Q SCOOP – J-Trudeau et le trafic humain !

Saviez-vous que Trou D’eau a retiré son financement pour les associations de trafic humain à travers la canada ( mai 2020 )

Et la Fondation Trudeau a comme symbole un des symboles de pédophilie démontré par le FBI en 2007.

Symboles dans l’article Qactus ICI


Le gouvernement Trudeau retire son financement pour les victimes de la traite des êtres humains

Erin Perse

Nine agencies across Canada that provide services for trafficked and exploited women and girls have been told there is no more money to support their programs.

Neuf organismes canadiens qui fournissent des services aux femmes et aux filles victimes de la traite et de l’exploitation se sont fait dire qu’il n’y avait plus d’argent pour soutenir leurs programmes. Les organisations féminines canadiennes qui soutiennent les femmes et les jeunes filles qui ont été exploitées sexuellement par des hommes affirment que le gouvernement libéral de Justin Trudeau ne renouvellera pas le financement fédéral. Les programmes seront donc fermés.

Cela indique clairement que le premier ministre – un féministe qui s’identifie lui-même – considère que les femmes victimes de violence et d’exploitation masculines ne méritent pas d’être aidées. Il se contente de jeter ces victimes cachées aux loups.

La directrice exécutive Megan Walker a déclaré que le London Abused Women’s Centre (LAWC) devra fermer son programme de lutte contre le trafic sexuel en raison d’un manque de financement. Sur une période de cinq ans, il a servi plus de 3 000 femmes et filles qui ont été victimes de la traite, prostituées et exposées au risque d’exploitation sexuelle. Cela signifie que plus de 3 000 femmes et filles ont été traitées comme des êtres humains ayant des besoins fondamentaux que toute société civilisée doit satisfaire.

Le service d’accueil à accès immédiat est une victime prévisible de la réaffectation des dépenses gouvernementales vers les aspects les plus visibles de la pandémie. Les femmes et les filles vulnérables, dont l’humanité est à peine reconnue en dehors des périodes d’urgence internationale, ne pourront plus se rendre au centre lorsqu’elles auront besoin de vêtements, de chaleur et de soutien. Elles ne pourront plus se tourner vers le personnel pour obtenir de l’aide en matière d’accès aux services de santé et à l’éducation.

En outre, le programme sera contraint de cesser de sensibiliser les élèves par le biais de conférences dans les écoles et de leur apprendre les tactiques de conditionnement des trafiquants, ce qui permettra aux filles d’éviter les prédateurs.

Le trafic sexuel ne cesse pas d’être un scandale national car nous sommes en pleine pandémie. L’agence de Mme Walker a été contactée par de nombreux parents dont les filles ont été préparées en ligne par des prédateurs sexuels masculins. Ces hommes ont enregistré les filles pour en faire de la pornographie pédophile sur internet dont ils pourraient tirer profit. De telles violations des limites des filles les rendent plus susceptibles d’être entraînées dans la prostitution et les comportements sexuels à risque à l’avenir.

Comme de plus en plus d’enfants ont accès à des contenus et des programmes en ligne grâce à l’apprentissage à distance et au fait qu’ils restent à l’intérieur, il est plus important, et non moins important, de prévenir ce type de « grooming ».

Le précédent gouvernement conservateur a fourni le financement initial du programme de lutte contre la traite des êtres humains – le fonds MAPI (Measures to Address Prostitution Initiative) – qui devait s’achever en mars 2020. En ce qui concerne la violence masculine contre les femmes, le gouvernement fédéral libéral de Trudeau a rompu la confiance avec les femmes et les filles que le programme servait. Cela ne sera pas oublié.

Rachel Rappaport, parlant au nom du ministre de la Justice, et Marie-Pier Baril, parlant au nom du ministre de la Femme et de l’égalité des sexes, ont publié une déclaration commune. Elle a déclaré que le gouvernement fédéral reste engagé dans sa stratégie nationale sur la traite des êtres humains. En septembre 2019, il a annoncé un investissement de 75 millions de dollars dans cette stratégie.

Cependant, neuf agences à travers le Canada fournissant des services aux femmes et aux filles victimes de la traite et de l’exploitation ont été informées qu’il n’y a plus d’argent pour soutenir leurs programmes et qu’il n’y en aura probablement pas avant plusieurs mois.

Tout cela amène à se demander pourquoi le financement fédéral a été retiré à un moment aussi critique. L’investissement est là, mais il a été décidé qu’un projet efficace, lourdement utilisé et relativement peu coûteux ne continuera pas à fonctionner. Étant donné que les taux de violence domestique à l’égard des femmes ont augmenté au cours des mesures d’hébergement à domicile, exposant ainsi davantage de femmes au risque de devenir la proie de trafiquants, la décision semble encore plus injuste.

Megan Walker a déclaré : « Le Premier ministre « féministe » autoproclamé du Canada a décidé que, malgré l’engagement de son gouvernement à faire de la traite des êtres humains au Canada une question prioritaire à traiter, une nouvelle année de consultation est nécessaire. Ce serait la troisième consultation à l’échelle du Canada en trois ans ».

« Si ce gouvernement se soucie vraiment de la vie des femmes et des filles, en particulier de celles qui sont le plus touchées, il pourrait immédiatement rétablir le montant total de 1,5 million de dollars par an (soit 166 000 dollars par agence) nécessaire à la réouverture des neuf agences. Neuf agences soutenant les femmes et les filles victimes de la traite, pour un coût annuel de seulement 1,5 million de dollars, est une bonne affaire. Pour le gouvernement, il s’agit d’une monnaie d’échange qui peut être dépensée soit pour sauver la vie de femmes et de filles, soit pour des consultations. Pour la plupart des Canadiens, c’est une évidence ».

La déclaration indique que « nous travaillons dans l’ensemble du gouvernement pour essayer de trouver des solutions afin de leur permettre de poursuivre leur travail ». Cet auteur, ainsi que d’autres, suivront de près la situation pour voir si – et avec quelle rapidité – ils respectent leur parole.


Source : The post Millennial

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