La Cour suprême décide que les filiales étrangères de l’Open Society financée par SOROS ne jouissent d’aucun droit de premier amendement, ni d’aucun droit constitutionnel.
Publié le 30 juin 2020
La Cour Suprême des Etats-Unis a examiné le condensé « OPEN SOCIETY » de Soros.
Depuis Octobre 2019, les juges se sont donc penchés sur toutes les filiales de Soros pour savoir si elles respectaient la Constitution des Etats-Unis dont le premier amendement dans lequel SOROS les avaient incluses.
Le verdict est tombé hier, lundi 29 juin 2020 :
Ils affirment que « parce que la déclaration de politique générale d’une filiale étrangère peut leur être attribuée, les organisations américaines elles-mêmes possèdent un droit de premier amendement contre l’imposition de l’exigence de politique générale à leurs filiales étrangères ».
La Cour conclut aujourd’hui que les filiales étrangères des défendeurs « n’ont pas le droit, en vertu du premier amendement, de ne pas tenir compte l’exigence de la politique ». Ante, à 9. Les répondants n’ont jamais argumenté autrement. Au contraire, tout au long de ce litige ils ont fait valoir leur propre droit au premier amendement de dire ce qu’ils pensent, plutôt que le message du gouvernement. Ici, les personnes interrogées réclament la protection du premier amendement lorsque ils s’expriment par l’intermédiaire de filiales étrangères pour s’adresser à des publics à l’étranger. En refusant cette protection aux personnes interrogées, je crains que la décision de la Cour entravera sérieusement les innombrables locuteurs américains qui communiquent à l’étranger de manière similaire. Cela affaiblit le marché des idées à un moment où la valeur de ce marché pour les Américains, et pour les autres, s’étend bien au-delà de nos rivages. Sauf votre respect, je ne suis pas d’accord.
Décision de la Cour Suprême : https://t.co/JDtT7FIZAP?amp=1
William Barr fait vraiment DU BON BOULOT.
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