rétro:
Covid-19, c’était du cousu main…

Réalisation: nouslepeuple

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Le projet de la dépopulation mondiale est en route

« Historiquement, un changement dans le paradigme économique a entraîné un nombre de morts qui est rarement souligné par les historiens traditionnels. » — Deagel.com

Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prévoit une dépopulation mondiale massive de 50 à 80% d’ici 2025. Peu de gens connaissent ce site internet et encore plus affirment que l’organisation n’existe pas légitimement. Malgré la suppression écrasante de son importance, les documents de WikiLeaks ont révélé qu’il était légitimement utilisé comme matériau de référence dans un rapport Stratfor sur les capacités technologiques de la République populaire de Corée du Nord.

Selon son propre site internet, Deagel fournit des nouvelles et des renseignements sur l’aviation militaire internationale et les technologies de pointe. Le site internet contient des articles datant de 2003, mais on en sait peu sur les vrais propriétaires. De nombreux chercheurs en ligne ont confondu ce site par erreur avec « deagle.com » qui appartient à Edwin A. Deagle, Jr., assistant du secrétaire à la défense et du secrétaire adjoint à la défense. Lire la suite ICI…

L’organisme Deagel prévoit la dépopulation mondiale massive de 50 à 80% d’ici à 2025 voici le calcul rendu officiellement.

67M = 39Millions d’habitants en France !!!

81M = 28Millions Germany

327M = 100 Millions US

36M = 26 Millions Canada

66M = 15 Millions UK

23M = 15 Millions Australia

L’info date du 20 octobre 2020

Voici la citation de Deagel

« Tenez compte du fait que la prévision n’est rien d’autre qu’un modèle, qu’il soit erroné ou correct. Ce n’est pas la parole de Dieu ou un appareil magique qui permet de prévoir l’avenir. » — Deagel.com

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Revenons à notre affaire:

« La pandémie de SPARS »

Et sur le fait que le Johns Hopkins Center voulait anticiper la communication pour faire accepter la vaccination de masse !

Traduction de la page 6 :

Les messages de sensibilisation et de prévention diffusés chaque année pour la grippe saisonnière, associés à des procédures d’isolement pour les cas suspects, permettraient de contrer efficacement la propagation du SPARS. Ces messages ont été diffusés via diverses sources de médias traditionnels et sociaux, notamment Facebook, Instagram, Reddit, Twitter et ZapQ.

L’inquiétude de nombreux Américains quant à la gravité du SPARS à ce stade de l’épidémie était modérément élevée. L’inquiétude du public était aggravée par la virulence apparente de l’agent pathogène. Sur le site au début de l’épidémie de SPARS, la compréhension de la maladie par les médecins provenait principalement de cas extrêmement graves entraînant une pneumonie ou un cancer, ou des cas extrêmement graves de pneumonie ou d’hypoxie ayant nécessité une hospitalisation et un traitement médical intensif.

Les cas légers de la maladie, qui présentaient des symptômes tels que toux, fièvre, des maux de tête et des malaises, étaient souvent perçus comme la grippe par les personnes qui en étaient atteintes et, par conséquent, n’étaient souvent ni traités ni diagnostiqués.

Par conséquent, ils n’ont souvent pas été traités ni diagnostiqués par le personnel médical. Par conséquent, les premières estimations du taux de mortalité ont été gonflées. À la fin du mois de novembre, les CDC ont fait état d’un taux de létalité initial estimé à 4,7 % pour le SPARS.

4,7 % (en revanche, l’OMS a indiqué que le taux de létalité global du SRAS était de 14 à 15 % et de plus de 50 % pour les personnes âgées de plus de 64 ans).

Plus tard au cours de l’épidémie de SRAS, les données qui comprenaient des estimations plus précises des cas de SRAS léger ont indiqué un taux de létalité plus élevé.

Estimations plus précises des cas légers de SRAS ont indiqué un taux de létalité de seulement 0,6 %).
Deux autres caractéristiques du virus du SRAS qui n’avaient pas été appréciées au début de la pandémie, mais qui ont eu une incidence sur le taux de mortalité, mais qui ont eu un impact sur le déroulement de l’épidémie, sont également importantes à prendre en compte lors de l’examen de cet événement.

