
Bill Gates et Richard Branson misent sur la viande artificielle.
Bien voyons ? Amis Moutons, voici votre futur repas prédit par Bill Menguele qui ne compte pas s’en arrêter là avec l’humanité, alors il mise sur la “connerie”. Amis Humains, continués de vous réveiller… Et éradiquons ces satanistes de la planète.
Publié le 22.6.2020 par Emmanuelle Oesterlé
En 2017, c’étaient les prédictions de nos Malades mentaux globalistes, maintenant que vous êtes réveillés, vous en pensez quoi ?? Oui, nous y sommes vraiment si nous les laissons faire.

La viande artificielle fera-t-elle bientôt son apparition dans vos assiettes ? Tel est en tout cas l’objectif de la start-up Memphis Meats, dans laquelle ont investi Bill Gates, Richard Branson (fondateur de Virgin), et Jack Welch (l’ancien PDG de General Motors). Cette société pionnière de la Silicon Valley fabrique de la viande dite «propre», à partir de cellules musculaires animales, sans élever ni abattre de bétail ou de volaille. La start-up souhaite ainsi changer durablement les moyens de production, afin de mieux intégrer «le défi environnemental, la protection des animaux, et la santé des hommes», peut-on lire sur leur site Internet. Ainsi, il devrait bientôt être possible de déguster un bœuf bourguignon… sans élever de bœuf.
Dans une interview à Bloomberg, Richard Branson s’est dit «persuadé que dans 30 ans, nous n’aurons plus besoin de tuer des animaux, et que la viande, qui sera uniquement propre ou à base de plantes, aura le même goût et sera plus saine pour tout le monde».
Une production plus respectueuse de la planète
La volonté de miser sur la viande artificielle s’inscrit dans un contexte porteur. Les consommateurs prêtent aujourd’hui une attention particulière à l’origine des produits qu’ils achètent, ainsi qu’à la protection animale et environnementale. Cette tendance se matérialise notamment par l’essor de la consommation de protéines végétales et de produits biologiques. «Les gens adorent manger de la viande, et la viande est au cœur de nombreuses cultures et traditions. Mais aujourd’hui, la manière de produire la viande conventionnelle est source d’enjeux majeurs pour l’environnement, la protection animale et la santé humaine», explique Uma Valeti, le cofondateur de Memphis Meats, dans un communiqué de presse.
Concrètement, Memphis Meats fabrique de la viande dans des réservoirs à partir de cellules animales vivantes auto-productrices, alimentées en oxygène, en sucre et autres nutriments. À ce jour, l’entreprise a réussi à «cultiver» et «fabriquer» de la viande de boeuf en 2016 puis de la viande de poulet et de canard au printemps 2017, sans toutefois la commercialiser.
Outre la question de la protection animale, ce processus de production serait aussi plus respectueux de l’environnement. Il n’utiliserait qu’environ 1% de la terre et 10% de l’eau nécessaires à l’agriculture animale traditionnelle. Néanmoins, l’importance des coûts de production reste un obstacle majeur à sa commercialisation. La jeune pousse espère donc accroître ses capacités de production tout en diminuant ses coûts, afin qu’ils soient au moins égaux aux coûts conventionnels de production de viande.
Un secteur qui séduit les mastodontes de l’agroalimentaire
Mais les célèbres PDG ne sont pas les seuls à s’intéresser à la production de viande artificielle. En effet, les mastodontes de l’agroalimentaire traditionnelle parient eux aussi sur ce secteur de la foodtech et participent au financement d’entreprises qui proposent des produits de substitution aux leurs.
En misant sur Memphis Meats, Cargill – l’un des plus gros fournisseurs agroalimentaires du monde – est devenue la première grosse entreprise productrice de viande à investir dans cette nouvelle technologie. «Nous pensons que les consommateurs continueront à adorer la viande (…). La viande artificielle, tout comme la viande conventionnelle, aura un rôle à jouer pour répondre à cette demande», a expliqué à Bloomberg Sonya Roberts, la directrice des projets de croissance chez Cargill Protein.
Ainsi, Memphis Meats a annoncé mercredi une levée de fonds de 17 millions de dollars (environ 14 millions d’euros), portant le capital de la start-up à 22 millions de dollars (18,6 millions d’euros). Preuve que les investissements s’envolent dans ce segment de la foodtech, Tyson Foods – le plus gros producteur de viande aux États-Unis- a investi en décembre dernier dans la start-up Beyond Meat, qui produit des substituts alimentaires à base de plantes.
Source 1: Le Figaro
Source 2: Menphis Meat
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