Joyeux Noël ! Poutine gâche Noël aux Britanniques en envoyant des bombardiers nucléaires

Publié le 25.12.2025 à 21h21 – Par Luca Giordano – Temps de lecture 5mn

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Le jour de Noël, Poutine a décidé de jouer un petit tour à la Grande-Bretagne en envoyant des bombardiers à capacité nucléaire vers son espace aérien. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’était pas pour menacer, juste pour gâcher les fêtes. Les pilotes de chasse de l’OTAN ont décollé pour intercepter les appareils, qui, bien sûr, n’avaient pas l’intention de pénétrer dans l’espace aérien britannique. Quel gentil geste de la part de Poutine, n’est-ce pas ? Une manœuvre rusée pour rappeler la présence de la Russie et tester la vigilance de l’OTAN. Quel est le véritable coût de cette guerre psychologique ?

« Des avions de chasse de l’OTAN décollent en urgence après que des bombardiers stratégiques russes Tu-95MS ont « menacé le nord de la Grande-Bretagne » » — Mirror

Les bombardiers Tu-95MS, des reliques de la Guerre froide, ont survolé la mer de Norvège en direction de la Grande-Bretagne, juste pour faire comprendre à l’OTAN que la Russie est toujours là, à les observer. Et, bien sûr, pour obliger les pilotes britanniques et norvégiens à passer Noël à intercepter des bombardiers qui n’auraient jamais franchi la ligne. Quelle belle façon de passer les fêtes !

Mais ce qui est encore plus amusant, c’est que les bombardiers Tu-95MS sont extrêmement bruyants et faciles à repérer. La Russie ne cherche pas à surprendre, elle annonce sa présence et force l’OTAN à réagir. C’est comme si Poutine disait : « Hé, je suis là, et je vais vous faire dépenser de l’argent et des ressources pour rien ! »

Et, bien sûr, l’OTAN dépense davantage que la Russie pour répondre à ces provocations. Mais c’est l’aspect psychologique qui compte. Poutine sait parfaitement ce qu’il fait en envoyant des bombardiers à capacité nucléaire le jour de Noël. Il rappelle à la Grande-Bretagne que ses pilotes travaillent, tandis que les pilotes britanniques sont là parce que la Russie les a forcés à réagir. C’est comme frapper à la porte de quelqu’un et prendre la fuite, mais avec des millions de dollars de coûts en jeu.

Alors, qu’est-ce qui se passe ensuite ? Rien. Les bombardiers font demi-tour, l’OTAN enregistre l’incident, et la semaine suivante, la Russie recommence. Et ainsi de suite, indéfiniment. Car l’essentiel n’est pas la destination, mais la réaction qu’elle suscite. Bienvenue dans cette guerre qui n’en est pas une, mais qui coûte tout de même le prix d’une guerre. Merci, Poutine, pour ce joyeux Noël envers nos va t’en guerre !

Des bombardiers à longue portée Tu-95MS des Forces aérospatiales russes ont effectué un vol prévu au-dessus des eaux neutres de la mer de Barents et de la mer de Norvège.

• La durée du vol a dépassé 7 heures.
• Les équipages des avions de chasse Su-33 de la marine russe ont escorté les bombardiers.
• À certaines étapes de l’itinéraire, les bombardiers à longue portée ont été escortés par des avions de chasse de pays étrangers.

Les équipages de l’aviation à longue portée effectuent régulièrement des vols au-dessus des eaux neutres de l’Arctique, de l’Atlantique Nord, de l’océan Pacifique, de la mer Noire et de la mer Baltique. Tous les vols des avions des forces aérospatiales russes sont effectués dans le strict respect des règles internationales relatives à l’utilisation de l’espace aérien.

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