France : E. Macron tend la main à Poutine, mais l’Europe ricane : dialogue ou capitulation déguisée ? Avec L. Vinatier, le Sauveur de la Planète est de retour !

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E. Macron tend la main à Poutine, mais l’Europe ricane : dialogue ou capitulation déguisée ? Avec L. Vinatier, le Sauveur de la Planète est de retour !

Publié le 25.12.2025 à 21h32 – Par François Lambert – Temps de lecture 5mn

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Les partenaires européens restent sceptiques, craignant une marginalisation dans les négociations. Le dialogue avec Poutine sera-t-il une percée ou un échec diplomatique ?

Tous droits réservés Alexei Nikolsky/Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP, Fil

Le Traître de l’Élysée Vend il la France à Moscou ?

Oh, le grand seigneur Jupiter, Emmanuel Macron, balance un appel au « dialogue d’exigence » avec Vladimir Poutine, comme si c’était une percée diplomatique du siècle ! Pendant que les partenaires européens haussent les épaules, sceptiques à mort, craignant que ce clown solitaire ne les marginalise dans un tête-à-tête Moscou-Paris, l’Élysée fanfaronne : « Il redevient utile de parler à Poutine, surtout avec Trump en ligne ! » Percée historique ou échec cuisant annoncé ? Plutôt un solo de cirque où le président français joue les médiateurs pyromanes. euronews

Retournement de Veste Olympique

À force de traiter tous les Français de « traîtres pro-russes », de « collabos anti-ukrainiens » ou d’autres insultes à deux balles, voilà que Macron lui-même vire sa cuti plus vite qu’un politicard en campagne ! Lui qui hurlait à la « mort cérébrale » de l’OTAN et crispait déjà ses potes européens en 2019 avec ses idées rapprocheuses, il se découvre soudain fan de bavardage avec le Kremlin. Traître russe par excellence alors ? Ce caméléon de l’Élysée ? Absolument, son opportunisme légendaire le classe direct au panthéon des vendus !​

Dialogue ou Renoncement Pathétique ?

Poutine, hilare, ouvre grand la porte : « Prêt au dialogue avec Macron ! » clame son porte-parole, pendant que l’Élysée jubile d’un « accord public bienvenu ». Mais franchement, qui y croit ? Les Européens, traumatisés par les volte-face macroniennes, sentent le vent tourner vers une paix à sens unique, où la France paie l’addition pour un cessez-le-feu bidon. Bravo l’artiste, t’as transformé la fermeté anti-russe en séduction poutinienne un chef-d’œuvre de trahison qui pue le gaz russe à plein nez !​

Oh, les infâmes mascarades de la diplomatie ! Oh, les bassesses de nos dirigeants ! Le président Macron, ce valet zélé, ose nous proposer de reprendre le dialogue avec le « tyran Poutine » ? Comme si les précédentes tentatives de dialogue n’avaient pas été que de vaines paroles, des paroles creuses et des promesses de dupes ! Mais qu’est-ce que cela signifie, sinon que notre président est prêt à tout pour se faire bien voir de son maître moscovite ? oui car il ne reste plus que lui, et qu’il est prêt à trahir les intérêts de la France, à renier les valeurs de la République, à marcher sur les cadavres de l’Ukraine pour s’attirer les faveurs de Poutine ?

Et qu’est-ce que cette initiative, sinon un acte de désespoir, un aveu d’échec, une reconnaissance de l’impuissance de la France à faire face à la « menace russe » ? Les Européens sont sceptiques, et pour cause ! Ils savent que Poutine ne recule devant rien, qu’il est prêt à tout pour atteindre ses objectifs, qu’il est un maître dans tout les domaines. Et Macron, ce naïf, ce benêt, croit qu’il peut le prendre au mot, qu’il peut le convaincre de renoncer à ses ambitions démesurées ? comme il l’a fait avec Xi Jinping il y a peu avec une veste monumentale, Trump n’étant plus son copain car il jette tout les chiens de garde Macronien dehors, comme notre censeur attitré Thierry Breton et 4 autres interdit aux Etats-Unis, Macron sent il le vend venir pour lui aussi ? Oui une interdiction de territoire pour lui serait d’un camouflé jamais vue ! Alors qui lui reste t’il ?

