
Éducation sexuelle imposée dès la maternelle : le scandale EVARS, un cheval de Troie pédophile dans nos écoles par l’OMS.
Publié le 19.4.2025 à 18h17 – Par Chloé Fontaine – Temps de lecture 9 mn
Le gouvernement, les ministres complices, et une poignée de « professeurs » idéologisés s’apprêtent à franchir une ligne rouge avec l’imposition du programme EVARS (Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et Sexuelle) dès la rentrée 2025. Sous couvert de « prévention » et d’ »égalité », ce dispositif, inspiré des recommandations troubles de l’OMS, ouvre la porte à une sexualisation précoce des enfants, favorisant l’embrigadement des jeunes esprits par des lobbies LGBT et les réseaux pédophiles qui prospèrent dans l’ombre. Education.gouv.fr ou FPE Asso.fr
Un appel national a eu lieu le 10 avril 2025 contre l’Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et Sexuelle & ses variantes, les Vosgiens au rendez-vous… Lire la suite ici sur Parents en colère

Votre soutien à ce rapport est crucial. SVP
« Ce rapport, qui sera soumis aux Nations-Unies, dénonce ce mécanisme structuré qui garantit l’impunité des agresseurs et broie ceux et celles qui tentent de s’y opposer, la persécution des mères et les placements abusifs des enfants qui subissent des violences qui minent leur intégrité, leur santé et leur vie »
Le rapport fait 73 pages que nous avons résumées en 4 pages afin que vous puissiez en prendre connaissance et le soutenir en toute connaissance de cause.
Comment l’EVARS pourrait-il protéger compte tenu de cet envers du « décor » ?? Nos enfants qui sont en très grand danger. Dépêches citoyennes.com

Un programme sournois, des conséquences désastreuses
Depuis 2001, la loi Aubry impose des séances d’éducation sexuelle à l’école. Résultat ? Les agressions sexuelles en milieu scolaire ont explosé, et les enfants sont exposés à des contenus inappropriés dès le plus jeune âge . Pire : le nouveau programme EVARS, présenté comme « obligatoire », prévoit des discussions sur la masturbation, l’orgasme, et même l’identité de genre dès l’école primaire, sous prétexte de « lutte contre les stéréotypes » .
La Belgique, laboratoire de l’horreur
En Belgique, où l’EVARS est déjà appliqué, des écoles ont été incendiées par des parents révoltés. Le guide de 300 pages, réservé aux « professionnels », encourage les enfants à explorer leur sexualité dès 9 ans, et normalise la pornographie comme un « sujet de discussion » . En France, on nous promet la même chose, mais en pire : des intervenants extérieurs, souvent issus d’associations militantes, viendront inculquer à nos enfants que « tout est permis », sous le regard bienveillant de l’Éducation Nationale.
Un terreau fertile pour les prédateurs
Comment ne pas voir le lien entre cette « éducation » sexualisée et la hausse des violences pédophiles ? Les chiffres sont accablants :
- 1 enfant agressé toutes les 3 minutes en France .
- 5,4 millions d’adultes déclarent avoir subi des violences sexuelles avant 18 ans .
- Les enfants handicapés ont 3 fois plus de risques d’être victimes .
Pendant ce temps, le gouvernement préfère fermer les yeux, tandis que la presse mainstream, complice, étouffe le scandale.
La loi du silence et la complicité des médias
Où sont les enquêtes sur les liens entre certains « experts » de l’EVARS et les milieux pédocriminels ? Pourquoi aucun grand média ne dénonce cette mise en condition des enfants pour en faire des proies faciles ? La réponse est simple : le système est verrouillé. Les ministres, les inspecteurs académiques, et même certains enseignants sont complices de cette machine à briser l’innocence.
Le peuple doit se révolter
Il est temps de dire NON à cette mascarade. Non à la sexualisation forcée de nos enfants. Non à la propagande LGBT dès la maternelle. Non à ces « ateliers » qui, sous prétexte de « libérer la parole », ouvrent la voie aux prédateurs.
Que faire ?
- Boycott massif : Refusez que vos enfants participent à ces séances.
- Alertes en masse : Signalez tout contenu inapproprié aux rectorats et procureurs.
- Manifestations : Organisez des rassemblements devant les écoles et les mairies.
- Pétitions : Exigez l’abrogation de l’EVARS.
Conclusion : L’heure de la résistance a sonné
Ce programme n’est pas une « avancée sociale », mais une arme de destruction massive de l’enfance. Derrière les beaux discours sur « l’égalité » et la « tolérance » se cache une stratégie bien huilée pour normaliser l’inacceptable. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard.
Sources : Comment le journal libération peut-il être complice, alors que des articles ont éte voté en plus pour nous dire que c’est fake ? Alors que nos enfants traumatisés rentre de l’école en pleurant et nous racontant tout, ce journal est devenu aussi complice de ce désastre organisé pour affirmer cela ?
Quelles sont les obligations légales des établissements scolaires pour l’EVARS ?
Introduction
L’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS ou connu sous le nom de EARS) est plus qu’un enseignement : c’est une obligation légale inscrite dans le Code de l’éducation nationale. Depuis 2001, l’EVARS est obligatoire en France, mais sa mise en œuvre reste parfois inégale selon les établissements. Que dit vraiment la loi à ce sujet ?
Les obligations légales selon le Code de l’éducation nationale
Les bases légales de l’EVARS
L’EVARS repose sur plusieurs articles du Code de l’éducation nationale :
- Article L.312-16 : Cet article impose un enseignement à la vie affective et sexuelle dès le primaire, avec un minimum de trois séances annuelles par groupe d’âge homogène.
