les admissions d’enfants ont bondi à Paris.
Selon une étude, le lien entre le coronavirus et la maladie de
Kawasaki chez les enfants
« apparaît de manière assez claire ».
Selon une étude, le lien entre le coronavirus et la maladie de Kawasaki chez les enfants « apparaît de manière assez claire ».PHOTO MATTHIEU BOTTE LA VOIX DU NORD – VDNPQR
Pas de panique mais tout de même, un minimum de vigilance. C’est ce qui ressort de cette étude menée par le service de pédiatrie générale de l’hôpital Robert Debré à Paris dont les résultats ont été publiés ce lundi 20 juillet. En résumé : il existe un lien « assez clair » entre la maladie de Kawasaki et le Covid-19.
Le service en veut pour preuve le nombre d’admissions d’enfants pour maladie de Kawasaki, qui a bondi de 497 % deux semaines après le pic épidémique du nouveau coronavirus, en avril, alors que l’hôpital n’avait accueilli que 230 patients pour les mêmes motifs en 2005 et 2020. « Nous avons pu réaliser une étude qui a essayé d’évaluer sur une quinzaine d’années quelle était la fréquence de la maladie de Kawasaki chez les enfants hospitalisés à Robert Debré », précise Albert Faye, le chef du service de pédiatrie de l’hôpital Robert Debré, auprès de franceinfo. Le pédiatre souligne que la maladie est « bien connue en pédiatrie » et que l’on arrive à soigner « en général avec essentiellement des immunoglobulines ».
Avec le Covid-19 cependant, les enfants peuvent développer une forme plus « marquée » avec des troubles digestifs, des douleurs abdominales, voire une inflammation du muscle cardiaque et au niveau du péricarde. Des réactions que les médecins parviennent également à contrôler avec des corticoïdes, indique le pédiatre. Et les formes sévères de la maladie, en lien avec le Covid-19, restent « restent très rares ». Dans son service, le pédiatre ne note « plus de maladies de Kawasaki liée au Covid. Et globalement, par rapport au très grand nombre d’adultes qui ont été hospitalisés pour des complications liées au Covid, il y a eu très peu d’enfants hospitalisés, que ce soit pour des complications liées au Covid ou pour la maladie de Kawasaki. Il faut relativiser ».
Relativiser mais ne pas ignorer. « On ne connaît pas tout. Cette épidémie nous a appris qu’il fallait être très humble face à cette nouvelle maladie », reconnaît le chef de service, qui invite les parents d’enfants touchés par la maladie de Kawasaki à surveiller certains signes qui doivent alerter. « C’est un enfant très fatigué qui a de la fièvre prolongée (4 ou 5 jours de fièvre), des troubles digestifs, une éruption qui apparaît. » Tout signe dans ce sens-là « doit amener à consulter », ajoute le pédiatre.
Voir notre Article Qactus qui parlait de cela ICI:
Q SCOOP – ” Personne n’est mort du coronavirus”
A partir de la : Suite ci après
Une autre de ses révélations :
« Nous devons voir exactement comment la loi traitera l’immunisation et le vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement] pas possible de créer un vaccin contre le COVID. Je ne suis pas sûr de ce que Bill Gates fait exactement avec ses laboratoires – est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose ? »
Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité à identifier des anticorps monoclonaux pour le virus suggère qu’il n’y a pas de base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide de l’existence du virus.
Le Dr Alexov a soulevé des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :
[Avec la grippe] nous pouvons trouver un virus qui peut causer la mort d’une jeune personne sans qu’aucune autre maladie ne soit présente […] En d’autres termes, l’infection par le coronavirus est une infection qui ne conduit pas à la mort. Et la grippe peut conduire à la mort ».
(On a signalé des maladies graves telles que la maladie de Kawasaki et des accidents vasculaires cérébraux chez des jeunes qui étaient considérés comme atteints d’une infection par un nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne concernent qu’un seul patient ou une petite poignée de patients. De plus, les commentaires sur ces articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus parce que les auteurs des articles n’ont pas suffisamment vérifié, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est très probable que les décès d’enfants attribués à la COVID-19 sont en fait dus à une défaillance de plusieurs organes résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis).
Le Dr Alexov a donc affirmé que: « l’OMS est en train de créer un chaos mondial, sans qu’aucun fait réel ne puisse soutenir ce qu’elle dit ».
Parmi la foule de moyens utilisés par l’OMS pour créer ce chaos, il y a l’interdiction de presque toutes les autopsies de personnes considérées comme mortes à cause de la COVID-19. En conséquence, selon le Dr Alexov, le 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.
De plus, l’OMS dicte que toutes les personnes dites infectées par le nouveau coronavirus et qui décèdent par la suite doivent voir leur décès attribué à la COVID-19.
Source 1: La VDN
Source 2: Maladie de Kawasaki : savez-vous la reconnaître ?
Source 3: Qactus