USA : Flash, le sénateur Mitt Romney, qui déteste Trump, propose à Biden de reprendre la construction du mur du président Trump, alors qu’une invasion massive est attendue à la frontière lorsque le titre 42 expirera cette semaine.


Flash, le sénateur Mitt Romney, qui déteste Trump, propose à Biden de reprendre la construction du mur du président Trump, alors qu’une invasion massive est attendue à la frontière lorsque le titre 42 expirera cette semaine.

Publié le 11.5.2023


Alors que la fin du Titre 42 approche cette semaine, les sénateurs républicains, menés par le sénateur Mitt Romney, exhortent le régime Biden à reprendre la construction du mur frontalier entre les États-Unis et le Mexique.

Dans une lettre adressée au secrétaire du DHS, Alejandro Mayorkas, le groupe de sénateurs écrit : “L’administration n’a pas reconnu la crise qui sévit à notre frontière, et ne reconnaît qu’à la dernière minute que la suppression prochaine des autorités du titre 42, et l’augmentation subséquente du nombre de passages à la frontière qui est prévue, auront des effets désastreux sur la sécurité de notre nation”.

“Les terroristes, les trafiquants et les autres mauvais acteurs savent que notre pays n’a pas réussi à sécuriser les frontières et ils exploitent continuellement ces faiblesses”, peut-on lire dans la lettre. “Il y a une solution simple et évidente devant vous : nous devons achever le mur frontalier”.

Romney, qui a ouvertement critiqué Trump, soutient désormais le plan de sécurité frontalière de l’ancien président et critique le manque d’attention de l’administration Biden à l’égard de la sécurité frontalière, qui a conduit, selon lui, à une “crise humanitaire”.

La lettre adressée à M. Mayorkas traite de cette crise, en particulier en ce qui concerne les enfants vulnérables.

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“La crise à la frontière a également contribué aux préjudices causés aux enfants migrants et les a rendus vulnérables à l’exploitation, au travail forcé et au trafic sexuel”, peut-on lire dans la lettre. “Nous ne sommes au courant de l’incapacité de l’administration actuelle à protéger les mineurs de la garde de gardiens dangereux ou négligents que grâce à la surveillance du Congrès, aux journalistes et aux lanceurs d’alerte.

Après avoir refusé de reconnaître la crise frontalière à laquelle son administration contribue depuis le début de sa présidence, Joe Biden a récemment envoyé 1 500 soldats américains en service actif à la frontière sud.

Cette décision a suscité des critiques de la part des républicains et des démocrates.

Alors que jusqu’à présent, l’administration Biden a prétendu qu’il n’y avait pas de crise de l’immigration, elle s’efforce désormais de gérer le nombre écrasant d’immigrants qui s’approchent de la frontière.

Une nouvelle politique que l’administration va mettre en œuvre est une règle d’asile qui interdira aux migrants de demander l’asile aux États-Unis s’ils sont passés par un autre pays avant d’arriver à la frontière américaine et s’ils n’ont pas d’abord essayé de demander l’asile dans ce pays.