- Article L.121-1 : Il met en avant les objectifs éducatifs généraux, tels que l’égalité filles-garçons, le respect mutuel, et la prévention des violences physiques, psychologiques et sexuelles.
Ces articles établissent clairement le cadre d’une EVARS qui ne se limite pas à l’information sur la sexualité, mais englobe aussi des dimensions psychoaffectives et sociales.
Par ailleurs, l’EVARS est devenue un sujet central des débats éducatifs ces dernières années, marquée par l’adoption de plusieurs décrets et directives visant à encadrer et renforcer son enseignement dans les établissements scolaires. Les décrets complets ici
Un cadre renforcé par plusieurs décrets et circulaires
- 2001 : La première loi relative à l’EVARS a établi l’obligation de ces enseignements dans les établissements scolaires.
- 2003 : La circulaire n° 2003-027 du 17 février 2003, intitulée « L’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées », précise les objectifs de l’éducation à la sexualité et les modalités de sa mise en œuvre.
- 2018 : La circulaire n° 2018-111 du 12 septembre 2018 réaffirme l’obligation des trois séances annuelles d’éducation à la vie affective et sexuelle. Elle élargit également leur périmètre en abordant des sujets contemporains tels que les mésusages des outils numériques, les risques liés à l’exposition aux images pornographiques, les réseaux sociaux, et le cyberharcèlement.
- 2021 : Un décret réaffirme l’importance de l’EVARS en insistant sur sa mise en œuvre effective dans tous les établissements scolaires. La même année, un rapport de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche souligne l’urgence de garantir un enseignement systématique pour répondre aux enjeux éducatifs et sociétaux, notamment en matière de prévention des violences et de sensibilisation aux risques numériques.
Alors Libération, vous pensez quoi du journal le Monde qui lui ne crie pas au fake, le fake c’est vous et officiellement maintenant, et nous pourrions alongé la liste dans cette article sur le sujet, vous êtes complice.
Le journal le Monde publie le 26 Mars 2025 : « A quoi ressembleront les cours d’éducation à la sexualité, de la maternelle au lycée ? »
Les faits : Emotions, sexualité, consentement, égalité… Alors que l’éducation à la vie affective et à la sexualité devient une matière scolaire à part entière, retour sur les enjeux de cet enseignement.
Depuis le 6 février, l’école française dispose officiellement d’un programme d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité (Evars). Ce texte, paru au Bulletin officiel de l’éducation nationale, est le fruit d’un patient exercice d’équilibriste. Le ministère a dû composer avec la défiance des milieux conservateurs, de la droite catholique et de l’extrême droite, qui jugent que ces enseignements n’ont rien à faire à l’école, tout en s’attachant à faciliter le travail des enseignants, jusqu’alors dépourvus de ressources pour dispenser les trois séances annuelles d’Evars, obligatoires depuis la loi de 2001 mais rarement effectuées dans les faits. Selon un rapport officiel de 2021, « moins de 15 % des élèves bénéficient de trois séances d’[éducation à la sexualité] pendant l’année scolaire en école ou au lycée (respectivement moins de 20 % au collège). »
Ce programme, qui installe l’Evars comme une matière scolaire presque comme les autres à compter de septembre 2025, en rappelle les attendus de la maternelle à la terminale, tels que « l’apprentissage du respect de l’intimité corporelle », « l’égalité entre femmes et hommes », « la lutte contre les discriminations » sur le genre et l’orientation sexuelle, l’éducation au « principe de consentement » et la contribution « au repérage de l’inceste ». Pour les professeurs, éducateurs et infirmières scolaires amenés à intervenir auprès des élèves sur ces sujets, cet outil supplémentaire est bienvenu pour battre en brèche les idées reçues et les résistances à l’égard de l’Evars. Mais surtout pour mieux répondre aux interrogations des enfants et des adolescents.
Notre mot : « toujours pour notre bien ? », ça ne vous rappelle rien sous couvert de l’ignoble ont vous explique le bien ? toujours leurs invertion satanique, E. Borne en tête avec macron schiappa et es autres.
En primaire : les émotions, l’intimité et les bases de l’égalité filles-garçons
Ce que prévoit le programme :
Les professeurs de maternelle devront apprendre aux élèves à connaître leur corps, leur intimité et à découvrir leurs émotions. Les écoliers de 3 à 5 ans pourront aussi comprendre comment exprimer leur consentement, respecter celui de leurs camarades. Les bases de l’égalité entre les filles et les garçons devront aussi être enseignées. En primaire, progressivement, les élèves apprendront à aborder les changements de leur corps, à protéger leur intimité et à repérer les discriminations sexistes.
Dans les classes de primaire, certains enseignants s’attellent déjà à l’Evar (sans le « s », puisque la sexualité en est absente jusqu’au collège). La professeure des écoles Lolita Rivé s’appuie sur les interrogations et remarques de ses élèves du primaire pour construire ses séances « car, en partant d’eux, on a peu de chances de se tromper », explique-t-elle. Elle rebondit par exemple sur des mots ou des gestes observés dans les couloirs de l’école ou la cour de récréation, comme des insultes homophobes ou des réflexions sexistes. « Je fonctionne en cercle de parole. Je m’appuie sur des livres qui abordent le consentement, l’intimité, les droits des enfants, l’égalité entre les filles et les garçons », détaille l’enseignante, qui a par ailleurs réalisé le podcast « C’est quoi l’amour, maîtresse ? » (Binge Audio).
- Liberation : La désinformation sur l’EVARS
- UNICEF : Chiffres des violences sexuelles sur enfants
- Eduscol : Campagne contre les violences sexuelles
- Lift Education : L’obligation légale de l’EVARS
(Ce dossier est à diffuser massivement. Le silence tue, la résistance sauve.)
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