La grande comédie de Nathalie Loiseau ! Le Digital Service Art et son INQUISITION NUMÉRIQUE

Publié le 26.12.2025 à 10h00 – Par Daniel Foster – Temps de lecture 5mn

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Oh mon dieu, Nathalie Loiseau, la reine de la diplomatie, nous fait rire aux larmes avec son absence totale de retenue ! On aurait cru qu’une personne de son « niveau » aurait au moins une once de bon sens pour ne pas enflammer les tensions transatlantiques, mais non, elle préfère jouer les pom-pom girls de la xénophobie !

Interdire le Secrétaire à la Santé Américain ? C’est comme interdire les burgers et les frites, c’est une atteinte à la liberté fondamentale de manger des trucs pas bons pour la santé ! Et puis, on a pas de frontières pour les produits et l’immigration, mais pour les Américains, c’est une autre histoire, c’est comme si on leur disait : « Hé, vous, les Américains, vous êtes trop sales pour nous, restez chez vous ! ». Vous n’hésitez pas à menacer les Américains, en revanche, pour les Algériens toujours rien, c’est sidérant !

De plus la « santé mondiale » ça ne veut rien dire. En une seule phrase, vous réussissez à démontrer votre ignardise.

Et Thierry Breton, le grand absent de la liste des personnes qui ont fait preuve de bon sens, doit se demander comment il a pu échapper à cette distinction. Mais rassurez-vous, Nathalie Loiseau est là pour le rejoindre sur la liste des personnes qui ont réussi à se moquer elles-mêmes sans le faire exprès !

Et la « santé mondiale » ? Ah, c’est comme si elle disait « Je suis une grande experte en santé, je sais tout, je suis la nouvelle Mère Teresa, mais sans la gentillesse et la compassion » ! Et les SMS de Mme Von der Leyen ? Ah, ceux-là, c’est comme le Graal, on les cherche toujours, mais on ne les trouvera jamais, car ils sont cachés dans un coffre fort sommeillant au fond d’un océan de bureaucratie !

Nathalie Loiseau, l’ex-jeune fille rebelle qui a fait partie de l’Union des étudiants de droite (UED) en 1984, un mouvement étudiant d’extrême droite, mais qui a expliqué que c’était juste une erreur de jeunesse, comme si on pouvait simplement effacer son passé en disant « Oh, j’étais jeune et conne, mais maintenant je suis vieille et sage » !

En conclusion, invoquer la liberté pour justifier le DSA, c’est comme invoquer la magie pour justifier la disparition de la présomption d’innocence ! La « souveraineté » de Nathalie Loiseau, c’est comme une technocratie sans peuple, où l’algorithme remplace le juge et où la justice est une simple notion oubliée ! Mais rassurez-vous, c’est juste l’Inquisition numérique, où tout le monde est coupable jusqu’à preuve du contraire, et où la preuve, c’est comme le Graal, on la cherche toujours, mais on ne la trouvera jamais ! Votre Digital Service Art c’est l’Inquisition numérique européenne.

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