WEF : Rappel pour ceux qui cherchent à savoir qui est R. Erdoğan dans ce milieu du WEF.

Juste pour mieux comprendre et voir clair, car sous vos yeux, les 3 O traversé = 666

Rappel pour ceux qui cherchent à savoir qui est R. Erdoğan dans ce milieu du WEF.

Publié le 16.11.2022

Il y a 7 ans déjà : Erdoğan défendant la cause palestinienne face à Shimon Peres, ancien premier ministre de l’état d’Israël, vous êtes stupéfait d’entendre Erdogan tenir un discours aussi vrai et direct ?, c’est normal, les médias mainstream vous aiguille dans l’autre direction et ne vous montrera jamais ces vidéos, voilà, vous avez compris maintenant.

Hypothèse–La CIA dépêchée en Turquie a vraiment été la bas pour «négocier» avec la Russie… ou pour calmer Erdogan ?

Biden et le président turc Erdogan en pleine conversation lors de la rencontre entre les deux dirigeants, tandis que le ministre russe des Affaires étrangères Lavrov rencontre le secrétaire général de l’ONU Guterres lors de la première journée du sommet du G20.

Biden et Erdoğan s’entretiennent (C’est un grand mot, plutôt se défie) au G20, un discours rempli de vide, creux, rien, voyez dont Erdogan comme il le regarde ? (N’oubliez pas qu’un attentat a eu lieu à Istanbul en Turquie il y a quelques jours, et que la main d’Israël et les sionistes américains sont soupçonnés de l’avoir commandité via leurs groupes terroristes habituels).

Selon le média russe Kommersant, des pourparlers ont eu lieu à Ankara entre la CIA et Service de renseignement extérieur (SVR) russe.

Le Kremlin a confirmé, tandis que la Maison Blanche n’a pas nié les pourparlers. Sa porte-parole, Karine Jean-Pierre, a déclaré les contacts n’étaient consacrés qu’à la «réduction des risques» et du «maintien de canaux de communication».

Parmi des déclarations contradictoires de l’État profond US, appelant tout à la fois à la négociation et à la poursuite de la guerre, Biden a tout de même réaffirmé qu’il n’y aurait pas de négociations avec la Russie sans l’Ukraine.

Et Zelinsky s’est fendu d’un discours martial par visioconférence au G20, réaffirmant qu’aucune négociation n’était possible avec la Russie, sans retrait total de celle-ci.

Washington n’a aucun intérêt à mettre fin à la guerre, alors que l’Empire en profite pour occuper militairement l’Europe et affaiblir son potentiel économique.

Mais après l’attentat d’Istanbul et le coup de colère d’Erdogan, le directeur de la CIA Bill Burns a peut-être eu une autre mission en Turquie.

Erdogan a en effet tout de suite pointé la responsabilité du PKK kurde dans l’attentat d’Istanbul le 13 novembre. Autant dire : les États-Unis.

Après la tentative de coup d’État occidental en Turquie de 2016, le prédicateur Fethullah Gulen, agent de la CIA, s’était réfugié aux États-Unis, déclenchant l’ire d’Ankara.

Washington ne peut se permettre de perdre complètement la Turquie, membre historique de l’OTAN, mais de plus en plus attirée par le nouvel ordre mondial multipolaire.

Ce matin encore, les autorités turques ont déclaré que la Syrienne liée au PKK qui avait laissé une bombe sur un banc de la rue Istiklal à Istanbul avait été formée par des instructeurs américains.
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