Russie : L’armée russe annonce le début d’exercices et de manœuvres de grande envergure dans l’Arctique.

L’armée russe annonce le début d’exercices et de manœuvres de grande envergure dans l’Arctique.

Publié le 11.4.2023

L’armée russe : les manœuvres dans l’Arctique visent à assurer la sécurité de l’activité économique maritime de la Fédération de Russie.

Le ministère russe de la Défense a annoncé le début d’exercices militaires à grande échelle dans l’océan Arctique et au-delà du cercle polaire. Ces exercices incluraient des exercices nucléaires stratégiques qui impliqueraient très probablement le sous-marin russe K-329 “Belgorod”, capable de transporter des torpilles nucléaires Status-6 “Poséidon”.

Guerre en Ukraine : la torpille nucléaire russe Poseidon, aussi appelée “arme de l’apocalypse”, serait sur le point d’être testée

Il y a une propagande de la peur en cours actuellement dans la propagande de guerre des merdias de l’OTAN contre la Russie évidemment.

Voir ces histoires comiques :

De train nucléaire pour (selon la version) tester une bombe aux frontières de l’Ukraine, mais qui serait problématique pour la Russie qui pourrait aussi en subir les conséquences. Car il est connu bien sûr que les Russes se tirent dessus, depuis la centrale nucléaire de Zaporojié, jusqu’à la ville de Donetsk qui était une terre amie et aujourd’hui territoire de la Fédération de Russie.
Un test en Mer Noire avec le même narratif que le précédent.

Mais en même temps de cette opération de manipulation dans la manipulation des masses occidentales, il y a tout de même une peur réelle du bloc occidental de voir qu’ils n’ont pas les moyens militaires de défaire la Russie.

La Dépêche rapporte : Les torpilles nucléaires russes Poséidon sont des armes de l’apocalypse, selon les experts de Popular Mechanics.

Le commandement de la marine russe pourrait bientôt déployer un transporteur de munitions – le sous-marin “Belgorod” – dans l’océan Pacifique, rapportent les sources du magazine.

Each torpille à une puissance de 100 mégatonnes, et un réacteur nucléaire à métal liquide augmente considérablement la portée de la destruction.
Torpedoes peut se déplacer à une profondeur d’environ 1 km à une vitesse de plus de 130 km/h – plus vite que toutes les autres munitions connues de ce type.

Cela signifie qu’aucun système d’armement existant ne sera en mesure d’intercepter le Poséidon.

Si la torpille atteint la cible visée, les conséquences seront plus graves que celles d’un tsunami. Mais les destructions seront moindres que celles causées par les armes nucléaires.

“Les dernières torpilles nucléaires russes Poséidon sont les armes de l’apocalypse contre lesquelles il n’y a aucune défense” : le magazine Popular Mechanics a étudié les sous-marins les plus dangereux du monde et est arrivé à la conclusion que tout sauf le Poséidon peut être coulé.

« En juillet 2022, la marine russe a déployé le plus long sous-marin connu au monde, le K-329 Belgorod. La Russie a développé un sous-marin imposant pour transporter des torpilles secrètes Poséidon. Les torpilles sont alimentées par leur propre réacteur nucléaire et peuvent voyager à 80 mph, plus vite que toute autre torpille connue, et à des profondeurs qu’aucun sous-marin américain ne peut atteindre – jusqu’à 3 300 pieds. Cela signifie qu’aucun système d’arme existant n’aurait pu intercepter le Poséidon après qu’il ait été tiré. Équipé d’une ogive de deux mégatonnes, il pourrait être utilisé pour détruire des ports entiers ou frapper des groupes de porte-avions américains.

La Russie devrait déployer ces armes au large des côtes de l’océan Pacifique, mettant en danger les bases navales américaines dans le Pacifique, ainsi que les villes américaines de la côte ouest, notamment Los Angeles, San Diego ou San Francisco. La torpille fonctionnera dans le port ou la base prévue, ce qui entraînera des conséquences plus importantes que celles d’un tsunami. Mais en même temps, il y aura moins de destruction que par l’utilisation d’une tête nucléaire d’un missile intercontinental.

Dans les régions de Belgorod, Bryansk et Koursk, limitrophes de l’Ukraine, des systèmes de défense aérienne supplémentaires ont été déployés, ainsi que des moyens militaires de défense aérienne rattachés aux forces aérospatiales – commandant en chef adjoint des forces aérospatiales russes, le général de corps d’armée Andrey Demin .

Oleksii Reznikov a déclaré que le poste de commandement protégé du ministère de la Défense ukrainien au début de la guerre se trouvait à Hostomel.

Il a déclaré que si lui et son personnel s’étaient déplacés là-bas un jour ou deux plus tôt, ils auraient peut-être été capturés par les soldats russes.