Les contrats suite « Boom » : Après l’Australie, la Suisse, c’est l’Allemagne qui met à terre la France et E. Macron et J-Y. Le Drian .


En une semaine ? La fin est proche !

Après que les Australiens nous aient planté un couteau dans le dos pour les sous-marins, les Suisses annulées leur commandent Rafales pour les F-35 US, c’est l’Allemagne qui nous frappe à terre ! Elle signe un accord militaire spatial avec l’Australie. Qu’après Macron et ses médias viennent nous parler du couple franco-allemand, de la défense européenne… Quelle blague… Ils sont ridiculisés à la face du Monde maintenant.

Quelques heures avant que l’Allemagne ne soutienne publiquement Emmanuel Macron dans le conflit diplomatique qui l’oppose à l’Australie, aux États-Unis et au Royaume-Uni, des généraux allemands et australiens ont signé une alliance militaire à Berlin, portant un nouveau coup à Paris.

Publié le 21.9.2021


Traduction du Tweet :

« Nous l’Australie et l’Allemagne voulons approfondir notre dialogue sur la sécurité spatiale et la situation spatiale. À cette fin, l’amiral David L. Johnston et moi avons signé aujourd’hui à Berlin une lettre d’intention pour le « Military Space Partnership » (Partenariat spatial militaire). Nous nous concentrons sur les données des capteurs et les capteurs au sol. »




Quelques heures avant que l’Allemagne ne soutienne publiquement Emmanuel Macron dans le conflit diplomatique qui l’oppose à l’Australie, aux États-Unis et au Royaume-Uni, des généraux allemands et australiens ont signé une alliance militaire à Berlin, portant un nouveau coup à Paris.

L’accord AUKUS : Macron « a l’air ridicule », selon Nigel Farage.

Ce n’est pas une vidéo ne chercher pas à l’ouvrir, c’est la copie d’écran de la vidéo merci.
Actualités de l’UE : Macron fait face au nouveau bloc militaire de l’Allemagne (Image : GETTY)


L’abandon par l’Australie d’un contrat de sous-marins avec la France est un nouvel avertissement pour l’Union européenne, qui doit renforcer sa propre souveraineté, a déclaré l’Allemagne ce matin, notant qu’il sera difficile de reconstruire la confiance perdue après cette décision. « Nous ne pouvons pas compter exclusivement sur les autres, mais nous devons coopérer, et nous devons surmonter nos différences (au sein de l’UE) et parler d’une seule voix », a déclaré le ministre allemand des Affaires européennes, Michael Roth, aux journalistes avant une réunion avec ses homologues à Bruxelles.

« Nous devons tous nous asseoir à une table ; la confiance perdue doit être reconstruite – et cela ne sera évidemment pas facile. Mais nous voulons apporter une contribution constructive », a-t-il ajouté.

Mais hier soir, le général allemand Eberhard Zorn a annoncé avoir rencontré son homologue australien, l’amiral David L. Johnston, à Berlin, pour signer une nouvelle alliance militaire spatiale.

Il a déclaré : « Nous, l’Australie et l’Allemagne, voulons approfondir notre dialogue sur la sécurité spatiale et la situation dans l’espace.

« À cette fin, l’amiral David L. Johnston et moi-même avons signé aujourd’hui à Berlin une lettre d’intention pour le ‘Partenariat spatial militaire’.

« Nous nous concentrons sur les données des capteurs et les capteurs au sol ».

Le général allemand a également fait l’éloge de la coopération militaire entre Berlin et Washington aujourd’hui.

Il a déclaré : « Hier : Honneurs militaires pour mon camarade américain, le général Mark A. Milley. Bon échange sur la coopération confiante entre les États-Unis et l’Allemagne ainsi que sur les opérations conjointes et les projets de formation.

« Merci pour les bonnes discussions ! »

Réagissant à la nouvelle, le leader de Génération Frexit Charles-Henri Gallois a fustigé Emmanuel Macron sur son délire pour une position militaire unie de l’UE après le coup reçu par les alliés de l’OTAN.

Il s’est emporté : « L’Allemagne et l’Australie viennent de signer un accord sur les technologies spatiales.

« Il y a les paroles et puis il y a les actes.

« Nouvelle preuve d’amour du couple franco-allemand.

« Le Drian et Macron se font des illusions tous les jours sur l’autonomie de l’UE ».

Dans un signal concret de l’indignation du bloc, les ambassadeurs de l’UE ont reporté les préparatifs d’un conseil inaugural sur le commerce et la technologie le 29 septembre avec les États-Unis, un rassemblement qui était claironné comme une avancée majeure dans l’alliance transatlantique.

« L’un de nos États membres a été traité d’une manière inacceptable, et nous devons savoir ce qui s’est passé et pourquoi », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pour défendre la France.

Son exécutif européen a demandé que les discussions préparatoires de l’UE pour le conseil américain sur le commerce et la technologie soient retirées de l’ordre du jour de mercredi, selon des diplomates européens.

Un porte-parole a déclaré que la Commission était toujours en train de déterminer si la réunion avec les États-Unis devait avoir lieu comme prévu.

La France a déclaré qu’elle évaluait toutes les options en réponse à l’abandon par l’Australie, la semaine dernière, d’un contrat de 40 milliards de dollars portant sur des sous-marins, tandis que son principal allié européen, l’Allemagne, s’est ralliée à cette décision, affirmant que Washington et Canberra avaient porté atteinte à la confiance entre alliés, une confiance qui serait difficile à rétablir.

Le vice-ministre lituanien des affaires européennes, Arnoldas Pranckevicius, a parlé d’une « méfiance transatlantique » qui doit être résolue.

Ce différend fait suite à ce que les alliés européens de l’OTAN considèrent comme un manque de communication et de consultation de la part de Washington lors du retrait chaotique des Occidentaux d’Afghanistan.

L’Australie estime que l’offre des États-Unis d’accéder à la technologie nucléaire américaine pour construire des sous-marins à propulsion nucléaire était trop belle pour être refusée. Elle sera seulement le deuxième pays, après la Grande-Bretagne en 1958, à recevoir une telle technologie qui permet à Canberra d’aider Washington à empêcher la Chine d’acquérir la suprématie militaire.

L’Australie a déclaré qu’elle annulerait sa commande de sous-marins auprès de la France, qui sont conventionnels, à propulsion diesel-électrique, et qu’elle se tournerait plutôt vers la technologie américaine et britannique dans le cadre d’un nouveau partenariat de sécurité appelé AUKUS.

La Grande-Bretagne est également à la recherche d’un rôle mondial après sa décision de quitter l’UE.

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