USA : Regardez : Biden dit qu’on lui a donné une « liste » de journalistes pré-approuvés à appeler.


Regardez : Biden dit qu’on lui a donné une « liste » de journalistes pré-approuvés à appeler.

Publié le 14.7.2022


Lors d’une conférence de presse en Israël, Joe Biden admet qu’on lui a remis une liste de journalistes pré-approuvés auxquels il devait faire appel… et il ignore tous ceux qui ne figurent pas sur la liste.

Lors de l’une de ses très rares conférences de presse, cette fois en Israël, Joe Biden révèle que son équipe lui a remis une liste de journalistes pré-approuvés auxquels il devait faire appel.

« M. le Président, vous voulez faire appel à la prochaine question ? »

Joe Biden : « Umm, bien sûr. On m’a donné une liste, ici. Euh… Steve Holland de Reuters. »

Tendance : Europe : Boris Johnson et Mario Draghi qui démissionnent… les médias qui admettent la désapprobation générale à l’égard de Macron et relaient avec zèle l’affaire Uber que ce passe t-il ?

Notoirement incompétent, reclus et enclin à la gaffe, le personnel de Joe Biden a apparemment décidé de limiter les dégâts de manière préventive. En limitant les questions aux seuls journalistes pré-approuvés, ils évitent à Joe Biden d’avoir à répondre à des questions pressantes ou difficiles, mais cela se fait au détriment de la presse libre.

En demandant à Joe Biden de ne s’adresser qu’à des journalistes « soft-ball », les droits du peuple à obtenir des réponses et les droits de la presse à les poser sont bafoués.

Joe Biden a donné très peu d’interviews et de conférences de presse depuis son entrée en fonction. Les personnes qu’il a choisies comme attachées de presse à la Maison-Blanche ont joué la carte de la défense pour lui, en niant et en déformant tout, tout en mentant à tout bout de champ.

Quant à Biden lui-même, ses conseillers ont décidé qui était autorisé à lui poser des questions. Nous ne le verrons donc jamais répondre à des questions sur les dommages qu’il a causés à ce pays.

Cependant, admettre qu’il a une liste devant le monde entier est aussi extraordinairement embarrassant pour les États-Unis.

C’est l’homme aux « 81 millions de votes ».