Flash les services postaux américains ont espionné des militants républicains sous l’administration Biden, les démocrates bloquent l’enquête.
Publié le 7.12.2022
Au début de l’année, des rapports ont révélé que les services postaux américains, par le biais de leur programme d’opérations secrètes sur Internet, espionnaient les militants et les manifestants conservateurs.
L’USPS aurait envoyé des bulletins aux responsables de l’application de la loi indiquant qu’ils surveillaient les mouvements des manifestants considérés comme une menace pour les responsables démocrates.
L’inspecteur général du service postal a mené une enquête qui a révélé que le service postal avait agi en dehors des limites de son autorité statutaire et constitutionnelle.
Néanmoins, les démocrates du Congrès ont bloqué une enquête républicaine sur l’incident.
Les démocrates ont rejeté des enquêtes similaires sur les activités de surveillance des agences gouvernementales américaines depuis leur arrivée à la Chambre.
Les républicains devraient utiliser leur majorité pour accroître la transparence des agences gouvernementales américaines.
FOX News Rapporte : Les démocrates de la Chambre des représentants ont rejeté mardi une demande d’information des républicains concernant le programme de surveillance des services postaux américains qui, selon le GOP, aurait été utilisé pour espionner les conservateurs.
Le service d’inspection postale des États-Unis gère le programme d’opérations secrètes sur Internet, ou iCOP. Le service d’inspection postale est l’organe de sécurité du service postal, et iCOP s’efforce d’évaluer les menaces pesant sur son infrastructure, ses employés et ses clients en surveillant les informations de source ouverte.
« Afin de préserver l’efficacité opérationnelle, le service d’inspection postale américain ne discute pas de ses protocoles, méthodes d’enquête ou outils », a déclaré le service d’inspection postale à Fox News Digital.
En 2021, cependant, des informations ont fait surface selon lesquelles l’iCOP envoyait des bulletins aux forces de l’ordre sur les mouvements des manifestants, dont un qui prétendait avoir des informations sur des milices qui pourraient menacer la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, D-Calif.
Cela a donné lieu à un rapport de l’inspecteur général, publié en mars dernier, qui a conclu que les actions de l’iCOP « dépassaient l’autorité du service d’inspection postale en matière d’application de la loi ».
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