
Pour ceux qui ne croient pas aux nazis en Ukraine, voici une petite vidéo très explicite.
Il s’agit d’Artem Bonov, qui a été formé dans un camp paramilitaire à Azov. Après la prise du pouvoir par les nazis et Azov (où il s’est enrôlé dans le massacre du Donbass) il est devenu un officier de police dans la ville de Kiev.
Publié le 6.3.2022
Un néo-nazi ukrainien captif dans toute sa gloire tatouée.
La réalité est que l’Ukraine est en train d’être nettoyée, et peut-être aussi Taïwan, compte tenu de ce que nous avons entendu ces derniers temps.
RESTER À L’ÉCART DES MÉDIAS EST UN MAL PUR.
Nous assistons, ce sont les libérations de pays qui étaient autrefois détenus par certaines nations qui sont soustraites aux activités néfastes des agences et agents de renseignement occidentaux.
Laboratoires biologiques, trafic d’êtres humains, blanchiment d’argent, etc.…
Finalement, tout deviendra connu du monde, soyez patient et soyez fort dans vos convictions, de ce que vous savez être vrai. La cabale est terminée.
Il est de plus en plus clair de voir la PANIQUE sur les visages des dirigeants occidentaux. Ils savent que le travail est fait. Si l’Ukraine tombe, tout le monde tombe. Pourquoi pensez-vous que tout l’égout corrompu est impliqué dans cet événement ?
Ils ont détesté la Russie dès le premier jour et peuvent maintenant utiliser cette opération comme prétexte pour déclencher une guerre mondiale dont ils accuseraient clairement la Russie.
DONBASS Réalisé par Anne-Laure Bonnel. REPORTAGE D’ANNE LAURE BONNEL EN 2015.
Énorme Merci pour votre travail Anne-laure et votre engagement pour nous montrer la vérité depuis 2014 qui résonne encore plus fort aujourd’hui en 2022, et qui éclatera a la face de ces gouvernements corrompus et Zelinsky qui a gravé le conflit appuyé par les US du DS et l’OTAN.
Hier, 16H20. Banlieue Donetsk.
Une grand-mère de 83 ans. La maison de son voisin soufflée par un obus ukrainien.
Cette vieille dame, en apprenant que je suis française, me confie quelques mots.
Je transmets.
Demeurons des humains tendant le regard vers d’autres humains. La suivre sur son Facebook
Merci Le Figaro pour mon article, le Donbass, là où tout a commencé.
Pourquoi je suis partie en 2015 dans le Donbass, et ce j’avais écrit à l’époque à mes confrères…
Je lus une note du gouvernement avec stupéfaction. Il s’agissait d’un texte d’une dizaine de lignes censé encourager les combattants ukrainiens à détruire tout sur leur passage. Il promettait aux soldats qui « élimineraient » les insurgés d’obtenir leur terre. Puis le discours de Porochenko, puis ce journaliste appelant à tuer 1?5 millions de personne à l’Est.
Aiguillonnée par la lecture d’un pareil avertissement et résolue à gagner le donbass, je prépare mon départ.
Nous arrivons par la Russie. Kiev interdit notre passage. Les frontières avec l’Ukraine sont coupées. Les territoires autonomes sont mis en quarantaine.
Nous traversons la frontière.
Partout des voitures calcinées, des arbres détruits, des villages coupés du monde. Il fait froid. Il neige. Il n’y a ni gaz ni électricité. Ni eau potable.
Partout des routes bombardées. Inutilisables. On crève une fois, on crève deux fois, on crève trois fois.
Immédiatement j’étais frappée par la population civile. Anéantie. Errante sur les route. Chaque maison que je parvenais à percevoir étaient détruite.
La guerre, ce non-sens meurtrier, devient absurdité absolue qui repousse les limites de notre entendement lorsqu’elle affecte de la sorte des civils.
Nous avons plongé au cœur de cette trop ignorée partie du monde qui croule sous les bombes. Cette partie du monde dont les habitants tombent, parfois défigurés, tout en tombant dans l’indifférence la plus totale.
Ces bombes, nous les avons entendues de près.
Nous avons perçu leurs sifflements assourdissants.
Nous avons contourné leurs séquelles.
L’Ukraine est aujourd’hui en plein guerre civile. Et comme son nom l’indique, les premières victimes de ce genre de guerre sont les civils. Nous les avons rencontrés. Ils nous ont parlé.
Visites. Hôpitaux, zones sinistrées, commandants de l’armée, gouvernement.
Chacun se raconte. Hurle, explique, pleure.
La faim, partout. Le froid. Plus de médicaments.
Tous les soirs le bruit des bombardements.
Mon lit tremble.
Voiture.
Visite d’abris. Indescriptible.
On longe les rues désertes. Des chiens errants.
Et puis ce bruit, ça vient de tomber sous nos yeux.
Des corps déchiquetés.
La guerre.
Qu’en dire ? Qu’en penser ?
Après la mort, qu’elle ne cesse de côtoyer, n’est-ce pas le premier mot dont on ne peut prétendre pouvoir parler sans l’avoir vécue ?
Ou, du moins, observée ?
La guerre, c’est d’abord des hommes. Armés.
Des tenues de camouflage, des grenades, des mitraillettes…
La guerre, c’est aussi des engins. Bruyants.
La guerre, c’est des bombes, et des bombardements.
Les peurs et les courses intempestives pour aller se mettre dans des abris. De fortune, ou pas.
Ce sont des cris d’enfants, aussi, des « Tah-boum, tah-boum ! ». Tristes onomatopées que je ne souhaite à aucun autre de partager…
La guerre, c’est de la peur, des larmes et du sang.
Mais c’est aussi de la poussière, des bruits et de la destruction.
Beaucoup de poussière, de bruits et de destruction.
C’est des cadavres à-même le sol, ou ensevelis.
Des corps démembrés, amputés, des femmes et des bébés qui hurlent, leur douleur ou leurs craintes… celles d’avoir perdu un être cher.
Peut-être.
Car la guerre, c’est aussi l’incertitude.
L’isolement.
L’incapacité à communiquer, à savoir.
C’est la perte de repères ultime, la relativisation poussée à l’extrême, parce que le dernier fil tendu entre la vie et la mort. Entre l’être et le néant.
Oui, la guerre, c’est sans doute le plus inhumain des fléaux humains.
Peut-on faire pire que la guerre civile ? C’est une errance sans but ni fin.
Au Donbass, on meurt. Triste ironie, on meurt sans vraiment savoir pourquoi. Au Donbass, on meurt, oui.
Dans une indifférence crasse.
Et aujourd’hui tout s’effondre. 2022.
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