Le Capitaine Alexandre Juving-Brunet nous expliquait que : « L’armée est infiltrée »


Alexandre Juving-Brunet : « L’armée est infiltrée »

Alexandre Juving-Brunet, capitaine de gendarmerie de réservé est l’invité de Nicolas Vidal pour évoquer sa tribune décapante concernant de possibles infiltrations dans l’armée et de ses craintes sur le séparatisme en France.

Publié le 18.5.2021 par Putsch Media




« Notre armée est infiltrée », la tribune décapante d’un capitaine de gendarmerie en réserve – La culture du débat – Putsch

Publié le 12.5.2021 par Putsch

« Notre armée est infiltrée », la tribune décapante d’un capitaine de gendarmerie en réserve

Tribune du Capitaine de gendarmerie (r) Alexandre JUVING-BRUNET, Promotion Saint-Cyr Général de Galbert 2002-2005, Ex-Officier de liaison détaché au DPSD (=DRSD).

1991, Toulon. « Je n’irai pas combattre mes frères, c’est une terre d’Islam ». Voici la réponse d’un matelot à son supérieur en 1991 lors de l’appareillage du porte-avions Foch pour le théâtre irakien dans le cadre de l’opération DAGUET. Ce propos m’a été rapporté par une « mémoire » du renseignement qui occupait d’autres fonctions, alors que j’étais en 2011 officier de liaison de la gendarmerie à la Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD) pour la zone Sud, devenue DRSD depuis. 20 ans entre ces deux dates, une génération de plus.

Tous ceux qui croient que l’islamisation de notre pays et de nos Armées est une fiction se leurrent, comme tous ceux qui la couvrent et font semblant de ne pas la voir alors que leurs responsabilités leur commandent de la dénoncer et de la combattre sont coupables de trahison envers les intérêts fondamentaux de la Nation française.

« Tous ceux qui croient que l’islamisation de notre pays et de nos Armées est une fiction se leurrent »

2007, Valdahon. Blême, le commandant d’une compagnie de génie combat au 13e Régiment du Génie me dévisage alors que jeune lieutenant en brigade de gendarmerie, le procureur m’avait autorisé à perquisitionner les chambrés d’un soldat, présumé coupable dans une rixe en boîte de nuit la veille au soir, après qu’il avait commis un homicide involontaire. La scélérate Loi Guigou interdisait depuis 1998 aux chefs de corps et autres commandants d’unités de procéder aux vérifications personnelles élémentaires et notamment à l’ouverture et l’ « inspection » des affaires personnelles au nom de l’Etat de Droit. Le ver s’instilla dans le fruit. Résultat dix ans plus tard, on se retrouve nez-à-nez ce jour-là avec un portrait …Lire la suite ici