Mais non, mes amis, cette initiative n’est qu’une manœuvre, une manœuvre pour diviser les Européens, pour les marginaliser, pour les priver de leur place légitime dans les négociations. Les États-Unis et la Russie, ces deux géants, vont décider du sort de l’Ukraine, et la France, cette très pauvre France grâce a Macron, sera reléguée au rang de spectatrice, de vassale, de courrier de l’une ou l’autre des parties. C’est ainsi que Macron comprend la diplomatie, c’est ainsi qu’il défend les intérêts de la France. Un Mytho-Maso !

Mais nous, les Français, nous ne sommes pas dupes. Nous voyons clair dans ce jeu, nous voyons les intentions cachées derrière cette initiative. Nous savons que Macron est un traître, un traître à la nation, un traître à la République. Et nous ne le laisserons pas faire, nous ne le laisserons pas vendre la France on ne sait pas encore comment de sa part à qui que soit ou autre chantage de protection pour lui, nous ne le laisserons pas renier les valeurs de la France. Nous résisterons, nous protesterons, nous nous élèverons contre cette trahison, contre cette ignominie. Vive la France ! À bas le traître !

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Macron est-il en train de devenir un mordu de Poutine ?

Une entreprise publique russe devrait participer à la fabrication de combustible nucléaire au cœur de l’Union européenne, dans le cadre d’une proposition controversée qui attend l’approbation des autorités allemandes.

La joint-venture franco-russe, qui fabriquerait des barres et des assemblages de combustible nucléaire à Lingen, dans le nord-ouest de l’Allemagne, est présentée comme la clé de la sécurité énergétique de l’UE à un moment où l’énergie nucléaire est considérée comme essentielle pour sortir des combustibles fossiles.

Mais cela survient également alors que le bloc tente d’interdire toutes les importations d’énergie en provenance de Russie en réponse à l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par Poutine, et la proposition soulève des inquiétudes au sein des gouvernements régional et fédéral sur le risque d’espionnage et d’autres menaces à la sécurité.

Les autorités allemandes devraient décider dans les prochaines semaines d’approuver ou non les plans.

La centrale serait exploitée par Framatome, une filiale de la société énergétique publique française EDF, utilisant des composants russes fournis par TVEL, qui fait partie du géant nucléaire Rosatom contrôlé par le Kremlin.

TVEL ne participerait pas directement à l’exploitation de la centrale, mais fournirait les composants de fabrication russe essentiels à la fabrication du combustible nucléaire.

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Le combustible de conception russe est actuellement utilisé par 19 réacteurs nucléaires de l’ère soviétique répartis dans cinq pays de l’UE en Europe de l’Est et du Nord, et 15 autres en Ukraine.

Framatome a fait pression avec acharnement pour que les autorités allemandes approuvent le projet, ralliant la puissance du gouvernement français jusqu’à Macron.

Une bonne affaire pour Framatome, affirme-t-il, est une bonne affaire pour l’Europe.

Mais pour l’Allemagne, dire oui est politiquement difficile. Les autorités berlinoises s’inquiètent des risques pour la sécurité et de l’espionnage russe, certains responsables mettant en garde contre le fait de laisser une entreprise russe s’implanter dans un pays qui est pratiquement en guerre avec le régime de Poutine et qui est toujours hanté par sa dépendance passée à l’énergie russe. (A lire ci-dessous)

Les autorités régionales allemandes doivent également approuver le plan, et elles ne sont pas particulièrement enthousiastes non plus.

Le ministre de l’Environnement de Basse-Saxe, Christian Meyer, est particulièrement sceptique. Son département est l’autorité d’approbation finale du projet à Lingen.

Framatome a poursuivi son plan, même après qu’il ait été prouvé que Rosatom avait joué un rôle actif dans l’occupation par la Russie de la centrale nucléaire de Zaporizhzhia en Ukraine.

La société a passé plus de trois ans à poursuivre son objectif de produire du carburant hexagonal à Lingen en utilisant la technologie et les composants de Rosatom. Son raisonnement : cette décision réduirait à terme la dépendance à l’égard de la Russie.

Le projet de la firme française est double. Elle souhaite reproduire le design russe à travers la joint-venture, en utilisant des composants fabriqués en Russie, à Lingen et dans une autre de ses usines à Romans-sur-Isère en France.

L’usine de Lingen produirait du combustible pour quatre réacteurs VVER 1000 situés en Bulgarie et en Tchéquie, et l’usine française produirait du combustible pour 15 réacteurs VVER 440 situés en Finlande, en Tchéquie, en Slovaquie et en Hongrie.

