Q SCOOP – Connaissez vous Susan Wojcicki ?

Un autre secret de polichinelle dévoilé :

La femme à la tête de l’autorité de censure de youtube est Susan Wojcicki, PDG de YouTube et juive polonaise sioniste fanatique.



La PDG de YouTube veut bannir les contenus qui ‘vont à l’encontre’ des recommandations de l’OMS mais explique pourquoi elle laisse des vidéos « controverses ou même offensantes » Sur la plateforme.

Business Insider

Susan Wojcicki, PDG de YouTube. © Reuters

Susan Wojcicki, PDG de YouTube, a suggéré que la plateforme vidéo pourrait supprimer les contenus qui contredisent les conseils de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur le Covid-19. Dimanche sur CNN, elle a déclaré que YouTube « supprimerait les informations qui posent problème », y compris « tout ce qui est médicalement non fondé ». Par exemple, le contenu qui prétend que la vitamine C ou le curcuma guérit les personnes atteintes de Covid-19 serait « une violation de la politique de YouTube » et serait supprimé.

« Tout ce qui va à l’encontre des recommandations de l’OMS serait une violation de notre politique et donc retiré », a-t-elle poursuivi. Elle n’est pas allée plus loin dans les détails, et on ignore à quel point YouTube contrôle les vidéos qui entrent dans le débat sur les recommandations de l’OMS. Par exemple, l’OMS a conseillé que les masques soient portés par les travailleurs de la santé et non par les personnes en bonne santé. Mais les experts sont partagés sur ce point, et il existe de nombreuses vidéos sur YouTube qui conseillent aux gens de fabriquer et de porter leur propre masque.

Susan Wojcicki a reconnu que YouTube avait dû rapidement mettre à jour ses politiques en réponse au virus et à la désinformation qui l’accompagne. La plateforme a déjà interdit les vidéos qui lient la 5G à la propagation de Covid-19, une théorie conspirationniste qui montre une longévité surprenante sur les plateformes en ligne. Beaucoup d’entre elles ont pourtant été largement démenties.

En mars, YouTube a déclaré qu’il démonétiserait les vidéos sur le coronavirus. Mais est revenue sur cette décision une semaine plus tard, après une réaction brutale de YouTubers mécontents.


YouTube critiqué pour avoir supprimé des contenus sur le coronavirus différents de la narration de l’OMS

Par Frank Fang

Susan Wojcicki, PDG deYouTube (Nicholas Kamm/AFP via Getty Images)

Susan Wojcicki, PDG deYouTube (Nicholas Kamm/AFP via Getty Images)

Plusieurs législateurs américains font appel à la plateforme de partage vidéo YouTube depuis que son PDG a déclaré que les contenus contraires aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) seront supprimés.

La PDG de YouTube, Susan Wojcicki, dans une récente interview à CNN, a déclaré que « Tout ce qui irait à l’encontre des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé constituerait une violation de notre politique. »

Le sénateur américain Ted Cruz (Républicain-Texas) a répondu dans un tweet le 22 avril : « Absurde : L’OMS diffuse sans vergogne la propagande communiste chinoise, et maintenant YouTube annonce qu’elle censurera tout ce qui est contraire à l’OMS. Le PCC ne devrait pas diriger la Silicon Valley, ni piétiner la liberté d’expression en Amérique. »

OMS

L’OMS a été fortement critiquée en raison de sa mauvaise gestion de la pandémie mondiale, causée par le virus du PCC* (Parti communiste chinois), communément appelé nouveau coronavirus.

L’organisme international de santé a été critiqué pour avoir conseillé aux pays de ne pas imposer de restrictions aux voyages et au commerce internationaux afin de freiner la propagation du virus. Les États-Unis ont banni les voyageurs en provenance de Chine continentale le 31 janvier.


CORONAVIRUS : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR

L’OMS a également fait l’objet d’un examen minutieux pour avoir ignoré la mise en garde des autorités taïwanaises, fin décembre, quant au risque de transmission interhumaine du virus.

Le 14 janvier, l’OMS a répété la déclaration de Pékin affirmant qu’il n’y avait « aucune preuve évidente de transmission interhumaine ». Pékin n’a reconnu la transmission interhumaine du virus que le 20 janvier.

