Flash, le Brésil enregistre une baisse des homicides alors que la possession d’armes à feu augmente, voici les détails…
Publié le 24.12.2022
Lorsque le président Jair Bolsonaro est devenu président du Brésil il y a quatre ans, il a commencé à assouplir les restrictions sur la possession d’armes à feu. En conséquence, le Brésil a connu une réduction des homicides et se trouve à son plus bas niveau depuis 14 ans. C’est ce qu’a rapporté le Washington Post ce vendredi, et à leur grand dam, l’augmentation de la possession d’armes à feu au Brésil correspond à une baisse des crimes violents.
Depuis 2017, le taux d’homicides du Brésil a diminué de 27%, ce qui a amené le chef de la police militaire à la retraite, Marcelo Venera, à qualifier les statistiques qui ont suivi l’augmentation de la possession d’armes à feu de “triomphe de la liberté” et a déclaré qu'”il n’y a rien de mal à aimer les armes à feu.” Interrogé, un autre Brésilien a également fait l’éloge de l’assouplissement des lois par Bolsonaro et des résultats obtenus, en déclarant : “Tout le monde disait qu’il y aurait plus d’homicides lorsque Bolsonaro assouplirait les restrictions. Mais cela s’est avéré être le contraire !”
L’idéologie gauchiste est à l’origine du récit non prouvé selon lequel le contrôle des armes à feu et les lois plus strictes sur les armes à feu font baisser le nombre de crimes violents. Pourtant, deux États où le contrôle des armes est extrêmement strict ont été le théâtre de fusillades de masse. L’Illinois est l’un des États où les lois anti-armes sont les plus strictes des États-Unis. Malgré cela, en juillet, un criminel a commis une fusillade de masse à Highland Park. Buffalo, dans l’État de New York, a également connu une fusillade de masse, bien que cet État soit connu pour ses lois sur les armes à feu. Il devrait être évident que les criminels ne respectent pas les lois, et encore moins les lois sur le contrôle des armes. Et les citoyens respectueux des lois ne font pas partie du groupe démographique susceptible de commettre des crimes violents. M. Bolsonaro s’est engagé à faire baisser le taux de criminalité au Brésil en revenant sur les lois relatives au contrôle des armes, estimant que des citoyens armés dissuaderaient les criminels. Son objectif était de permettre aux bonnes gens et aux citoyens de garantir la paix dans leurs foyers. Bolsonaro avait raison ! Alors que la gauche se bat avec l’idée qu’il existe des moyens d’arrêter les crimes violents qui n’impliquent pas de violer les droits des citoyens en supprimant le droit de porter des armes, la réalité est que le contrôle des armes ne fonctionne pas. Malheureusement, la possession d’armes à feu est devenue un sujet de discorde au cours des dernières années, mais une bonne compréhension de l’histoire de l’Amérique révèle qu’une population bien armée permet d’avoir des maisons, des communautés et des écoles plus sûres et, en fin de compte, une nation plus sûre.
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