
Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg, celui du confinement des non-vaccinés, démissionne
Publié le 2.12.2021 par Francesca de Villasmundo
Ce pays est redevenu l’état Nazi par excellence, “on ne renie pas ses origines” comme en 45, nous vous avions parlé dans cet article ci-dessous complètement fou, Szekeres qui dépeint le scénario d’horreur de la vaccination forcée, président de l’Ordre des Médecins et qui veut attacher les gens pour les vacciner de force « La question se pose de savoir si l’on doit attacher quelqu’un et lui faire l’injection. »
Et en même temps vous avez le chancelier autrichien Alexander Schallenberg, celui du confinement des non-vaccinés, qui démissionne, suivi par le ministre des Finances autrichien… Serait-ce les soubresauts du début de la fin ou l’accélération de la folie a l’état pur pour ne pas perdre la Face, ce qui est sur, c’est que la démission du chancelier va peser lourd dans la balance de la fuite en avant ?


Crise sanitaire, mesures dictatoriales, scandales, démissions… l’Autriche sombre dans le chaos.
Un mois et demi après avoir été investi à la tête du pays, après la démission de Sebastian Kurz en raison de l’ouverture d’une enquête pour corruption, le chancelier Alexander Schallenberg démissionne à son tour. Les raisons de ce départ soudain ne sont pas encore connues mais pourraient avoir un lien avec la crise sanitaire et la ligne dure empruntée par Schallenberg.
Sous sa gouvernance, l’Autriche a en effet été le premier pays européen à avoir décidé de confiner ses non-vaccinés, à la mi-novembre de cette année, et ensuite de rendre la « vaccination » anti-covid obligatoire. Faisant fi des immenses manifestations dans les rues des villes autrichiennes, le chancelier s’était félicité à l’époque de cette mesure discriminatoire en déclarant : « Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous avons partiellement privé de liberté une partie de la population, mais la mesure a déjà un effet » avant de devoir faire profil bas et confiner une semaine après toute sa population, le 22 novembre, pour trois semaines. Et là-aussi, c’est une première en Europe depuis le printemps ;
Ces deux démissions coup sur coup dans un moment politique conflictuel et sous haute tension sont aussi une première en Europe. Serait-ce le petit covid, associé à des conflits d’intérêt, des postures dictatoriales, qui aurait eu cet effet bienfaiteur ?
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