Q INFOS – Radio Québec : « TVA Nouvelle utilise les tactiques de l’ex-URSS contre la dissidence ».


TVA Nouvelle utilise les tactiques de l’ex-URSS contre la dissidence: toute forme de contestation relève maintenant de la psychiatrie. Le Dr Chamberland ne commet-il pas une faute déontologique grave en pratiquant la psychiatrie politique et en diagnostiquant à distance des milliers d’individus sains d’esprits et rationnels?

Y a-t-il matière a plainte selon vous?



C’est complotiste ou vous pensez que nous sommes bien réveillés avec cette mini-vidéo ci-dessous de B. Obama qui n’est pas lui ?? Pensez-vous sérieusement que c’est B. Obama ?? Nous sommes bons pour être dingue alors Mr Chamberland ??

Ou c’est plutôt vous qui allez devenir dingue à force de mentir!!


Explication Wikipédia sur la psychiatrie punitive en URSS

La psychiatrie punitive en URSS était un système utilisé pour emprisonner les dissidents dans les hôpitaux psychiatriques, appelés psikhouchka (психушка en russe), souvent sous le diagnostic de « schizophrénie torpide »1 ou « schizophrénie latente »2, « schizophrénie larvée »3, « schizophrénie lente », « schizophrénie stagnante »Note 1. Certaines sources, datant de 2007-2009, signalaient que la pratique de l’abus de l’internement psychiatrique a toujours lieu dans la Russie contemporaine4,5,6.

Maria Spiridonova.

Des cas isolés d’utilisation de la psychiatrie dans des buts politiques ont lieu durant le xixe siècle7. La première victime de cette utilisation abusive en URSS est le terrorisme révolutionnaire, en la personne de la leader du Parti socialiste-révolutionnaire de gaucheMaria Spiridonova, enfermée dans un hôpital psychiatrique sur l’ordre de Félix Dzerjinski, en 19218,9,Note 2.

Cette utilisation abusive acquiert un caractère plus fréquent en URSS entre les années 1930 et 1950 ; ce n’est que dans les années 1960 qu’elle devient une des méthodes fondamentales de la politique de répression10,11. En effet, après la mort de Staline, en 1953, après le soulèvement de Vorkouta, celui de Norilsk, l’époque du « Dégel » et de la libération des camps de travail pénitentiaire et des camps spéciaux commence. Deux ans plus tard, en 1964, le jeune poète Joseph Brodsky est jugé pour « parasitisme ». L’ère des dissidents peut commencer12 et celui des hôpitaux psychiatriques se développer.

Un des premiers hôpitaux psychiatriques dans lequel sont enfermées des personnes pour des raisons politiques semble être celui de Kazan (hôpital psychiatrique pénitentiaire de Kazan)7. De 1940 à 1970, 1 802 patients y décèdent, parmi lesquels 470 condamnés en vertu de l’article 58 du code pénal de la République socialiste fédérative soviétique de Russie et de l’article 54 du code pénal de la République socialiste soviétique d’Ukraine, c’est-à-dire pour des motifs politiques. Dans la colonie de travail pénitentiaire no 5, qui se trouvait dans l’île de Sviajsk, il existe, depuis 1956, une section de l’hôpital psychiatrique de Kazan où meurent 3 087 prisonniers, entre la fin des années 1930 jusqu’aux années 197013.

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