Premièrement, le virus avait une période d’incubation prolongée (sept à dix jours) par rapport à sa période de latence (quatre à cinq jours).

Ainsi, les personnes infectées pouvaient propager le virus jusqu’à près d’une semaine avant de
avant de présenter elles-mêmes les symptômes de la maladie. Par conséquent, l’isolement des patients malades du SPARS s’est révélé moins efficace que l’isolement des patients infectés par d’autres maladies respiratoires mieux caractérisées.

Deuxièmement, la morbidité et la mortalité dues au SPARS étaient nettement plus élevées chez les enfants que chez les adultes. Les femmes enceintes et les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques comme l’asthme et l’emphysème présentaient également un risque plus élevé de complications de la maladie et de décès.


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PDF

Voici les PDF écrit en anglais, les liens ci-dessous permettent de les télécharger ensuite vous sélectionner les passages qui vous interpellent et vous les traduisez.

Lien ici : THE SPARS PANDEMIC

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PDF

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Autre lien ci-dessous du :

Projet mondial de préparation et de réponse stratégique COVID-19.pdf

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Tout est devant nos yeux !

Ils ont tenté d’anticiper nos réactions !

Traduction : « Quels seraient les risques encourus si le public, les médias et/ou leaders politiques sentaient qu’on leur cache l’information autour de potentiels traitements!? »


Traduction

En 2021, un coronavirus a provoqué un foyer dans les populations de mammifères à sabots de la Région 7 (Asie du Sud-Est). Nos chercheurs ont développé et produit en interne un vaccin efficace contre l’infection (HMRV-vac14). Son approbation et son utilisation ont permis de mettre fin à l’épidémie dans la région. Bien qu’il soit largement efficace pour prévenir l’infection, des effets secondaires graves – y compris des jambes enflées ; des douleurs articulaires intenses et une encéphalite pouvant entraîner des crises, des troubles convulsifs ou la mort – sont parfois survenus (pièce jointe 1). sont parfois survenus (pièce jointe 1). Étant donné les millions de vaccinations nécessaires pour la Région 7, cela a entraîné des pertes mesurables pour la population animale ; toutefois, ces pertes étaient acceptables par rapport à celles de l’infection respiratoire elle-même. Comparées à celles de l’infection respiratoire elle-même (pièce jointe 2). Chacun des effets secondaires graves s’accompagnait d’une présentation physique telle que l’animal affecté était retiré de la population et réformé pour éviter la transformation des animaux affectés en vue de leur vente.

On ignore pour l’instant dans quelle mesure les deux coronavirus sont similaires et si le vaccin HMRV-vac14 (ou un vaccin similaire) serait efficace chez les humains. En raison de son développement pour un usage interne, l’HMRV-vac14 n’a pas été testé ou autorisé par une agence gouvernementale pour une utilisation chez les animaux ou les humains.

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Toujours dans leur scénario :

Des millions de $ perdus à cause de l’utilisation consciente de médicaments inefficaces ! Tiens ! Ça nous rappelle le scandale du Remdesevir.

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Passons maintenant au vaccin, toujours dans leur scénario :

On joue sur l’émotion et la culpabilisation. On se dispute sur les réseaux sociaux, pour définir ceux qui sont prioritaires pour recevoir le vaccin.

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Nous rappelons que ça date de 2017!

Traduction : Comment les autorités fédérales peuvent-elles éviter que les gens voient le développement et les tests du vaccin, qui ont été expédiés, comme quelque chose de bâclé et intrinsèquement défectueux ?

