Vaccinés par Pfizer à Arona le même jour et dans le même centre, ils meurent à deux semaines d’intervalle.
Massimiliano Marcacci, 50 ans, était un ancien arbitre et joueur de football. Le parquet de Verbania, qui avait déjà commencé à enquêter sur le premier décès, veut exclure l’existence de liens entre les deux.
Publié le 30.5.2021 par Carlotta Rocci.
Massimiliano Marcacci, 50 ans, était un ancien arbitre et footballeur. Il est décédé lundi à son domicile de Lesa, sur la rive piémontaise du lac Majeur, où il vivait avec sa femme, ancienne joueuse de volley-ball, et ses trois filles âgées de 5, 7 et 9 ans. La cause du décès fait l’objet d’une enquête du parquet. Marcacci, en fait, avait été vacciné le 30 mai à Arona, le même jour où il a été vacciné aussi Andrea Pirali, 52 ans. A tous deux avait été inoculée la première dose de Pfizer au Pala Green d’Arona. Il n’y a pas de raison de croire que les deux décès sont liés aussi parce que Marcacci a eu une maladie à distance de deux semaines de la vaccination tandis que Pirali s’était senti mal dès son retour à la maison. Il était tombé malade dans la salle de bain et c’est sa mère qui avait donné l’alerte. La coïncidence du lieu et du jour des deux vaccinations a toutefois incité le procureur de Verbania à demander des investigations sur ce second décès et a ordonné l’autopsie.
Les carabiniers de la compagnie d’Arona ont donc acquis toute la documentation relative au vaccin Marcacci pour dissiper tout doute sur la mort de l’ancien arbitre qui pendant des années avait servi dans la section de l’AIA Saronno. Marcacci et sa femme se sont mariés en 2011, dans un peu plus d’un mois ils auraient fêté leur dixième anniversaire.
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