Europe : L’UE veut donner des leçons référendaires à la Russie, mais semble oublier que ses propres référendums sont complètement bidons, un florilège, souvenez-vous !


L’UE veut donner des leçons référendaires à la Russie, mais semble oublier que ses propres référendums sont complètement bidons, un florilège, souvenez-vous !

Publié le 30.9.2022


L’UE et L’OTAN ne reconnaissent pas le référendum russe sur les régions ukrainiennes du Donbass, pire, ils les notent comme faussés, voire mascarade ou même non reconnus par les nazis ! Mais connaissez-vous le nombre incalculable de faux référendum absolument biaisé, truqué, manipulé qu’ils ont eux-mêmes abusé sur les peuples du Monde, écoutez ci-dessous un petit florilège de ceux-ci.

Bien dit monsieur ! Les populations du Donbass vous remercient ! Qui cautionne Maïdan ne peut rejeter ces référendums logique …

Et sans remonter trop loin dans le temps, souvenez-vous aussi du magnifique Eh oui… Le référendum français au nom de Maastricht en est un bel exemple organisé par le traité de Lisbonne complètement balayer par N. Sarkozy le Talmudique aussi à l’époque,

Plus exactement, le référendum de 2005 a été contourné, car le tce et a été abandonné au profit des traités de Lisbonne reprenant le contenu du tce, ratifié par la procédure du Congrès, sans le peuple français.

Ursula opposée au cessez-le-feu en Ukraine :

 »les personnes qui sont sous les bombes vont être vraiment satisfaites des propos de la fausse présidente de la commission européenne.

Nous adorons quand on parle d’atteinte à la démocratie, nous avons connu une grande atteinte à la démocratie en France !

Le 29 mai 2005, 55 % des Français ont voté contre le traité de la constitution européenne et on a piétiné leur vote avec le traité Lisbonne en 2008… N. Sarkozy, F. Hollande…

Là, nous n’avons pas entendu la commission européenne s’opposer à cette atteinte gravissime à la démocratie.

Les dirigeants de la Pologne et de la Hongrie… on aime ou on n’aime pas, mais ils ont été réélus démocratiquement… Elle, qui n’a jamais été élue par personne… Si avec ça les gens ne deviennent pas eurosceptiques, c’est à désespérer…  »

Regardez le vote du Conseil de sécurité de l’ONU sur les référendums d’annexion en Ukraine. La Chine, le Brésil, l’Inde et le Gabon se sont abstenus. La Russie contre et tous les autres remettent en cause les référendums. L’abstention du Brésil est intéressante. Itamaraty continue de commander.

Écouter bien cela aussi par ce dingue Talmudiste d’Atali, avec 30 ans de Maastricht: «Une oligarchie sans mandat» conduira l’Europe «au bord de graves difficultés» – Seguin, 1992

«Toute une oligarchie d’experts, de juges, de fonctionnaires, de gouvernants prend au nom des peuples, sans en avoir reçu mandat, des décisions dont une formidable conspiration du silence dissimule les enjeux», prévient en 1992 Philippe Seguin, chef de file gaulliste du «non» au référendum de Maastricht.

«Craignons alors que […] les nationalismes ne conduisent l’Europe au bord de graves difficultés»

Le 20 septembre 1992, la France, encore une puissance de premier plan, ratifiait le traité, après une campagne de propagande massive.

En 2007, Sarkozy annonce la réintégration de la France dans l’OTAN… à la tribune du Congrès des États-Unis et signe dans la foulée le traité de Lisbonne.

2022 : Von der Leyen (La hyène) profite de la Covid et de la guerre pour finir d’installer l’imperium de l’UE.

Justement à ce sujet :

Union européenne Exigeons un référendum !

D’ailleurs, sur le même sujet, la Russie a utilisé un droit de veto au Conseil de sécurité de l’ONU sur un projet de résolution américain condamnant les référendums.

Maintenant imaginons la réaction des USA si la Russie avait placé des missiles à Cuba ou en Alaska en 2022 ??

Ce que nous avons bien retenue une nouvelle fois, c’est que le Président V. Poutine alerte le monde sur l’occident satanique ! Ces mots ne sont pas innocents.


Mais aussi, sans penser référendum, où sont les grands débats publics sur la fermeture de Fessenheim, l’interdiction des moteurs thermiques, la participation française à la guerre en Ukraine ?

Contrepoints nous rapporte et nous rappel aussi : Pourquoi le débat politique est devenu aussi stupide. Le cancer bureaucratique avance, et prive les citoyens de leur capacité politique.

Une micropolémique idiote en chasse une autre. Un jour, ce sont les propos grotesques de Sandrine Rousseau qui agitent médias et réseaux sociaux. Un autre, le col roulé de Bruno Le Maire, ou encore le match de foot entre élus RN et LFI (qui ne se fera pas).