Traduction :

DILEMME DE LA COMMUNICATION

Maintenir la confiance dans les processus gouvernementaux pour garantir le développement en temps voulu de vaccins sûrs et efficaces développements en temps voulu de vaccins sûrs et efficaces
Quand de nouvelles menaces apparaissent


PISTES DE RÉFLEXION

1) Comment les autorités sanitaires fédérales pourraient-elles éviter que les gens ne voient éventuellement un processus accéléré de développement et de test des vaccins SPARS
comme étant en quelque sorte « précipité » et intrinsèquement défectueux, même si ce processus répond aux mêmes critères de sécurité et d’efficacité. Même si ce processus répond aux mêmes normes de sécurité et d’efficacité que tout autre vaccin ? Tout autre vaccin ?

2) Comment les autorités sanitaires fédérales pourraient-elles répondre aux critiques qui
qui proposent que la protection de la responsabilité des fabricants de vaccins SPARS
met en péril la liberté et le bien-être individuels ?

3) Une fois que le vaccin sera largement disponible (voir le chapitre, « Privilèges du chef de file »), comment les communicateurs en santé publique pourraient-ils santé publique peuvent-ils appliquer le principe des « meilleures pratiques » qui consiste à permettant aux gens de prendre leurs propres décisions en connaissance de cause sur d’accepter ou non le nouveau vaccin SPARS ?


4) Quelles sont les conséquences possibles si les responsables de la santé rassurent trop le public sur les risques d’un nouveau vaccin SPARS alors que les effets à long terme ne sont pas encore connus ?

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ON CONTINUE.

Bien sûr, le public a compris le danger du vaccin et n’en veut pas ! Comment doit-on s’y prendre pour atténuer cette résistance ? Ce sont les questions auxquelles ils ont tenté de répondre en 2017, pendant le scénario de répétition !

Réveillez-vous !

Traduction :

L’inquiétude concernant le SPARS était assez forte chez de nombreux parents de jeunes enfants, et lorsque les campagnes anti-vaccination ont commencé à menacer l’adoption du vaccin, certains de ces parents ont commencé à se mobiliser. Les parents qui avaient participé activement aux campagnes de provaccination de 2015 ont commencé à réutiliser les canaux de communication développés à cette époque, notamment les pages Facebook et les comptes Twitter.

De nouveaux groupes locaux ont également commencé à s’organiser sur ZapQ, Snapchat et d’autres médias sociaux. Finalement, en novembre 2026, plusieurs de ces groupes se sont regroupés pour former un groupe national semi-cohésif qui a tenté de contrer les efforts du groupe super-anti-vaccination.
Le HHS, y compris le CDC et la FDA, et d’autres agences gouvernementales aux niveaux fédéral, étatique et local ont également renouvelé leurs efforts de communication en faveur de la vaccination en faveur de Corovax. Le message commun développé sur Corovax initialement utilisé au début du mois de juin a été rediffusé, et deux autres messages ont été élaborés et distribués à la mi-octobre, juste avant que le vaccin ne soit mis à la disposition de l’ensemble de la population américaine.

Paul Farmer, le célèbre expert en santé mondiale, a fourni le dialogue pour le premier de ces messages. Il a salué la sécurité et l’efficacité de Corovax et a souligné les dangers du SPARS. Son seul regret, a-t-il dit, est que le vaccin ne puisse pas encore être mis à la disposition de tous les habitants de la planète. Dans le second message, l’ancien président Bennett s’est racheté en diffusant à la télévision sa vaccination ainsi que celle de deux autres personnes ainsi que celle de deux de ses petites-filles.

Ces efforts en faveur de la vaccination ont été largement couronnés de succès et les taux de vaccination dans de nombreuses régions du pays ont commencé à augmenter jusqu’en décembre 2026. La population ayant les taux de vaccination les plus élevés aux États-Unis, n’a pas participé à cette rhétorique pro-vaccination. Les Philippins-Américains et les immigrés philippins vivant aux États-Unis – les groupes les plus étroitement associés au SPARS dans les médias, et du moins dans les esprits. Dans les médias et, du moins dans certains cercles, le groupe souvent accusé d’être responsable de la propagation du SRAS. Des taux de vaccination presque parfaits. Bien que les Philippins à travers les États-Unis aient fait preuve d’une grande solidarité tout au long de la pandémie du SPARS, leur potentiel en tant que source de rhétorique pro-vaccination est resté largement inexploité.

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