USA : 20 ans plus tard, les mensonges de Bush n’étaient pas le problème, après le début de la guerre en Irak, « Excusez-vous parce que vous avez menti », un homme a G.W-Bush.


20 ans plus tard, les mensonges de Bush n’étaient pas le problème, après le début de la guerre en Irak, « Excusez-vous parce que vous avez menti », un homme a G.W-Bush.

Publié le 19.3.2023


20 ans après le début de la guerre en Irak, la CPI déclare Poutine criminel de guerre pour avoir évacué les enfants du Donbass des tirs d’artillerie ukrainiens, alors que Bush et son cabinet n’ont jamais eu à répondre de quoi que ce soit pour l’invasion de l’Irak.

Pourquoi la CPI n’a-t-elle pas délivré de mandats d’arrêt pour crimes de guerre à l’encontre de George Bush, Obama et Bill Clinton ? Et de plus, nous savons tous que l’incident du 911 est un mensonge…

« M. Bush, quand allez-vous vous excuser pour le million d’Irakiens qui sont morts ?

Mike Prysner, vétéran de la guerre d’Irak, a interpellé l’ancien président américain George W. Bush sur les crimes de guerre commis en Irak, interrompant son discours à Beverly Hills.

Les factions du Deep-State mondialiste ont commencé à s’entretuer publiquement.

Sarkozy balance Bush pour sauver sa peau. Maintenant, c’est chacun pour soi et… chacun pour soi


Occident : les clowns au pouvoir veulent arrêter Vladimir Poutine.

La Cour Pénale Internationale a émis un mandat d’arrêt contre le président Vladimir Poutine ainsi que, pour faire bonne mesure, contre le commissaire russe aux droits de l’enfant. Tous deux sont accusés d’avoir expulsé de force des enfants d’Ukraine vers la Russie pendant l’opération militaire spéciale.

Je ne m’attarde même pas sur le fait que la Russie a dénoncé la CPI et s’est retirée de ses instances, donc bien entendu ses arrêts ne nous concernent pas.

Sur la raison maintenant : Les enfants que la Russie a sortis d’Ukraine l’ont été, car ce sont des orphelins qui pour la plupart étaient placés dans les orphelinats de Donetsk. Les Ukrainiens bombardant quotidiennement les structures civiles de Donetsk, il a été décidé de mettre ces enfants en sécurité, en Russie. C’est donc plutôt une décoration que Poutine et les responsables devraient recevoir pour avoir sauvé ces enfants !


Alexander Makogonov, porte-parole de l’Ambassade Russe, ferme le clapet au Général Michel Yakovleff qui exige que M. Poutine soit jugé :

 »La salle d’attente dans ce tribunal est déjà pleine… il faut juger ceux qui ont commis les crimes contre l’humanité pendant la colonisation, ce que certains dirigeants, y compris le président français, ont reconnu comme les crimes contre l’humanité.

Il faut punir ceux qui ont bombardé l’ex Yougoslavie durant 78 jours, faisant 3000 morts et 13000 blessés, en utilisant les bombes, les missiles à l’uranium appauvri.

Ceux qui ont rasé de la carte du monde la Libye.

Ceux qui ont déclenché l’invasion en Irak, faisant un million de morts… un chiffre qui reste toujours flou.

Ceux qui faisaient la campagne militaire très douteuse en Afghanistan en faisant aussi des milliers de morts…

Pierre Conesa :

 »La liste que vous avez dressée est assez impressionnante.

Quand vous avez des Russes qui envahissent l’Ukraine, on dit  »regardez, c’est inadmissible, c’est scandaleux, il y a des crimes contre l’humanité etc.. »

Et quand vous leur dit  »oui, mais n’oubliez pas qu’il y a toujours Georges Bush, dans la salle d’attente »

« Ah non ! Non, ça, ce n’est pas pareil !… »

Mandat d’arrêt contre Poutine : les États-Unis applaudissent alors qu’ils ne reconnaissent pas la CPI.

L’administration Biden s’est réjouie du mandat d’arrêt émis par la CPI à l’encontre du président russe. Pourtant, non content de ne pas la reconnaitre, Washington a menacé la CPI à plusieurs reprises si elle se penchait sur des crimes des Etats-Unis

Devant la presse le 17 mars, le président américain J. Biden a estimé « justifié » le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre de Vladimir Poutine. Une décision qui, selon le locataire de la Maison Blanche, envoie «un signal très fort» au président russe qui aurait «clairement commis des crimes de guerre» en Ukraine

«Nous sommes favorables à ce que les auteurs de crimes de guerre répondent de leurs actes» avait réagi plus tôt Adrienne Watson. Dans sa déclaration, auprès de la NPR, cette porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche estime que le procureur de la CPI est un «acteur indépendant» qui «prend ses propres décisions en matière de poursuites sur la base des preuves dont il dispose.»

