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Comment changer les lois sans vote pour absoudre ses crimes – Christian Combaz

Publié le 30.9.2023

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Transcription de la vidéo :

Christian Combaz : Prédicament des élites françaises, dès qu’on parle de pédophilie criminelle, est un aveuglement, leur obsession à propos des transgenres, du consentement, de l’âge, du consentement des enfants à la séduction ou à la pratique sexuelle.

L’éducation à ce sujet, dès l’école, le fait qu’on explique aux enfants de 10 ans la fellation, rien de tout ça n’est innocent. Il s’agit en fait de modifier la loi et la perception des choses par l’opinion avant qu’on ne découvre.

Voici ci-dessous le site gouvernemental que cite Alix dans sa vidéo, clic dessus pour accéder.

Euh, ce qu’ils ont fait là, tous ces décideurs pendant toutes ces années, euh, qui finissent par regretter. Ah ça y est, la bonne au monde, ils sont partout, hein ? Écoute, je n’ai jamais dit ça, mais tout le monde l’a compris comme ça.

Ils sont en effet partout. En tout cas, ils sont partout.

Ils peuvent désormais contrôler l’information, notamment au sujet de leurs mœurs, il n’y a aucun doute, verrouiller les enquêtes, classer les dossiers. Il y a une pulsion suicidaire qui les pousse à dévorer leurs enfants au sens propre, à faire tuer leurs serviteurs quand ils commencent à en savoir trop, à bannir les intellectuels qui en disent trop, et désormais à bâillonner les gens sur les réseaux sociaux avec le secours de lois sur mesure, de lois de circonstance, pour régner sur une seule vérité, la leur, celle de leur propre dépravation, celle qu’ils ont infligée à tout le plan occidental en 30 ou 50 ans.

En tant que psychiatre, je ne peux que relever, a-t-elle dit, que… Tous les efforts législatifs en matière de mœurs tentent depuis 10 ans vers une seule chose, absoudre les fautes commises pendant la période libertaire des années 70, 90. Il s’agit de faire changer la loi pour que rien d’imprescriptible ne vous soit jamais reproché, pour qu’il ne reste pas de traces de ce que vous avez fait pour en arriver là. Par exemple, a dit la voie du roi, mais par exemple, le commerce sexuel avec un mineur par une personne ayant autorité, jusqu’ici, c’était sévèrement puni et indescriptible.

Eh bien, ils sont en train, tout doucement là, de faire changer les choses par leurs copains du conseil d’État et du conseil constitutionnel. Et curieusement, personne de l’opposition ne leur dit, mais arrêtez, qu’est-ce que vous êtes en train de faire ? Vous êtes fous ou quoi ? Parce que tout le gouvernement français, au sens large, hein, l’administration, la politique, la justice, la communauté scientifique, même les médecins, je peux en témoigner, c’est arrangé pour devenir transpartisan, c’est le.

En même temps, au-delà d’un certain degré de corruption sexuelle et financière, la droite et la gauche, bah, ça n’existe plus si on prend comme moyen de gouverner. Euh, le chantage mutuel tacite sur un grand secret, on ne peut pas dire au peuple, mais qui est partagé par toutes les élites, c’est-à-dire les partouzes, la drogue, le goût de l’extrême jeunesse, le fric, euh, l’exploitation des enfants du tiers-monde parfois. Ça, ça va même jusqu’au rituel, au crime rituel, aux transfusions, pour garder l’éternelle jeunesse.

Eh bien, il suffit de donner les postes clés à tous ceux qui ont quelque chose à se reprocher à cet égard, et il ne se passe plus rien, il n’y a plus aucune contestation, euh, ne passe plus dans les journaux. Les films sur la pédophilie ne trouvent plus de distributeur en France, ils votent les pires saloperies au bout du compte.

Ah ça je confirme, à déguster, leur méthode, c’est de dire, ça ne se passera pas comme ça, vous allez voir ce que vous allez voir, que finalement, ça se passe comme ça. Et on voit très bien en effet que rien ne se passe le jour du vote, tu t’aperçois qu’ils n’étaient pas là, ou qu’ils se sont trompés de bouton. Donc la vérité, c’est que personne ne veut faire tomber personne là-dedans, personne ne remet en cause quoi que ce soit, ils se tiennent tous, c’est bien ce qu’on dit. Et là, on peut dire que c’est le premier point d’entrée du diable dans la matrice, ce sont les histoires de fesses.

Les gens ne font plus l’abstraction de ce qu’ils sont pour gouverner, ils gouvernent mal, ils ne voient plus le bien commun, ils voient le leur, ils voient celui de leurs amis, on peut même dire de leurs complices. Donc le quatrième pilier, euh, c’est qu’on va s’arranger pour qu’ils ne fassent jamais abstraction de ce qu’ils sont, c’est.

Du chantage diffus, on va les nommer parce qu’ils appartiennent à une fraternité dangereuse, par exemple celle des prédateurs d’enfants. Et on va développer tout un système de gouvernement qui flatte d’abord les gens qui se ressemblent, qui se reconnaissent entre eux.

Et elle a dit les ronds à Gustave, tu vois bien que le Liant à l’huile dans les rouages, je le fais. Qu’on puisse aujourd’hui gouverner sans le peuple, sans les partis et même sans les élections qui pour moi sont truquées depuis le début, depuis 10 ans, en tout cas en se moquant totalement de l’opposition, hé bien, c’est que l’opposition partage les mêmes vices qu’eux. En gros, elle pique dans la caisse, elle drogue les femmes dans les bars pour les violer, elle se tape des petits garçons au Maroc.

Donc, tu peux être sûr qu’elle ne votera jamais la censure et qu’elle va se tromper de bouton au Parlement européen.

La vidéo complète ici