USA : Les Coïncidences Trop Parfaites : Epstein, le COVID et le Grand Nettoyage d’Élite


Les Coïncidences Trop Parfaites : Epstein, le COVID et le Grand Nettoyage d’Élite

Publié le 21.12.2025 à 17h01 – Par Daniel Foster – Temps de lecture 5mn

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C’est un délice de voir tous ces dossiers se boucler comme une boucle de corde bien serrée autour du cou des puissants ! On nous sert toujours la même soupe fade : Epstein n’était qu’un pervers isolé, un loup solitaire dans le monde des milliardaires. Mais non, mes chers naïfs, c’était bien plus que ça.

Jeffrey Epstein, ce charmant prédateur sexuel, n’était pas seulement obsédé par les mineures il rêvait de jouer à Dieu avec l’humanité entière, via l’eugénisme, le génie génétique et un bon vieux contrôle de la population. Et devinez qui traînait dans son sillage ? Des « experts » en virus qui, comme par hasard, bidouillaient des trucs en Ukraine financés par des fonds liés à Hunter Biden. Tout ça pour aboutir à une pandémie « prédite » des années à l’avance. Quelle coïncidence hilarante !

Voici Maxwell avec le fondateur et PDG de Metabiota et virologiste de l’État profond, Nathan Wolfe. Maxwell était partenaire de Wolfe via le projet TerraMar, qui est également lié aux Clinton et à la Fondation Clinton.

Regardez Ghislaine Maxwell, la complice fidèle, posant tout sourire avec Nathan Wolfe, ce soi-disant « chasseur de virus » autoproclamé, fondateur de Metabiota. Maxwell et Wolfe étaient partenaires dans le projet TerraMar, cette pseudo-organisation « écologique » pour sauver les océans un machin bidon lié aux Clinton et à leur Fondation, bien sûr. Parce que rien ne dit « protection de la planète » comme une bande de pédophiles et de milliardaires qui se congratulent mutuellement lors de sommets mondiaux.

Nathan Wolfe, fondateur de Metabiota, jeune leader mondial de la DARPA et du WEF et marionnettiste de la pandémie, connu pour être proche de Ghislaine Maxwell, apparaît dans le dernier Epstein Files ! En 2011, JE organise une rencontre entre son bras droit, Boris Nikolic, et Nathan Wolfe pour passer un moment ensemble autour de quelques cocktails. Nikolic n’était pas vraiment enthousiaste à l’idée d’être là, mais JE avait fait l’éloge de Wolfe en disant : « Il est doué pour ça. » et « Il est très amusant. »

Traduction du X :
Tiens, CNN a enfin repris l'affaire TerraMar et le fait que les Clinton aient reçu Maxwell en 2013, des années après qu'il ait été révélé publiquement qu'elle aidait à recruter des victimes pour Epstein. Bienvenue à la fête lol.

Et Wolfe, ce génie du « Deep State » comme certains l’appellent avec tendresse ? Il chassait joyeusement des coronavirus de chauves-souris en Ukraine, via le programme PREDICT de l’USAID. Sa société Metabiota, financée en partie par Rosemont Seneca l’entreprise où Hunter Biden trempait ses doigts grassouillets – gérait des biolabs là-bas. La Russie les accuse depuis des années de bricoler des armes biologiques ciblées génétiquement ? Pff, pure propagande, nous dit-on… mais ça fait quand même un sujet brûlant à l’ONU depuis plus de trois ans, relayé par des gens comme RFK Jr. et Tulsi Gabbard. Comme c’est touchant de voir l’élite se serrer les coudes !

Alors, qu’est-ce que tout cela signifie ? Cela signifie qu’un virologue proche des familles Clinton, Epstein et Biden a reçu des dizaines de millions de dollars de fonds publics américains, via l’USAID, pour rechercher et améliorer génétiquement des coronavirus de chauve-souris en Ukraine, juste avant qu’un coronavirus de chauve-souris créé par l’homme ne déclenche une pandémie mondiale et ne tue des millions de personnes. C’est plutôt suspect, non ? Nous possédons également des courriels provenant de l’ordinateur portable de Hunter, prouvant qu’il était en contact très étroit avec Nathan Wolfe et Metabiota. Rien de tout cela n’est conjectural ; tout est étayé par des preuves écrites.