Des réactions qui font suite à l’annonce par la CPI, le même jour, de l’émission de deux mandats d’arrêt pour «déportation illégale» d’enfants ukrainiens. L’un à l’encontre du président russe, l’autre visant la commissaire présidentielle aux droits de l’enfant Maria Lvova-Belova. Une décision saluée par le président ukrainien ainsi que par l’administration américaine, alors même que ni l’Ukraine ni les États-Unis n’ont ratifié le Statut de Rome, le traité fondateur de la Cour pénale internationale

Menaces aux sanctions : ce lourd passif qu’entretient Washington avec La Haye
Une non-reconnaissance qu’a d’ailleurs rappelée Joe Biden aux journalistes. Cette piqure de rappel s’avère d’autant plus importante dans un pays qui s’est permis de menacer à plusieurs reprises le personnel de cette juridiction siégeant à La Haye, s’ils venaient à se pencher sur des crimes de guerre de l’armée américaine

Dès les prémices de l’invasion de l’Afghanistan, le Congrès des États-Unis avait donné le ton. Via le Servicemembers’ Protection Act, le législateur américain peut en effet priver de tout soutien militaire les pays non membres de l’OTAN qui reconnaissent la CPI. Promulguée à l’été 2002 par George Bush, cette loi fédérale autorise également le président à « utiliser tous les moyens nécessaires et appropriés pour obtenir la libération » d’un citoyen – ou « allié » – des États-Unis détenus par la CPI, y compris la force militaire. Ce texte fut ainsi surnommé « The Hague Invasion Act ».

Quand les États-Unis qualifiaient la CPI d’«institution complètement brisée et corrompue»
Plus récemment, en 2020, l’administration Trump avait adopté des sanctions à l’encontre de membres de la Cour pénale internationale. Pour s’être intéressée aux exactions de l’armée américaine en Afghanistan, la procureure de la CPI Fatou Bensouda – et un haut fonctionnaire de son bureau, Phakiso Mochochoko – s’étaient retrouvés sur la liste noire du département du Trésor des États-Unis. «Nous ne tolérerons pas les tentatives illégitimes de la CPI de soumettre les Américains à sa juridiction» avait justifié devant la presse Mike Pompeo, le secrétaire d’État de Donald Trump, qualifiant la CPI d’«institution complètement brisée et corrompue». Ces sanctions ont, depuis, été levées par Joe Biden.

Interrogé le 17 mars sur CNN quant à d’éventuelles pressions que la Maison Blanche pourrait exercer sur des dirigeants étrangers pour arrêter Vladimir Poutine s’il se déplaçait dans leur pays, John Kirby s’est adonné au même numéro d’équilibriste. Refusant de « spéculer » sur toute « situation hypothétique », cet autre porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche s’est contenté de répéter que les États-Unis voulaient voir la Russie « répondre de ses actes » et qu’ils continueraient « d’aider l’Ukraine à documenter et préserver les preuves » dans la mesure où il existe « une série d’enquêtes internationales, y compris celle menée par la CPI. »

Le jour même, l’ambassade de Russie aux États-Unis s’en est vertement prise à l’ambivalence de la position américaine à l’égard de la CPI. « Une telle position rappelle la schizophrénie lente », a publié la représentation diplomatique russe sur sa chaine Telegram. Hormis les États-Unis, on retrouve la Russie, l’Inde, Israël, l’Arabie saoudite la Turquie ou encore la Chine parmi la trentaine de pays qui ne reconnaissent pas la compétence de la Cour pénale internationale.


🧻 « Pas besoin d’expliquer où utiliser ce papier. »

La réaction de Dmitri Medvedev à la décision de la CPI d’émettre un mandat d’arrêt contre Poutine.


Moscou qualifie de « juridiquement nul » le mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine.

Le mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine émis par la Cour pénale internationale est juridiquement nul, a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.

La Russie ne fait pas partie au Statut de Rome et considère ainsi comme juridiqument nul le mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine émis par la Cour pénale internationale, a fait valoir la porte-parole de la diplomatie russe.

🔸 »Pour notre pays, les décisions de la Cour pénale internationale sont dénuées de sens, y compris du point de vue juridique. La Russie n’est pas partie au Statut de Rome et n’a aucune obligation en vertu de celui-ci », a écrit Maria Zakharova sur sa chaîne Telegram.

Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a, lui aussi, souligné que la Russie ne faisait pas partie du Statut de Rome et que « la formulation même du sujet » était « inacceptable ».

Le Statut de Rome est le texte fondateur de la Cour pénale internationale, compétente sur les crimes contre l’humanité ou les crimes de guerre, qui siège à La Haye aux Pays-Bas. Aujourd’hui, 123 pays sont États parties au Statut.

L’ex-dirigeant russe et vice-président actuel du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev, a pour sa part republié le texte de la nouvelle en y ajoutant une émoticône de papier toilette. « Inutile d’expliquer comment utiliser ce document », a-t-il indiqué.


Le chef du ministère de la Justice de l’Allemagne, Bushman, a promis d’arrêter Poutine à la demande de la CPI lors de sa visite dans le pays.

Le président de la Russie sera arrêté s’il visite l’Allemagne, Die Zeit cite le ministre de la Justice Marco Buschman.

« Je m’attends à ce que la CPI contacte rapidement Interpol ainsi que les États participants et leur demande de se conformer à la demande. Ensuite, l’Allemagne sera obligée d’arrêter le président Poutine lorsqu’il entrera sur le territoire allemand et de le remettre à la CPI », a déclaré le ministre.

Bush doit-il s’excuser pour les crimes de guerre commis en Irak ?

Vingt et un ans après les attentats du 11 septembre, George Bush ne s’est pas excusé d’avoir envahi l’Irak et l’Afghanistan en représailles des attaques terroristes.

Bush doit-il présenter des excuses à l’Irak ?