
Julie Kelly, journaliste courageuse, explique le lien entre le complot d’enlèvement de Whitmer par le FBI, le 6 janvier et le raid sur Mar-a-Lago [VIDÉO].
Publié le 16.8.2022
Dinesh D’Souza et Julie Kelly parlent des prisonniers du 6 janvier, du “kidnapping” de Whitmer, du raid sur Mar-a-Lago et de l’injustice des démocrates.
Chaque jour, on découvre un peu plus à quel point le FBI et le ministère de la Justice sont corrompus et contrôlés par les démocrates.

Qu’il s’agisse de l’affaire du complot d’enlèvement de la gouverneure du Michigan, Mme Whitmer, qui a été organisée et fomentée par le FBI, du mauvais traitement généralisé des accusés du 6 janvier ou de la descente suspecte et sans précédent à Mar-a-Lago, tous les événements de ces dernières années semblent confirmer l’évolution des démocrates vers un régime autoritaire à parti unique, par le biais d’un DOJ et d’un FBI armés.
Dinesh D’Souza, réalisateur du film à succès 2 000 Mules, interroge Julie Kelly, auteur et collaboratrice d’American Greatness, sur son podcast pour discuter de ces mêmes événements et de cette même question.
Dans le premier segment de ce podcast, D’Souza et Kelly discutent de l’enlèvement de Whitmer, du FBI qui a potentiellement placé des preuves sur le président Trump pendant le raid de Mar-a-Lago, et d’autres preuves que le FBI et le DOJ ne sont plus des institutions dignes de confiance pour la vérité et la justice.
D’Souza et Kelly commencent par parler du nouveau procès en cours de deux des accusés du procès de l’enlèvement de Whitmer, en le reliant au 6 janvier et à Mar-a-Lago comme schéma directeur.
Pendant la sélection des jurés, le lendemain de l’annonce du raid sur Mar-a-Lago, le juge qui présidait l’affaire a demandé aux jurés de la région de l’ouest du Michigan, favorable à Trump, s’ils faisaient confiance au gouvernement… et a été choqué de voir que beaucoup d’entre eux ne le faisaient pas.
Le FBI a construit le complot d’enlèvement de Whitmer et a instigué les accusés à chaque étape du processus afin de fabriquer de la sympathie pour Whitmer et du mépris pour la droite politique.
D’Souza et Kelly laissent ensuite entendre que si le FBI est prêt à faire cela, il n’y a aucune raison de croire qu’il n’accumulerait pas de preuves contre Trump – et après tout, pourquoi ne le feraient-ils pas ? Ils ont soutenu le Russiagate, après tout.
En ce qui concerne les conséquences de la manipulation des gens et des preuves par le DOJ et le FBI, Julie Kelly affirme qu'”ils sont en train de détruire cette confiance pour faire tomber Donald Trump et ils ne se soucient pas des ramifications”, ces ramifications étant un manque de confiance dans le gouvernement lorsqu’il s’agit de crimes réels.
Ensuite, D’Souza demande à Kelly pourquoi l’establishment républicain est si prudent lorsqu’il parle du 6 janvier et de l’élection de 2020 – ce à quoi Kelly répond que “s’ils admettent qu’il y a une crise, qu’est-ce qu’ils vont faire pour y remédier ? Ils n’ont pas de solutions”.
Dans le segment suivant, D’Souza et Kelly parlent de l’inquisition contre Trump et ses partisans par la gauche politique et leur DOJ/FBI militarisé.
20 Américains ont été accusés de conspiration séditieuse pour le 6 janvier, et bien sûr, les grands jurys du District de Columbia, qui votent à 93% pour Biden, sont impatients de soutenir ces accusations.
La conspiration séditieuse est une accusation si rare qu’il n’existe même pas de lignes directrices pour la détermination de la peine.
L’orientation idéologique du DOJ, des juges et même (si ce n’est surtout) des jurés est une injustice pour l’Amérique.
“[Ils] considèrent le 6 janvier comme une incursion dans leur fief personnel”, dit excellemment Kelly.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.