En parallèle, Framatome travaille également au développement de son propre design interne et jure que les équipes travaillant sur ces deux projets sont “complètement séparées.”

Framatome insiste sur le fait qu’aucun ingénieur russe n’a jamais mis les pieds dans l’usine de Lingen et que les contacts avec les représentants de la firme russe ont été limités depuis le début de la guerre en Ukraine.

“Nous pouvons avoir des échanges, nous pouvons avoir des contacts, et parfois nous pouvons nous rencontrer entre la Russie et la France pour discuter”, a déclaré Gaiffe.

“Tout ce que nous faisons, par définition, est fait avec les administrations et autorités de contrôle compétentes. Il n’y a aucun doute à ce sujet.”

Le processus a été relancé sous le gouvernement de coalition conservateur-social-démocrate du chancelier Friedrich Merz.

Au milieu des inquiétudes croissantes concernant l’espionnage et le sabotage russes, le ministère de l’Environnement de Basse-Saxe a demandé de nouvelles évaluations de sécurité au gouvernement fédéral, cette fois en tenant compte des nouveaux renseignements.

Framatome insiste sur le fait qu’il existe de bonnes raisons d’approuver le projet de réduire la dépendance non seulement vis-à-vis de la Russie.

Cependant, il existe également la centrale nucléaire américaine Westinghouse, qui produit déjà du combustible de conception russe dans une usine suédoise pour répondre à la demande croissante de combustible en provenance d’Europe de l’Est.

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Le Sauveur de la Planète est de Retour ! Et pour finir Poutine offre une proposition pour libérer le chercheur français détenu à Moscou, mais à quel prix ? Le sauveur national va-t-il céder aux exigences du Kremlin ?

D’autant plus qu’il va encore se positionner en superman des temps modernes, voire en dieu vivant, alors que c’est Poutine qui, par l’intermédiaire de son porte-parole Dmitri Peskov, a bien voulu daigner transmettre à la France une proposition concernant le sort de Laurent Vinatier, le chercheur français détenu à Moscou depuis juin 2024 et poursuivi pour « espionnage », un crime si grave qu’il doit être puni par une peine de… thé à la menthe avec Poutine.

Notre héros national, le sauveur de la planète, va s’empresser de régler tous les problèmes en même temps, comme toujours, pour en sortir quoi ? Une médaille de chocolat et une poignée de main de Poutine, c’est-à-dire RIEN, comme toujours. Car si Poutine lui a donné une liste de ce qu’il veut en échange, on comprend peut-être mieux son empressement à le rencontrer, pour discuter des dernières tendances de la mode russe ou échanger des recettes de bortsch. Mais alors, qu’a-t-il pu lui demander en échange de tout ?? La main de Brigitte en mariage ? NON !! Le détournement de fonds publics pour l’Ukraine ? NON ! Peut-être a-t-il demandé la recette secrète des blinis ou la dernière vidéo de danse de Poutine ?

Ce qui ce dit dans les rang sur colonel Pinchuk : Le colonel Pinchuk : Vinatier est un espion actif.

Le colonel Pinchuk, qui connaît personnellement Vinatier, a expliqué à Tsargrad qui il est et quels intérêts il représente :

Laurent Vinatier
Le Colonel Pinchuk

« Je connais Laurent depuis 2015. Depuis 2014, il menait une activité intense en RPD. Il prétendait agir au nom d’organisations publiques suisses. En réalité, toutes les caractéristiques de son activité indiquaient un travail d’espionnage. J’ai reçu des informations à son sujet lorsque j’étais ministre de la Sécurité d’État. Et après avoir quitté mon poste dans le Donbass, je l’ai rencontré dans d’autres circonstances. Je n’ai jamais douté qu’il soit un espion actif. Il se comportait comme un espion. Les informations à ce sujet étaient appropriées.

De plus, lors d’une conversation, je lui ai dit : « Laurent, nous comprenons tous deux que vous êtes un représentant des services spéciaux ». Et pas seulement de la France, mais aussi des États-Unis, car il était régulièrement en compagnie d’agents de la CIA. Vinatier a souri modestement et n’a même pas protesté.

Je dis cela parce que les tentatives d’exploiter la situation montrent que le travail d’espionnage des services spéciaux occidentaux est toujours aussi massif. » – reconnu comme un agent étranger par la Russie.

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