Turquie

Turquie : Turquie 84,32% de suffrages exprimés, Erdogan est donné en tête du scrutin présidentiel.

Turquie 84,32% de suffrages exprimés, Erdogan est donné en tête du scrutin présidentiel.

La confusion règne depuis 2 h maintenant.

Publié le 14.5.2023

Mise à jour à 23 h00 : Il y aura certainement un second tour aux élections présidentielles en Turquie.

Aucun des candidats au 1er tour n’a dépassé la barre des 50 %. Selon la loi turque, dans ce cas, un deuxième tour est prévu – il se tiendra le 28 mai 2023.

Erdoğan – 49,94 %.

Kılıçdaroglu – 44,3%.

Plus tôt dans la soirée, regardez les heures inscrites de diffusion.

22 H 18 en Turquie, Erdogan repasse sous la barre des 50%, sur près de 90% des bulletins (média officiel)
Il était à 59% des voix avec 35% des bulletins dépouillés.

Ils sont en train de nous faire une nouvelle Lula.

Proche du second tour : plus de 90 % des bulletins de vote ont été dépouillés en Turquie. Erdogan a obtenu 50,01% des voix. Les partisans de l’opposition et du gouvernement actuel descendent dans les rues d’Istanbul.

À 21 h 50, Erdogan accuse Biden de s’immiscer dans l’élection présidentielle.

“Biden a dit qu’ils devraient renverser Erdogan, je le sais. Tout mon peuple le sait. Demain, les urnes donneront aussi la réponse à Biden.” – Erdogan.

En attendant, après le dépouillement de 87% des votes, Erdogan est à 50,17% et son principal adversaire Kilicdaroglu à 44%.

À 21 h 45, en Turquie, 84,32% de suffrages exprimés.

Les médias fake-news prédisaient sa défaite, et pourtant le président turc Erdogan remporte facilement la victoire avec 56,94% des voix

En fait, en Turquie, c’est le deuxième tour. Erdogan a déjà obtenu 50 % avec 87,6 % des bulletins de vote traités.

D’ici à 14 heures (EST), les résultats des élections turques commenceront à affluer.

Que ce soit à côté de chez vous ou à l’autre bout du monde, cette élection déterminera la politique étrangère des États-Unis dans la région à l’avenir. Cette élection déterminera la politique étrangère des États-Unis dans la région.
Si les États-Unis parviennent à s’emparer de la Turquie, ils pourront imposer leur politique à l’égard de l’OTAN. S’ils ne parviennent pas à atteindre leur objectif, c’est un clou de plus dans le cercueil du déclin des États-Unis vers l’insignifiance mondiale.

Nous nous attendons à une nouvelle victoire d’Erdogan, mais attendons de voir.

Parlons du blanchiment d’informations pour atteindre les objectifs occidentaux.

Cet article sur la Turquie publié par “The Hill” vient de tomber. Il a été écrit par Nathan Kohlenberg, qui est membre de l'”Alliance pour la sécurisation de la démocratie”, un “conseil de défense de la politique étrangère” de Washington dont les membres du conseil d’administration comprennent John Podesta et l’ancien chef de cabinet de Bill Clinton.

Quels sont leurs objectifs ? C’est simple. Erdogan est toujours un problème pour l’OTAN, alors les États-Unis blanchissent aussi vite qu’ils le peuvent (comme d’habitude) pour présenter Erdogan sous un mauvais jour et leur candidat pro-occidental comme un choix légitime. Quelle est la menace de la Pologne ? Le fait qu’elle n’adopte pas, par flagornerie, la ligne de l’Occident, principalement en interdisant la propriété étrangère de ses médias (les États-Unis considèrent cela comme un crime, à moins que ce ne soit eux qui le fassent).

Les élections ont lieu aujourd’hui et Erdogan devrait remporter le scrutin. C’est le pire cauchemar des États-Unis, car sans l’approbation de la Turquie, ils ne peuvent pas poursuivre leurs projets dans le cadre de l’OTAN.

La ligne de conduite de l’Occident est “Free But Not Fair” (libre, mais pas équitable) puisque les indices internationaux jugent les élections turques ouvertes et libres.

Les renseignements militaires turcs ont diffusé une vidéo montrant la supposée élimination d’un groupe de soldats français par l’armée de l’air azerbaïdjanaise. La frappe a été menée depuis un drone Bayraktar TB2 du côté arménien de la frontière. Les renseignements turcs indiquent que les soldats français étaient en mission pour soutenir l’armée arménienne en les entraînant sur des programmes de calcul militaire avant d’être éliminés. Pas de confirmation du Quai d’Orsay pour l’instant.