Epstein, ce visionnaire eugéniste qui voulait imprégner des dizaines de femmes avec son précieux ADN pour « améliorer » l’espèce humaine (un transhumanisme revisité sauce nazie, en gros), avait des liens directs avec Wolfe. Ce dernier l’a même remercié publiquement dans son livre de 2011, The Viral Storm : The Dawn of a New Pandemic Age, où il « prédisait » une grande pandémie… huit ans avant le COVID. Quelle clairvoyance ! Epstein, ce méchant tout droit sorti d’un mauvais James Bond avec son île privée, ses chantages et ses rêves de génocide déguisé en science trônait au centre de cet empire tordu.

Alors, qu’est-ce que ça nous dit ? Que Epstein et sa clique envisageaient peut-être un « nettoyage » ethnique via des virus sur mesure, pour contrôler la population des « indésirables ». Et le COVID ? Juste un test grandeur nature, financé par les mêmes cercles qui nous imposent masques, confinements et injections. Tout se reboucle, n’est-ce pas ? Les pédophiles, les virologues bidouilleurs, les Biden, les Clinton, les subventions USAID… Une grande famille heureuse qui nous prend pour des idiots. Mais rassurez-vous, c’est sûrement encore une « théorie du complot ». Dormez bien, les moutons.

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Il doit s’agir d’une coïncidence… Tous sont sionistes

Traduction du X :
NEW : AFFAIRE EPSTEIN – Condamnée à 20 ans de prison pour trafic d’enfants, Ghislaine Maxwell confirme être àl’origine delaClinton Global Initiative.
L’entrevue entre le DOJ etMaxwell vient d’être rendue publique : Ghislaine Maxwell : « J’ai participé au processus de démarrage de la Clinton Global Initiative. »

Justice.gov

Cette révélation n’est pas un simple détail. Elle relie directement le réseau Epstein-Maxwell à l’une des fondations les plus puissantes du monde : la Clinton Foundation, présentée depuis des années comme un symbole de philanthropie. Mais derrière la façade caritative, la fondation Clinton est en réalité une toile d’araignée mondiale, un instrument d’influence politique et financière, et surtout une organisation intimement connectée à des ONG travaillant avec les enfants. On retrouve ses ramifications en Haïti, après le séisme de 2010. Des milliards ont été levés sous couvert d’aide humanitaire. Mais l’argent s’est évaporé, des orphelinats ont été soupçonnés de trafic d’enfants, et les Clinton étaient partout, contrôlant les flux de fonds, les ONG, et les circuits d’adoption internationale. En Afrique, la fondation a lancé des programmes de santé et d’éducation, souvent via des ONG satellites. Derrière les vaccins et les projets scolaires, certains dénoncent une porte d’entrée idéale pour accéder aux enfants, recueillir des données, contrôler des populations vulnérables, tout en construisant un empire d’influence politique. En Asie et au Moyen-Orient, à travers les camps de réfugiés, les initiatives de reconstruction et les partenariats avec l’ONU, on retrouve toujours la même constante : des ONG financées ou pilotées par la Clinton Global Initiative, opérant au plus près des plus fragiles, là où les enfants sont livrés sans protection à des systèmes opaques. Désormais, il n’y a plus de doute : Ghislaine Maxwell, pièce maîtresse du réseau de trafic d’enfants d’Epstein, a participé à la création de cette organisation. Cela signifie que dès le départ, au cœur de cette machine présentée comme humanitaire, se trouvait une femme aujourd’hui reconnue coupable d’avoir réduit des mineurs en esclavage sexuel. Dès lors, la question est vertigineuse : Combien d’ONG et de projets liés à la fondation Clinton ont-ils réellement servi à protéger des enfants… et combien ont-ils servi à les livrer ? Combien de personnalités politiques, de célébrités et de grandes entreprises associées à la Clinton Foundation savaient ce qui se passait derrière le rideau ? Et surtout : combien d’enfants ont disparu dans le silence, sous le vernis de la philanthropie ? Un jour, ces vérités ne pourront plus être dissimulées. Car les crimes contre les enfants uniront l’humanité, ils briseront toutes les barrières politiques et idéologiques. La cruauté dont ils ont été victimes est telle qu’elle choquera le monde, au point de renverser des empires. Et peut-être que cette déclaration de Maxwell, aujourd’hui, n’est qu’une première fissure dans un édifice qui, tôt ou tard, s’effondrera.

Retrouvez la chronologie de l’affaire des dossiers Epstein depuis sa mise en ligne ci-dessous :

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