Canada : J. Trudeau, un accord de règlement de 2,25 millions de dollars était signé en 2019 dans une affaire d’agression sexuelle


J. Trudeau, un accord de règlement de 2,25 millions de dollars était signé en 2019 dans une affaire d’agression sexuelle

Publié le 30.7.2023


Vous reprendrez bien un peu de Trudeau pour le dessert ? Bref retour en arrière sur une affaire qui avait défrayé là une au Canada en 2019.

Le 9 octobre 2019, la jeune fille qui a accusé Justin Trudeau d’agression sexuelle a signé les 2,25 millions de dollars. Les termes de cet accord empêchent à la fois l’accusatrice et Trudeau de reconnaître tout aspect de cette relation, selon son père, « elle avait beaucoup moins de 17 ans ».

The Buffalo Chronicle rapporte que l’accusatrice de Trudeau à West Grey était beaucoup plus jeune qu’on ne l’avait d’abord cru. (Traduction complète du journal the Buffalo Chronicle)

M. Trudeau est connu pour utiliser les salles de classe comme toile de fond pour les séances de photos.

L’accusatrice mineure du Premier ministre Justin Trudeau était beaucoup plus jeune qu’on ne le pensait à l’époque de leur relation, déclare son père à The Chronicle. Certains ont estimé que l’accusatrice avait 17 ans. C’est inexact. « Elle était beaucoup, beaucoup plus jeune que cela », a déclaré hier le riche homme d’affaires canadien au Chronicle. Il n’était pas parti à l’accord mutuel de non-divulgation et de non-dénigrement de 2,25 millions de dollars qu’elle a signés, en échange de son silence, le mercredi 9 octobre au soir. Les termes de cet accord empêchent l’accusatrice et M. Trudeau de reconnaître « tout aspect » de cette relation, sans déclencher une clause de dommages-intérêts à six ou sept chiffres. Cette pénalité commence à 500 000 dollars et augmente en fonction de l’ampleur de la violation.

Justin Trudeau, à l’âge de 29 ans.

Le père de l’accusateur a partagé avec le Chronicle une copie numérique de cet accord, protégée par un mot de passe, et nous a donné un accès limité à cette copie pendant plusieurs heures, à condition que nous n’en fassions aucune copie et que nous ne la distribuions pas. Cela aurait pu compromettre les termes de l’accord, qui impose des dommages-intérêts à l’une ou l’autre des parties dans le cas où elles reconnaîtraient ou discuteraient publiquement de leur relation. Il ne pense pas que le fait d’avoir parlé de l’existence de cet accord constitue une violation de ses termes, puisqu’il n’y était pas parti.

Il n’a pas obtenu le document de sa fille ; il lui a été adressé par erreur en copie conforme d’un courrier électronique entre les parties à la négociation. Les deux hommes ont entretenu une liaison longue et torride sur le campus et en dehors, alors que Trudeau enseignait l’art dramatique et le français à la prestigieuse West Point Grey Academy de Vancouver. Il a été découvert par le père de son accusatrice au domicile familial, ce qui a conduit les administrateurs de l’école à exiger qu’il soit immédiatement démis de ses fonctions. Il y a eu un « petit arrangement » à l’époque », dit-il, sans vouloir donner plus de détails. La relation a été découverte plusieurs mois après la mort de Pierre Trudeau. Il est décédé le 28 septembre et son fils a prononcé son éloge funèbre le 3 octobre – un événement qui a fait de lui une étoile politique montante, autour de laquelle une grande partie du Canada s’est pâmée. Selon ses amis, ses étudiants étaient particulièrement élogieux.

À l’époque, la famille a été informée que le contrat de travail standard de l’école comprenait des clauses de confidentialité qui lieraient M. Trudeau après son départ. Par principe, l’école ne fait aucun commentaire sur les questions de personnel. Les amis de Trudeau à l’époque affirment que le jeune homme, habituellement extraverti et exubérant, souffrait d’un épisode dépressif à la suite du décès de son père en 2000 et de celui de son frère en 1997. Ils estiment que toute irrégularité est probablement due à la fragilité de son état émotionnel à l’époque, et non à un quelconque trait de caractère néfaste. « Il était seul et déprimé depuis des mois », a déclaré un ami au Chronicle.

À l’époque, l’âge du consentement au Canada était de 14 ans. En 2008, le Premier ministre Stephen Harper a fait modifier la loi, portant l’âge à 16 ans, comme c’est le cas aujourd’hui. Toutefois, le Canada interdit les relations sexuelles entre des adultes et des personnes de moins de 18 ans lorsque l’adulte est en position de responsabilité pour le bien-être de l’enfant. Le comportement de M. Trudeau aurait été illégal à l’époque. À ce jour, M. Trudeau n’a pas démenti publiquement les informations du Buffalo Chronicle. Au lieu de cela, il a demandé à son personnel de communication de refuser de répondre à ces questions et d’attaquer la crédibilité de cette publication. Le Buffalo Chronicle n’a jamais – dans toute son histoire – été poursuivi pour diffamation ou pour toute autre raison. Nous n’avons jamais reçu de lettre de cessation et d’abstention de la part des sujets d’un article depuis que nous avons commencé à publier en 2014. Nous n’avons pas reçu de lettre de cessation et d’abstention de la part de M. Trudeau.

Justin Trudeau, apparaissant dans l’ouest de la pointe Grey Académie annuaire.

Trop d’amis bien-aimés de Justin Trudeau sont des pédophiles condamnés. L’un après l’autre. Des amis proches. Et il a été accusé, accusé de façon crédible.