
POLITIQUE ET TOC : Tableau explicatif, c’est toujours bon de voir qui fait quoi et pour qui ?
Publié le 30.9.2025 à 11h43 – Par Liam Anderson – Temps de lecture 6 mn
Bienvenue dans le cirque magique de la politique française, où chaque case est reliée par des fils invisibles, où l’économie nationale est piégée dans une toile d’araignée de copinages, et où les “hasards” font si bien les choses. Asseyez-vous, sortez le pop-corn, car voici le Grand Démontage Alstom, mis en scène et joué par Emmanuel Macron et sa troupe de faux innocents toujours prompts à sauver la patrie… à coups de ciseaux dans l’industrie française. lemediatv+1
Emmanuel Macron, ce prodige de la finance recyclé en président, ce visionnaire qui transforme l’or français en plomb américain ! Regardez donc cette infographie hilarante, fournie par notre cher FreelanceInfos, qui nous offre un « tableau explicatif » digne d’un roman d’espionnage cheap. On y voit un serpent qui se mord la queue ou plutôt un cercle vicieux de magouilles où tout le monde se tient par la barbichette, avec Macron au centre, comme un chef d’orchestre dirigeant une symphonie de trahisons industrielles. « Politique et Toc », comme le dit si bien la légende : toujours bon de savoir qui fait quoi et pour qui, surtout quand « quoi » rime avec « vendre la souveraineté française » et « pour qui » avec « les potes banquiers et les Yankees ».
Décomposons ce chef-d’œuvre de complotisme visuel, car oui, chers lecteurs, derrière les flèches et les photos jaunies, il y a une histoire vraie de bradage national, de conflits d’intérêts et de rires jaunes pour les contribuables français.
Commençons par le cœur du diagramme : Alstom, ce joyau industriel français, fleuron de l’énergie et des transports, vendu aux Américains de General Electric en 2015 pour une bouchée de pain ou plutôt pour 12 milliards d’euros, mais avec des conséquences qui valent bien plus en emplois perdus et en indépendance nationale bazardée.

Et qui était aux manettes ? Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie sous François Hollande, ce bon vieux « Flanby » qui apparaît lui aussi dans le schéma, soutenant le « loyal travail » de Macron. Ironie du sort : Macron, ex-banquier chez Rothschild (ah, les Rothschild, ces « anciens associés-gérants » qui reviennent comme un leitmotiv dans le diagramme), a autorisé cette vente controversée, présentée comme une « victoire » pour la France. Victoire ? Plutôt un hold-up ! General Electric a promis monts et merveilles, mais a fini par supprimer des milliers d’emplois et plonger l’usine de Belfort dans le chaos. Et devinez quoi ? Des sources évoquent un « pacte de corruption » autour de cette affaire, avec des liens financiers suspects qui ont enrichi les intermédiaires dont certains ont financé la campagne de Macron en 2017.
Cynique, non ? Macron vend Alstom, ses copains de la banque se gavent en frais de conseil, et hop, il atterrit à l’Élysée. Magique !
Regardez maintenant les flèches qui pointent vers la droite : Valérie Pécresse, cette « présidente de Région Île-de-France » qui se pose en rivale de Macron dans le schéma (« Macron vs Pécresse ? »). Oh, la voilà connectée à Jérôme Pécresse, son mari, ancien cadre chez Alstom et négociateur du rachat par GE. Coïncidence ? Bien sûr que non ! Jérôme a supervisé le deal, empochant au passage des bonus juteux, pendant que Valérie, alors ministre sous Sarkozy, naviguait dans les mêmes eaux troubles. Le diagramme les relie à « 800 licenciements en IDF suite au rachat d’Alstom par General Electric » ah, le romantisme familial au service de l’industrie délocalisée ! Et Pécresse qui se présente comme la championne de la « réindustrialisation » ?
Ironie suprême : elle critique Macron aujourd’hui, mais son foyer a profité du même festin. « Nomine Valérie Pécresse ministre de l’Enseignement supérieur » sous Fillon, et voilà qu’elle boucle la boucle avec François Fillon, ce « conseiller d’analyse économique pour François Fillon ». Tout ce petit monde se croise chez Fondapol, ce think-tank « pour une Europe plus forte », financé par des intérêts atlantistes. Cynisme absolu : pendant que la France perd son savoir-faire nucléaire (les turbines Arabelle, essentielles pour nos centrales, passent sous contrôle US), ces élites se congratulent en séminaires.
À gauche du schéma, on plonge dans le marigot hollandiste : François Hollande, « secrétaire général de la présidence de la République française Hollande », lié à McKinsey & Company oui, ce cabinet de conseil américain impliqué dans la gestion calamiteuse du Covid, avec des contrats juteux à 2 millions d’euros par mois pour « conseiller le gouvernement dans la gestion du Covid-19 ». Le diagramme relie ça à Agnès Buzin (ex-ministre de la Santé), Gilles de Margerie, et même Karim Tajeddine, tous dans le même bateau de la « Terra Nova », ce think-tank progressiste qui pue les conflits d’intérêts. Et Henry Hermand, ce « financier la campagne 2017 » de Macron ? Un mécène décédé, mais dont l’héritage sent bon les arrangements discrets. Sans oublier Jacques Galvani, « membre de Fondapol l’Innovation Politique », et Jean-Pierre Jouyet, « secrétaire d’État aux Affaires européennes du gouvernement de François Fillon ».
Tout ce réseau pue la consanguinité élitiste : Rothschild, Edmond de Rothschild, General Electric… C’est un club privé où on vend la France aux enchères, avec Macron comme maître de cérémonie.
Et au milieu coule une rivière de cynisme : le diagramme pointe « l’ancien président exécutif d’Alstom, Seoul cadre du groupe Alstom a été racheté par General Electric après le rachat d’Alstom par General Electric ». Traduction : la France perd le contrôle de ses turbines nucléaires, devient dépendante des US pour sa maintenance, et Macron, des années plus tard, rachète une partie à prix d’or deux fois plus cher qu’à la vente !
Résultat ?
Une perte nette de 615 millions d’euros pour l’État, des emplois évaporés, et une souveraineté énergétique en miettes. Mais attendez, il y a pire : des voix comme celle du regretté Olivier Marleix, député LR qui dénonçait ce « pacte de corruption », se sont tues subitement suicide officiel, mais timing suspect juste avant la sortie de son livre explosif.
Coïncidence ?
Dans ce monde de « politique et toc », rien n’est gratuit.
En résumé, ce schéma n’est pas qu’un gribouillis conspirationniste : c’est un miroir tendu à la Macronie, où l’ironie atteint des sommets. Macron, ce « réformateur » autoproclamé, n’a fait que recycler ses réseaux banquiers pour démanteler l’industrie française au profit de l’Oncle Sam. Pécresse et les autres ne valent guère mieux, tous englués dans ce marécage de Fondapol, McKinsey et Rothschild. « Toujours bon de savoir qui fait quoi et pour qui » ?
Absolument ! Macron fait de la France une colonie économique, pour ses potes et les Américains. Et nous, on applaudit en payant la facture. Bravo l’artiste ou plutôt, bravo le prestidigitateur ! Prochain tour : vendre l’Élysée à Amazon ?
INGÉRENCE… ET PERSONNE N’A RIEN DIT ?
Deux jours avant le second tour de la présidentielle de 2017, Obama apporte officiellement son soutien à Macron.
Ça donne également une autre idée de qui donne les ordres à la France…
Et ça, pour les médias collabos français, (ceux que l’on appelle les mainstream), ce n’est pas du tout de l’ingérence.
Cherchez l’erreur…
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