France : Macron, être « allié » des États-Unis ne signifie pas être « vassal ».


Macron, être « allié » des États-Unis ne signifie pas être « vassal ».

Publié le 15.4.2023


Bien voyons !! Pourquoi devrions-nous écouter E. Macron lorsqu’il parle de ne pas être un “vassal” des États-Unis ? Il est clair qu’il n’a pas le courage de défendre ses alliés et préfère se plier aux demandes des puissances étrangères.

Le terme “neuro-divergent” est généralement utilisé pour décrire une personne qui pense ou communique d’une manière similaire à l’autisme, mais sans intention d’être offensant, il s’agit là d’une manière respectueuse de reconnaître que le cerveau des personnes peut fonctionner différemment et qu’il s’agit d’une variation naturelle dans la diversité humaine, nous pouvons maintenant admettre et employer les mêmes termes d’embrouille que la REM nous a fait subir jusqu’à maintenant, ce type est réellement désormais “neuro-divergent”.

Ci-dessous l’école d’enfant autiste où Macron était, pourquoi E. Macron est-il sur cette photo en bas à droite ??

Et “Brigitte, J-MH Trogneux” ensuite ?, mais si toute l’histoire que nous connaissons est vrai, serait-ce un scandale dans le scandale ?, car “le Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA) est considéré comme un handicap“.

Pédophile sur un enfant handicapé alors ?


Emmanuel Macron a déclaré, le mercredi 12 avril, lors d’une visite aux Pays-Bas qu’être « allié » des États-Unis ne voulait pas pour autant dire être « vassal », assumant pleinement des propos controversés tenus sur Taïwan.

E. Macron, lors d’une visite aux Pays-Bas le 11 avril 2023. (AP Photo/Peter Dejong)

E. Macron, lors d’une visite aux Pays-Bas le 11 avril 2023. (AP Photo/Peter Dejong)

« C’est pas parce qu’on est allié, qu’on fait des choses ensemble (…) qu’on n’a plus le droit de penser tout seul », a-t-il dit lors d’une conférence de presse à Amsterdam à l’issue d’un entretien avec le Premier ministre Mark Rutte.

« Et qu’on va suivre les gens qui sont les plus durs dans un pays qui est allié avec nous », a-t-il ajouté dans une allusion apparente aux responsables du Parti républicain, très offensifs sur la Chine, rapporte l’AFP.

Emmanuel Macron a suscité une vague d’incompréhension aux États-Unis et en Europe en appelant l’Union européenne à ne pas être « suiviste » de Washington ou Pékin sur la question de Taïwan.

Des propos aussitôt interprétés comme une prise de distance à l’égard de Washington alors que les États-Unis sont très engagés auprès de l’Ukraine depuis le début de l’offensive russe.

« Macron, qui est un ami, est avec la Chine en train de lui lécher le cul », avait renchéri l’ancien président américain Donald Trump.

D. Trump « participe de cette escalade qui est recherchée par certains », a déploré Macron, saluant à l’inverse la volonté du président démocrate américain Joe Biden « d’éviter toute escalade en dépit des tensions actuelles », mdr comme disent les jeunes… Non ?

Les mots de la diplomatie. Donald Trump a accusé le président français Emmanuel Macron de « lécher le cul » de son homologue chinois Xi Jinping après sa visite à Pékin, lors d’une interview diffusée ce mardi 11 avril.

Emmanuel Macron est sous le feu des critiques après ses propos appelant l’Union européenne à ne pas être « suiviste » de l’Amérique ou de la Chine sur la question de Taïwan, prononcés après son séjour en Asie.