
Panique à la Silicon Valley, la banque des startups SVB la banque US cherche à « s’auto-vendre » pour éviter la faillite.
Crash de la Silicon Valley Bank (SVB) : la banque US cherche à « s’auto-vendre » pour éviter la faillite
La société mère de la Silicon Valley Bank (SVB), au bord du gouffre, serait en pourparlers pour se vendre elle-même.
Publié le 11.3.2023
FINANCE – FAILLITE DE LA SILICON VALLEY BANK : QUI ÉTAIENT LES PRINCIPAUX DÉTENTEURS D’ACTIFS DE CETTE GROSSE BANQUE ?
- BlackRock et Vanguard, les 2 plus gros gestionnaires d’actifs au monde, bras financier de l’État Profond et des mondialistes.
- Et ça, ça leur fait mal.
- La chute des banques mettra à terre le système financier classique, détenu par les mondialistes de l’Etat Profond.
- Une chute qui risque de les entrainer au fond du trou.
- Ça va sacrément secouer, mais c’est le passage obligé pour la défaite de l’État Profond.
FINANCE – US : LES AUTORITÉS DE RÉGULATION BANCAIRE SAISISSENT LA SILICON VALLEY BANK (SVB) DANS LE CADRE DE LA PLUS GRANDE FAILLITE BANCAIRE DEPUIS LA GRANDE RECESSION
10 Mars (WNEM) – Les autorités de régulation se sont empressées vendredi de saisir les actifs de l’une des principales banques de la Silicon Valley, marquant ainsi la plus importante faillite d’une institution financière américaine depuis l’apogée de la crise financière il y a près de 15 ans.
La Silicon Valley Bank, 16e banque du pays, a fait faillite après que les déposants se sont empressés de retirer leur argent cette semaine, dans un climat d’inquiétude quant à la santé de la banque. Il s’agit de la deuxième plus grande faillite bancaire de l’histoire des États-Unis après celle de Washington Mutual en 2008.
Serions-nous à l’aube de la chute du système financier mondial que les « complotistes » annoncent depuis un certain nombre de mois/années ?
Blackrock et Vanguard sont les premiers détenteurs de Silicon Valley Bank ! Les actifs du Deep-State sont en train d’être détruits.

The Dailly Mail rapporte que : Silicon Valley Bank, société qui finance la moitié de la Silicon Valley, s’est effondrée. Elle était la 16e plus grande banque des États-Unis, détenant 210 milliards de dollars d’actifs. Début de contagion dans le reste du secteur bancaire ?

Les banques américaines vont tomber les unes après les autres, puis les banques européennes. Seul moyen de cacher cela au monde, une invasion d’extraterrestres, ou un 3e guerre mondiale. Si le système financier s’effondre, c’est l’État Profond et les mondialistes qui sont échec et mat. L’effondrement de la Silicon Valley Bank a semé la panique dans le secteur bancaire alors que les actions des principaux prêteurs du monde entier chutent après que la banque a commencé à se décharger d’actifs pour lever des fonds afin de couvrir les retraits des déposants.

Silicon Valley Bank : ce qu’il faut savoir sur cette faillite qui fait trembler Wall Street par Ouest France à lire ici.

Des images vidéo montrent des clients faisant la queue devant la Silicon Valley Bank à Menlo Park, en Californie, suite à l’effondrement de la banque.
La Tribune rapporte : L’annonce par Silicon Valley Bank (SVB), un établissement modeste spécialisé dans les startups, d’une prochaine augmentation de capital pour couvrir des pertes sur portefeuille, a suscité un vent de panique sur les marchés, particulièrement sur le secteur bancaire coté. La banque doit faire face à une baisse rapide de ses dépôts alors que les startups ont de plus en plus de mal à assurer leur trésorerie. Ces difficultés, conséquence directe de la hausse des taux, interviennent alors que la « banque des cryptos » Silvergate vient d’annoncer sa liquidation.

Silicon Valley Bank affiche un résultat net de 1,5 milliard de dollars en 2022, soit une rentabilité sur fonds propres de 12%. (Crédits : Reuters)
Décidemment, rien ne va plus du côté de la Silicon Valley. Après l’explosion de la bulle Tech à l’automne 2021, la fuite les élites de San Francisco, voici « la banque » de l’écosystème, Silicon Valley Bank (SVB) qui se trouve au bord du précipice. Selon l’agence Reuters, SVB serait le partenaire bancaire de près de la moitié des startup américaines financées par capital-risque et qui ont été cotées en Bourse en 2022.
Aujourd’hui, la question est : qui va racheter cette banque de 6.500 salariés créée il y a 40 ans, peu connue du public, mais devenue ces dernières années le principal financeur du capital-risque en Californie et la banque préférée des startups ? Cette banque a notamment pleinement profité de la politique monétaire ultra-accommodante de la banque centrale américaine pendant la crise sanitaire en permettant à ses clients startups de lever à foison de l’argent gratuit. Du coup, le bilan de la banque a quasiment doublé en 2021 ! Mais la brusque remontée des taux d’intérêt a changé la donne.
Chute de 60 % du titre jeudi
Et c’est bien un vent de panique qui est en train d’emporter la banque. Le cours de l’action de la maison-mère, SVB Financial Group, a plongé de 60 % hier en Bourse jeudi et devrait baisser à nouveau de 50% ce vendredi, selon les premiers échanges de préouverture. Sur un an, la chute du titre est de 80%. Pire, l’effondrement en Bourse de cette « petite » banque a provoqué une baisse généralisée des valeurs bancaires aux Etats-Unis, qui s’est propagée aujourd’hui en Europe.
Que s’est-il donc passé ? La banque est confrontée à une crise de liquidités car ses clients de la Tech, en panne de levée de fonds depuis plus d’un an, commencent à retirer leurs dépôts. Conséquence : la banque doit céder ses actifs pour répondre aux demandes de retraits, actifs investis pour l’essentiel dans des bons du Trésor américain, en théorie sans risque. Sauf que les taux d’intérêt ont pris, sur le dix ans américain, 250 points de base depuis janvier 2022. Avec à la clé, une moins-value importante en cas de cession du titre avant sa date de remboursement.
Stay calm, don’t panic
C’est ce qui est arrivé à Silicon Valley Bank qui a dû vendre des titres, avec 1,8 milliard de dollars de pertes, sur son portefeuille obligataire, valorisé à 21 milliards de dollars. Pour renforcer ses ratios de solvabilité et de liquidité, la banque a présenté un plan de lever des fonds via une augmentation de capital de 1,75 milliard de dollars. Provoquant de facto l’effondrement du cours de l’action.
D’autant que la banque a publié son plan de renflouement au moment même que « la banque des cryptos » Silvergate venait d’annoncer sa mise en faillite. Le parallélisme est frappant entre l’éclatement de la bulle cryptos et celle la Tech, avec son lot de conséquences sur l’écosystème financier. De l’avis de la presse américaine, la communication de Silicon Valley Bank a été désastreuse et n’a fait que croitre l’inquiétude des clients et des sociétés de capital-investissement. Le message du PDG Greg Becker n’est pas rassurant : « stay calm and don’t panic ».
Les prochains jours risquent d’être décisifs, notamment pour enrayer la spirale baissière du titre qui risque d’échauder les investisseurs pressentis pour participer à l’augmentation de capital. Alors que les traders spéculatifs se ruent sur la bête, que les clients cherchent une porte de sortie, un chevalier blanc est attendu comme le messie.
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