Chaque fois, des propos anecdotiques, des postures savamment entretenues et montées en épingle par des éditorialistes et des influenceurs complaisants. Pain bénit pour les médias subventionnés, ces faits divers politiques permettent de remplir le vide médiatique et d’alimenter l’agitation permanente.

Réformer par la menace

Pendant ce temps-là, Emmanuel Macron cherche à passer en force sa réforme des retraites. Un peu comme d’habitude. Ce jeudi, Olivier Dussopt indiquait sur LCI que si les oppositions s’entendaient pour poser une motion de censure en réponse à cette réforme particulière, alors le président de la République n’hésiterait pas à dissoudre l’Assemblée nationale. Incapable de négocier, mal élue, la majorité présidentielle n’a d’autre choix que de montrer les dents pour réformer.

La « méthode » Macron n’étonne personne, parce qu’elle est identique à celle employée au moment de la crise des Gilets jaunes, de la crise sanitaire ou encore de la transition énergétique ou la crise en Ukraine : d’un côté, le vrai débat politique est confisqué par des bureaucrates qui n’estiment pas avoir de compte à rendre aux élus et aux citoyens, de l’autre, le débat politico-médiatique se contente de ressasser en boucle des anecdotes et des éléments de comm’ des partis et de l’exécutif pour amuser une galerie apathique, voire infantilisée.

On invente des comités Théodule sur le climat ou de type CNR pour contourner les institutions ordinaires du gouvernement représentatif, et on continue à implémenter en parallèle des politiques publiques coûteuses, inefficaces et sans véritable légitimité hors bureaucratosphère.

Qui décide pour qui ?

Petit à petit, la bureaucratie s’approprie tous les grands débats politiques qui devraient être collectivement débattus par l’intercession des organes élus : écologie, santé, retraites, guerre en Ukraine. Qui a été consulté sur le sujet ? Où sont les grands débats publics sur la fermeture de Fessenheim, l’interdiction des moteurs thermiques, la participation française à la guerre en Ukraine ?

Quelle que soit la réponse aux questions posées, ce n’est pas le citoyen qui est consulté. Ce ne sont pas les individus qui décident, mais bien la technostructure, assise sur une expertise qui se révèle régulièrement discutable, et même potentiellement catastrophique, comme c’est le cas en matière énergétique, et peut-être bientôt alimentaire. L’effet visible de cette confiscation du Politique, c’est la trivialisation à l’extrême du débat public. L’arène politico-médiatique devient une sorte d’arrière-cour crépusculaire où voisinent des images instagram de Bruno Le Maire ou les vidéos TikTok du président de la République.

La bureaucratie ne participe pas à la conversation civile avec le reste des citoyens parce qu’elle s’estime au-dessus de ça. Elle ne distingue pas entre gouvernants et gouvernés comme en démocratie libérale, mais entre direction et exécutants, comme si le pays était une gigantesque administration dans laquelle tout le monde a vocation à se soumettre à sa tutelle bienveillante. Sans discussion possible. Pourquoi discuter avec la vile multitude quand on est certain d’incarner le parti de la Raison, de la Science et de la Modération ?

Si les sujets importants sont du ressort des bureaucrates, que reste-t-il aux citoyens ordinaires ? Peu de choses, mais sans doute beaucoup de frustration, cette frustration qui alimente le populisme partout en Europe, de la Suède à l’Italie. À l’illibéralisme bureaucratique répond l’illibéralisme national-populiste.


🤡🤡🤡🤡🤡 Le Conseil de l’Europe a condamné l’adhésion des régions LDNR, Kherson et Zaporozhye à la Russie.

L’organisation a qualifié les référendums passés d’annexion forcée. Selon le Conseil, la Russie « en tant que pays occupant » devrait être tenue responsable du respect des droits dans les territoires annexés, ainsi qu’en Crimée.

Le Conseil a exigé « une désescalade immédiate de la situation et un retour aux principes du droit international ». L’organisation a assuré qu’elle continuerait à soutenir l’Ukraine, à protéger son indépendance et sa souveraineté. « Nous appelons une fois de plus à la fin immédiate du conflit et au retour de la paix en Europe », indique le communiqué.

Avec la reconnaissance puis l’intégration et l’indépendance de Zaporijia et de Kherson par V. Poutine il obtient 15 % du territoire de l’Ukraine

Rien qu’à Lougansk, la Russie obtient cinq mines de charbon des sociétés Lisichansk Ugol Mining and Chemical Combine, la raffinerie de pétrole Lyssytchansk, la mine Matrosskaya, l’usine de caoutchouc, dans les autres régions les centrales nucléaires, les barrages hydroélectriques, les ports d’Azov, Marioupol et bien d’autres. Pour faire plus clair, la Russie a pris le contrôle de la terre qui produit 60-70 % du PIB de l’Ukraine.