Un ancien Navy Seal regrette maintenant sa décision de changer de sexe… et explique comment cela a détruit sa vie !
Publié le 26.12.2022
Article invité par Becky Behrends, M.D. Vice-présidente de la recherche pour Michigan Citizens for Election Integrity (MC4EI.com)
Chris Beck est devenu célèbre en 2013 lorsqu’il a décidé de devenir une femme, connue sous le nom de Kristin Beck. Ce qui a rendu son cas si accrocheur et digne d’intérêt pour les médias, c’est qu’il était un Navy Seal avec une illustre carrière militaire de 20 ans. Il avait reçu une Purple Heart ainsi qu’un Bronze Star au cours de ses 13 déploiements. Il est devenu la tête d’affiche du mouvement transgenre, participant aux défilés des fiertés. Il a également été utilisé par les médias et les psychologues pour “normaliser” l’admission des personnes transgenres au service militaire et pour obtenir le soutien des transgenres en transition.
Aujourd’hui, neuf ans plus tard, Beck veut redevenir un homme. Il affirme maintenant que “tout ce qui m’est arrivé au cours des dix dernières années a détruit ma vie. J’ai détruit ma vie ! Je ne suis pas une victime. Je me suis fait ça tout seul, mais j’ai été aidé”.
Il dit que lorsqu’il a commencé sa transition en 2013, il est entré dans le bureau d’un psychologue et, en une heure, il a été autorisé à prendre des hormones et “tous ces autres trucs.” Ces “autres trucs” comprenaient une chirurgie de féminisation du visage. Il n’a cependant pas subi de chirurgie génitale.
Beck déclare ce qui suit :
“J’étais utilisé… j’étais très naïf, j’étais dans une très mauvaise passe, et on a profité de moi. On m’a fait de la propagande. J’ai été mal utilisé par beaucoup de gens qui avaient des connaissances bien supérieures aux miennes. Ils savaient ce qu’ils faisaient. Je ne savais pas….. C’est une industrie d’un milliard de dollars, entre les psychologues, entre les chirurgies, entre les hormones, entre les produits chimiques, entre les traitements de suivi. Il y a des milliers de cliniques du genre qui apparaissent dans tout le pays. Et chacune de ces cliniques va probablement gagner plus de 50 millions de dollars.”
Dans une interview largement médiatisée avec Anderson Cooper de CNN en 2013, Beck a déclaré qu’il avait dû supprimer toute sa vie ses véritables sentiments de vouloir être une femme. Il a dit qu’il lui arrivait d’aller acheter de la lingerie chez Victoria’s Secret et de prétendre que c’était pour une petite amie fictive afin d’éviter les questions. Il/elle a dit qu’il était plus facile de faire du shopping les jours de fête, comme la Saint-Valentin, car il y avait plus d’hommes dans le magasin. Elle a publié un livre sur sa vie en tant que membre de l’équipe 6 des SEAL, intitulé “Warrior Princess : A US Navy SEAL’s Journey to Coming out Transgender”.
Maintenant, Beck dit : “Tout ce que vous voyez sur CNN avec mon visage, n’en croyez pas un mot.”
Beck fait une sortie publique sur sa décision de détransition parce qu’il désire plaider pour la protection des enfants contre la “folie transgenre”. Il la qualifie de culte et de non fondée sur la science.
Dans une autre déclaration de Beck :
“Les parents sont si désespérés de s’intégrer à cette idéologie par peur du ‘nous’, ‘eux’, ils ne veulent pas être ‘différents’. Alors maintenant, ils utilisent les enfants comme des trophées du genre ‘regardez-moi. J’ai un enfant que j’accepte”.
Beck n’est qu’un exemple parmi un nombre croissant d’individus et de parents outrés et regrettant d’avoir adhéré à l’idéologie transgenre. On parle de cette réaction comme d’une tempête à venir sur l'”expérience Tuskegee” des trans. Certains ont dit que le mouvement trans est l’équivalent de l’expérience Tuskegee.
L’expérience de Tuskegee, qui a débuté en 1932, consistait à recruter 600 hommes afro-américains en Alabama pour étudier une maladie vénérienne contagieuse, la syphilis. On a dit aux hommes qu’ils étaient traités pour un “mauvais sang”. On leur a donné de l’aspirine et des minéraux. Quinze ans après le début de l’étude, la pénicilline est devenue le traitement recommandé pour la syphilis. Mais les médecins du service de santé publique américain ont convaincu les médecins locaux de ne pas traiter les participants à l’étude avec de la pénicilline afin d’étudier la progression complète de la maladie. Ainsi, aucun soin n’a été apporté à ces hommes qui sont devenus aveugles, fous, et/ou ont connu de nombreux problèmes de santé et sont finalement morts. De nombreuses épouses ont ensuite contracté la maladie, qui a été transmise à 19 enfants à la naissance.
On craint maintenant que l'”expérience transgenre” ne soit encore plus dommageable et dévastatrice que celle de Tuskegee, car elle implique des milliers de victimes supplémentaires. L’industrie transgenre a également été accusée de cibler les victimes de l’autisme.
Il y a beaucoup de personnes et d’organisations à pointer du doigt en tant que promoteurs de ce phénomène : les sociétés médicales, les hôpitaux, les médecins, les agences gouvernementales de santé, Big Tech, les médias corporatifs, les célébrités d’Hollywood, les démocrates de gauche, et la liste est longue.
Si des enfants prétendent être transgenres, ils doivent être confortés dans leurs souhaits selon le mouvement transgenre. Tout psychologue qui s’y oppose risque de perdre son emploi et sa licence d’exercice.
La fureur nationale croissante concernant les transgenres et les avantages injustes dans les sports féminins ne fera que s’intensifier. En 2017, le célèbre joueur de tennis John McEnroe a qualifié Serena Williams de meilleure joueuse de tennis de tous les temps, mais a ajouté que si elle jouait contre des hommes, elle serait classée 700e au classement général. Les médias grand public ont explosé d’indignation à ce sujet. On a ensuite demandé à McEnroe de s’excuser sur “CBS This Morning”. Il a refusé.
Les Américains ont-ils perdu leur esprit collectif ? Nous vivons actuellement dans un monde à l’envers. Si nous avons appris quelque chose de l’histoire, le moment de lutter contre les idéologies dangereuses et maléfiques est très tôt, avant qu’elles ne soient fermement ancrées dans l’esprit de personnes désemparées.
Parle, Amérique ! !!
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