
La liberté d’expression menacée par la censure européenne ? “On va infliger une énorme amende à Elon Musk”, Bruxelles rackette, Musk encaisse
Publié le 26.12.2025 à 13h42 – Par Valentina Costa – Temps de lecture 5mn
Je vais être très claire. Thierry Breton, le commissaire européen chargé du marché intérieur, c’est le bouton “mute” de la démocratie. Il appuie dessus dès qu’une opinion dépasse du cadre PowerPoint de Bruxelles, dès qu’une voix s’élève pour contester les décisions prises par les instances européennes. La liberté d’expression, chez lui, c’est comme le Wi-Fi dans le métro parisien : sur le papier, ça existe, mais dans la réalité, ça coupe tout le temps. Il nous explique que c’est “pour notre bien”, que c’est nécessaire pour protéger les citoyens de l’Union européenne des contenus nuisibles et des fake news. Mais toujours, la censure commence par de bonnes intentions et finit par des amendes, des poursuites judiciaires et des atteintes à la liberté d’expression.

Et parlons-en, de son arme magique : “On va infliger une énorme amende à Elon Musk.” Oh là là, panique à bord. Un type qui envoie des fusées dans l’espace, rachète des réseaux sociaux pour le plaisir, et se réveille le matin en décidant de défier des États… va trembler devant un formulaire PDF de la Commission européenne. Pourquoi l’Union Européenne a-t-elle donné une amende de 120 millions d’Euros à Elon Musk? Parce qu’il refuse de censurer sa plateforme.
Problème : La Bombe lâchée par ElonMusk !
Dans un tweet Il accuse la Commission européenne d’avoir proposé un deal « secret et illégal » à X : plus de censure contre zéro amende. X a dit non, mais d’autres plateformes ont accepté ! Un vrai comportement de parrains maffieux. Breton et von der Leyen devraient finir en taule

Mais soyons sérieux deux secondes. Musk n’en a rien à faire. Il ne va pas payer leur amende. Il va soit l’ignorer, soit la contester, soit rire, soit déplacer le problème ailleurs ou pire et je le souhaite, leur renvoyer le boomerang et faire payer l’Europe pour :
- Procédure abusive
- Discrimination inversée (reverse discrimination) : Concept US critiquant un traitement préférentiel aux minorités/étrangers au détriment des « nationaux », (Français menteur vs Américain véridique), ce serait une « discrimination nationale inversée » au sens polémique : le « local » abuse contre l' »étranger honnête ». Mais juridiquement, ça reste procédure abusive ou dénonciation calomnieuse.
- Dénonciateur calomnieux
- Abus de droit / détournement de procédure
Vous n’y croyez pas ? Ouvrez grand les yeux : ce génie vient de rafler le plus gros procès du monde et d’empocher le chèque record de l’histoire juridique ! Pour ma part, c’est pile le plan que je dégainerais contre ces jeunes-vieux schnocks corrompus de Bruxelles histoire de leur faire cracher le morceau. Et après ? Je rendrais l’argent directement aux vrais Européens, en cash, en bons plans ou en bons gros pieds de nez bien mérités !
Parce que le vrai rapport de force, ce n’est pas Bruxelles contre X, c’est une bureaucratie lente contre un type qui avance plus vite que leurs réunions préparatoires.
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Thierry Breton veut contrôler le récit, contrôler ce qui se dit, contrôler ce qui “peut troubler”.
Traduction : contrôler ce qui dérange. Et qui dérange ? Ceux qui ont des opinions différentes, ceux qui remettent en question l’ordre établi, ceux qui veulent faire entendre leur voix. Moi, je suis une personne « normale » et même moi, je vois le piège. La liberté, ce n’est pas confortable. Ce n’est pas propre. Ce n’est pas validé par un comité. Mais sans liberté, il ne reste que des plateformes aseptisées, des opinions sous anesthésie, et des citoyens traités comme des enfants.
Donc oui, Musk, c’est oui. Pas parce qu’il est parfait, mais parce qu’il refuse de plier devant des censeurs en costume. Breton, c’est non. Parce qu’à force de vouloir protéger tout le monde, il finit par museler tout le monde. Et moi, je préfère le chaos de la liberté à l’ordre de la censure. Je préfère avoir le droit de dire ce que je pense, même si cela dérange, même si cela choque. Je préfère avoir le droit de choisir ce que je veux lire, ce que je veux voir, ce que je veux entendre. Je préfère vivre dans un monde où la liberté d’expression est une réalité, où les citoyens sont traités comme des adultes, où les opinions sont respectées, même si elles sont différentes.
Fin de transmission.
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