USA : La porte-parole de la Maison-Blanche disjoncte littéralement quand on veut l’interroger sur les origines de la Covid, il semblerait que les journalistes en aient assez de ses mensonges.


La porte-parole de la Maison-Blanche disjoncte littéralement quand on veut l’interroger sur les origines de la Covid, il semblerait que les journalistes en aient assez de ses mensonges.

Publié le 23.11.2022


La nouvelle menteuse officielle, Karine Jean-Pierre pour l’administration Biden (remplaçante de Jen Psaki), n’arrive plus à tenir face aux journalistes et aux juges qui en ont marre aussi.

Le Monde le 6.5.2022 : “C’est la première fois que ce poste très exposé est attribué à une femme noire et ouvertement lesbienne. Elle prendra ses fonctions le 13 mai, en remplacement de Jen Psaki.”

Un juge vient de mettre fin à la tentative de Jen Psaki (ex porte-parole de la Maison-Blanche) d’éviter sa déposition dans le cadre d’un procès visant à révéler la collusion du gouvernement avec les grandes entreprises technologiques en violation du premier amendement. Psaki doit faire sa déposition le 8 décembre.

AVERTISSEMENT DE WASHINGTON A LA JUNTE DE KIEV

La porte-parole de la Maison Blanche pour les crimes de guerre, Beth Van Schaak, a déclaré que les États-Unis étudiaient attentivement les rapports sur l’exécution de prisonniers russes en Ukraine.

« Il est important de souligner que les règles de la guerre sont les mêmes pour toutes les parties. Et tout le monde devrait comprendre les conséquences s’ils sont violés » a-t-elle déclaré.

Alors, oui, c’est de la pure hypocrisie, et peut-être même qu’elle veut faire porter le chapeau de ces crimes commis par de la soldatesques yankee sur les ukrops. Et ce n’est pas difficile puisqu’ils en sont coutumiers. Mais c’est aussi le DEUXIÈME AVERTISSEMENT PUBLIC de Washington à la Junte de Kiev. Le premier étant le soi-disant missile russe en Pologne. Un signe supplémentaire que Yankeeland veut que ce conflit reste dans le cadre qu’IL a défini et non selon les souhaits de la mafia de Kiev qui doit se tenir au garde-à-vous.


Pour rappel, D.Trump annonçait être candidat pour 2024 : Réponse de Psaki, «Pas d’impact sur l’enquête en cours» sur l’assaut du Capitole, prévient l’État profond

«Pour tous ceux qui ont besoin d’entendre cela, Trump annonçant sa candidature n’a pas d’impact juridique sur les enquêtes», a prévenu Jen Psaki, ex-porte-parole de la Maison-Blanche.

« Personne au Département de la Justice n’a regardé son discours et encore moins déchiré tout le travail accompli jusque-là », a-t-elle ajouté.

L’État profond tente de neutraliser Trump, présenté comme l’instigateur de l’attaque du Capitole, le 6 janvier 2022.

Or, des indices pointent vers une opération sous faux drapeau menés par le camp adverse.

L’enjeu du 6 janvier pour l’État profond a d’abord été de verrouiller l’appareil d’État.

Une vidéo démontre comment Nancy Pelosi a alors pris le contrôle de la Garde nationale, avec la complicité de Chris Miller, alors secrétaire d’État à la Défense (de Trump).

«Je vais frapper Trump, je n’attends que ça» : Pelosi à la manœuvre du coup d’État du Capitole, en vidéo

«Nous exigeons des réponses sur le crime du siècle», a déclaré Trump, alors qu’il a été assigné le 13 octobre à comparaître devant le Comité d’enquête «du 6 janvier 2021» sur l’«assaut» du Capitole… à trois semaines des élections.

Trump a fait savoir qu’il « adorait l’idée de témoigner » devant le comité : il « parlerait de la corruption de l’élection [de novembre 2020], de la corruption du Comité et de la façon dont Nancy Pelosi n’a pas appelé la Garde nationale pour Trump, mais pour elle.

L’enjeu du 6 janvier semble avoir été notamment de prendre le commandement de la Garde nationale : une nouvelle vidéo démontre comment Pelosi en a pris le contrôle tout en le refusant à Trump, avec la complicité de Chris Miller, alors secrétaire d’État à la Défense (de Trump).

En clair : un coup d’État.