Par ailleurs, le 17 avril, le président américain Donald Trump a reproché à l’OMS d’avoir ignoré l’avertissement lancé par Taïwan en décembre dernier, stipulant la transmission interhumaine possible du virus.

De même, la sénatrice Marsha Blackburn (Républicaine-Tennessee) a critiqué l’OMS pour avoir diffusé des informations inexactes : « L’@OMS a donné des informations inexactes sur la propagation du virus, continue à faire de la propagande chinoise et a combattu l’interdiction de voyager en Chine de @realDonaldTrump […] Il est alarmant que @YouTube se base maintenant sur les recommandations biaisées de l’@OMS pour décider du contenu vidéo à retirer », a-t-elle déclaré dans un tweet.

Donald Trump a suspendu le financement américain de l’OMS, dans l’attente d’une révision lancée le 14 avril. Il avait dénoncé quelques jours plus tôt la partialité de l’organisme international de santé à l’égard de la Chine.

Selon les statistiques du département d’État, les contributions des États-Unis à l’OMS ont dépassé 400 millions de dollars en 2019, tandis que la Chine a fourni 44 millions de dollars la même année.

En réponse au commentaire de M. Wojcicki, le député Paul Gosar (Républicain-Arizona) a exprimé ses inquiétudes quant au rôle puissant des grandes technologies dans la société. « La censure des technologies menace la liberté d’expression, les marchés libres, les élections libres et même la santé publique ! L’@OMS a répété la propagande de la Chine communiste alors que le #coronavirus se répand dans le monde entier tandis que @youtube supprime les opinions dissidentes ! C’est pourquoi nous avons besoin de ma loi ‘Halte à la censure’ », a-t-il tweeté.

En juillet de l’année dernière, Paul Gosar a introduit sa loi « Halte à la censure » (H.R.4027), qui modifie la section 230 de la loi sur les communications de 1934. Selon un communiqué de presse, le projet de loi « révoquerait les immunités sans précédent et injustifiées accordées à Big Tech pour la censure des contenus ‘offensants’ ».

Icônes jaunes

L’influence de Pékin sur les politiques de YouTube a été examinée de près lorsque plusieurs vidéos sur l’épidémie de virus publiées en dehors de la Chine ont récemment été frappées du symbole jaune du dollar.

YouTube marque les vidéos avec le signe jaune du dollar s’il juge que le contenu vidéo ne convient pas pour la publicité, ce qui signifie que les créateurs de ces vidéos sont exclus de la plupart, voire de la totalité, des revenus publicitaires générés. Les créateurs peuvent demander un examen manuel de la monétisation pour réclamer le retrait du label jaune.

Plus récemment, le 20 avril, YouTube a bloqué une chaîne appelée « Caijing Lengyan », gérée par un économiste chinois indépendant qui se fait appeler « Leng Yan », lorsque l’économiste a réalisé une vidéo qui expliquant les motivations de la Chine pour promouvoir la monnaie numérique, comme le moyen de pouvoir surveiller le comportement des consommateurs en matière d’achat.

Deux jours plus tard, il a annoncé via son compte Twitter que YouTube avait levé son interdiction, grâce à la couverture médiatique des médias de langue chinoise en dehors de la Chine. Il a toutefois ajouté qu’il avait perdu environ 2 000 fans pendant la durée de cette interdiction.

S’adressant à l’édition chinoise d’Epoch Times, il a déclaré que YouTube avait d’abord supprimé sa vidéo à paiement numérique, mais l’avait rétablie après son appel. Il s’est interrogé sur ce qui avait poussé YouTube à interdire complètement sa chaîne.

Il pense que l’« armée des cinquante sous » chinoise – les internautes qui sont payés par le PCC pour tout commentaire qu’ils laissent sur des articles d’actualité et des médias sociaux qui défendent le régime chinois – ont pu intentionnellement signaler sa chaîne à YouTube.

Il a expliqué que ses vidéos sur YouTube ne contiennent pas de propos incendiaires et n’ont pas de but commercial, de sorte qu’elles ne devraient pas enfreindre les conditions générales de la plateforme vidéo.

Il a qualifié l’interdiction de sa chaîne de « menace et de trahison » pour la liberté d’expression.

* Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie covid-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.

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Source 1: Business Insider

Source 2: Lettre de Susan Wojcicki aux créateurs

Source 3: Theepochtimes