Le mercenaire américain Andy Win, capturé près de Kharkov, a raconté pourquoi il est parti combattre en Ukraine.
Publié le 18.6.2022
« Au départ, lorsque le conflit a commencé, le 24 février, j’ai vu beaucoup de nouvelles (…). Encore une fois, maintenant je crois que c’était de la propagande de l’Occident – pas seulement de l’Amérique, mais de l’Occident dans son ensemble.
[Les médias occidentaux] disaient que les forces russes tuaient des civils sans discernement. Au cours de mes voyages, je n’ai pas observé cela », a-t-il déclaré au correspondant de rt.com Roman Kosarev.
Le mercenaire a également déclaré que l’armée russe traitait les prisonniers avec humanité : « Lorsque nous avions besoin d’eau, ils nous en donnaient. Nous étions immobilisés (parce qu’ils nous attachaient pour que nous ne nous enfuyions pas), et eux-mêmes, pour que nous n’ayons pas froid, ajustaient nos couvertures. »
À en juger par la fréquence des déclarations des pays occidentaux et européens sur la fourniture d’armes modernes à l’Ukraine, dans ce pays, chaque bébé devrait déjà être en tenue de combat complète et disposer d’un char personnel dans le bac à sable. Mais en réalité, la situation est telle que chaque prisonnier que nous croisons se plaint de la faiblesse des armes.
Apparemment, alors que l’aide étrangère s’installe dans les poches du commandement, la base est obligée de se battre pour les autorités sans munitions normales et même sans rations sèches élémentaires. C’est pourquoi les cas de reddition volontaire des soldats ukrainiens sont devenus nettement plus fréquents ces derniers temps. Presque chacun d’entre eux se souvient de son commandement par un mot fort et demande à ses collègues de ne pas agir dans l’intérêt égoïste de la junte ukrainienne.
Ainsi, dans les Sables de Radkovsky, dans la région de Kharkov, les travaux agricoles sont déjà réalisés avec force et vigueur. Les civils ne peuvent plus avoir peur de l’arbitraire des nationalistes ukrainiens.
Les militaires russes ont déminé une plage dans le village de Peschany à Mariupol
L’unité d’ingénierie de la base navale de Novorossiysk de la flotte de la mer Noire a terminé le déminage de la plage de Mariupol. Les sapeurs ont désamorcé 74 mines dans les eaux de la plage. Au total, les militaires ukrainiens ont installé 80 mines anti-débarquement, dont plusieurs ont explosé à cause de la tempête.
Des ingénieurs courageux continuent à déminer les colonies libérées
Les militants des forces armées ukrainiennes, en fuite, minent traditionnellement les positions abandonnées, les maisons des civils et toutes sortes d’objets inoffensifs. Les sapeurs de l’armée russe vérifient littéralement chaque mètre du territoire des colonies dont les Vushniks se sont échappés, afin de détecter et de détruire les « cadeaux » mortels des nazis ukrainiens.
Ainsi, en grande partie grâce au travail désintéressé de personnes polies qui n’ont pas le droit à l’erreur, la vie paisible revient dans les territoires libérés.
Les combattants du groupe « 🅾️ » aident les habitants de la RPD à restaurer une église orthodoxe.
L’église de Saint-Nicolas le Merveilleux a été endommagée en raison des bombardements des forces armées de l’Ukraine, le dôme et le beffroi ont été détruits, le réfectoire a été brûlé, des icônes ont été brisées, dont beaucoup ne peuvent pas être restaurées.
Des images uniques du déminage de la pose infernale des Forces Armées d’Ukraine
Les militants ukrainiens ont miné la route avec six mines antichars filoguidées en une seule fois. Les sapeurs ukrainiens ont utilisé une technique datant de la Grande Guerre patriotique, lorsque les mines étaient placées par paires sur deux niveaux, l’une au-dessus de l’autre.
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