OMS : DIABLE ! L’OMS procède à un « accaparement sans précédent des terres » qui « pourrait contraindre la Grande-Bretagne, les États-Unis et l’Australie à des mesures de confinement en cas de pandémie future ».


DIABLE ! L’OMS procède à un « accaparement sans précédent des terres » qui « pourrait contraindre la Grande-Bretagne, les États-Unis et l’Australie à des mesures de confinement en cas de pandémie future ».

Publié le 28.5.2023


L’Organisation mondiale de la santé envisage actuellement d’apporter des modifications au Règlement sanitaire international, dont l’une pourrait contraindre les États membres à se conformer à toute règle édictée lors de futures pandémies, ce qui pourrait inclure des passeports-vaccins et des fermetures de frontières.

L’une des mesures proposées consisterait à obliger les pays à « suivre les recommandations de l’OMS dans leur réponse internationale en matière de santé publique », ce qui priverait les États membres de toute liberté d’aborder les pandémies de la manière qu’ils jugent la plus appropriée.

La proposition se lit comme suit : « Les parties reconnaissent l’OMS comme l’autorité d’orientation et de coordination de la réponse internationale en matière de santé publique lors d’une urgence de santé publique de portée internationale et s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS dans leur réponse internationale en matière de santé publique ».

Des membres du Parlement britannique, emmenés par l’ancienne ministre Esther McVey, ont écrit au ministère des Affaires étrangères pour exiger le blocage de toute nouvelle mesure qui renforcerait le pouvoir de l’OMS et lui permettrait de dicter la politique et les budgets au Royaume-Uni.

Dans sa lettre, Mme McVey met en garde contre le fait que l’organisation acquiert trop de pouvoir et passe d’un « organe consultatif dirigé par ses membres à une autorité saine dotée de pouvoirs de coercition ».

En vogue : L’acteur Ricky Schroeder révèle l’horreur d’un culte satanique mondial qu’il a connu à Hollywood [VIDÉO].

« C’est particulièrement inquiétant si l’on considère les piètres résultats de l’OMS en matière de conseils cohérents, clairs et scientifiquement fondés pour la gestion des épidémies internationales », a ajouté M. McVey.

Le ministre des affaires étrangères, du Commonwealth et du développement, Andrew Mitchell, a ensuite déclaré que le Royaume-Uni « n’accepterait jamais quoi que ce soit qui porte atteinte à nos principes de souveraineté ».

« Le Royaume-Uni soutient le traité sur les pandémies actuellement négocié par les gouvernements nationaux, qui pourrait accélérer le partage des données sur les nouvelles menaces de pandémies afin que nous puissions réagir rapidement en cas de pandémies futures », a déclaré M. Mitchell. « Nous sommes clairs sur le fait que nous n’accepterons jamais quoi que ce soit qui enfreigne nos principes de souveraineté ou qui empêche le Royaume-Uni de prendre des mesures décisives contre les pandémies à venir ».

Molly Kingsley, fondatrice de UsForThem, un groupe britannique qui a défendu les droits des enfants lors de la pandémie de grippe aviaire, a qualifié la proposition de l’OMS d' »accaparement sans précédent ».

Le gouvernement est revenu à la charge et a dit : « En fait, nous sommes aussi très inquiets », a déclaré M. Kingsley. « Et il a raison de l’être, car il s’agit d’une mainmise sans précédent de l’OMS.

S’adressant à Talk TV au sujet de l’amendement proposé, M. Kingsley a déclaré : « Ce que les propositions font, c’est changer les conseils que l’OMS donne actuellement en recommandations contraignantes. Et cela inclut des recommandations contraignantes sur des sujets tels que le confinement, la vaccination obligatoire, la quarantaine, l’isolement et les restrictions de voyage ».

« On peut se demander qui est l’OMS qui s’octroie ces pouvoirs », s’est interrogé M. Kingsley.

Comprenez les discours enflammés de Macron maintenant avec son air hypocrite qui appelle à déléguer notre souveraineté et pouvoir décisionnel en matière de santé à l’OMS, largement financé par le secteur privé.


Tout s’organise toujours autour de leur peur et de leur manipulation mentale, et ils ne s’arrêteront que lorsque nous les arrêterons. Tout ce que nous laissons passer sans contestation leur sera toujours acquis contre les peuples.

La nécessité d’agir : « Ils n’arrêteront que quand nous les arrêterons »

Introduction : La phrase percutante « Ils n’arrêteront que quand nous les arrêterons » révèle une vérité incontournable : face à une situation d’injustice, d’oppression ou d’abus de pouvoir, l’action et l’engagement sont indispensables pour provoquer le changement. Cette déclaration incite à la prise de responsabilité individuelle et collective, soulignant que les oppressions ne prendront fin que lorsque nous agirons pour les stopper. Dans cette dissertation, nous explorerons les raisons qui rendent cette affirmation si pertinente et le rôle crucial de l’action pour créer un monde plus équitable.

Le pouvoir de l’inaction : L’inaction et la passivité peuvent souvent perpétuer des situations injustes et oppressives. Lorsque nous restons silencieux et indifférents face à l’injustice, nous accordons tacitement notre soutien à ceux qui l’exercent. Les oppresseurs, conscients de notre inertie, continuent alors d’agir en toute impunité, renforçant ainsi leur pouvoir et perpétuant les cycles de domination. En ce sens, la phrase met en évidence la responsabilité collective que nous avons de nous opposer à ces actes, car ils ne cesseront que lorsque nous aurons le courage d’agir.

La nécessité de l’action : L’action est l’antidote à l’injustice et à l’oppression. Chaque fois que des individus se lèvent, s’unissent et font preuve de détermination pour s’opposer à l’injustice, ils ouvrent la voie à un changement positif. L’histoire regorge d’exemples où les mouvements sociaux, les activistes et les héros ordinaires ont réussi à mettre fin à des régimes oppressifs, à instaurer l’égalité des droits et à combattre les discriminations systémiques. Cette phrase nous rappelle que l’arrêt des oppresseurs dépend de notre volonté de prendre position et de lutter pour la justice.

La puissance de la résistance : La résistance active est souvent le moteur du changement social. Lorsque nous refusons de nous soumettre à l’injustice, nous envoyons un message clair:

Nous ne tolérerons pas les abus de pouvoir et les violations des droits fondamentaux. En nous organisant, en manifestant pacifiquement et en utilisant les moyens légitimes à notre disposition, nous pouvons remettre en question les systèmes oppressifs et forcer ceux qui en bénéficient à rendre des comptes. C’est par notre détermination et notre persévérance que nous pouvons espérer arrêter les oppresseurs et créer un monde plus juste.

Conclusion : « Ils n’arrêteront que quand nous les arrêterons » est bien plus qu’une simple phrase. C’est un appel à l’action, une invitation à se lever contre l’injustice et à défendre les valeurs fondamentales de l’égalité et de la dignité humaine. L’inaction ne peut être une option lorsque nous sommes témoins de l’oppression. Nous devons prendre conscience de notre pouvoir individuel et collectif pour créer un changement significatif. En nous engageant activement, en refusant de se laisser faire.