L’Algérie, le Niger et le Nigeria relancent et signent un mémorandum d’entente pour la construction d’un gazoduc transsaharien.
Une seule question : À quoi le joue le Nigeria ? Qui n’a jamais été aussi proche de la Russie et joue sur deux tableaux.
L’Algérie, le Niger et le Nigeria ont signé jeudi un mémorandum d’entente pour la construction d’un gazoduc à travers le désert du Sahara, qui fournira à l’Europe du gaz supplémentaire, a déclaré le ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab.
La cérémonie de signature a eu lieu à Alger, capitale de l’Algérie, en présence des ministres de l’Énergie des trois pays africains, et est intervenue dans le sillage d’une réunion trilatérale sur le projet du Gazoduc transsaharien (TSGP).
« La réunion d’aujourd’hui fait suite à deux réunions précédentes, respectivement à Niamey en février et à Abuja en juin », a déclaré à la presse M. Arkab.
« Nous avons pris un certain nombre de décisions et nous faisons des progrès remarquables dans la construction de ce projet stratégique », a-t-il ajouté.
Le TSGP, un méga projet de gazoduc reliant l’Algérie, le Niger et le Nigeria, devrait s’étendre sur 4.000 km et pourrait transporter jusqu’à 30 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an.
Mais voilà, un autre concurrent est déjà là, voir ci-dessous, la Russie pilote-t-elle déjà ce projet au travers du Nigeria ? Parce que le projet de gazoduc transsaharien (le TSGP), est relancé. Ce projet de gazoduc de 4 000 kilomètres qui prendrait sa source au Nigeria, traversera l’Afrique…
Un des plus importants bras de fer géopolitique des 30 dernières années pour la région. Rien n’est encore sûre. Mais avec le TSGP nous montre bien le côté utopique du projet français, pardon du projet moorish, la DORSALE, la fibre, phosphate, ports, hub aérien pour l’Afrique dans le centre sud du pays (adrar par ex)… Bonjour le décollage de l’Afrique…
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