Israël : Neturei Karta, des Ultra-orthodoxes antisionistes. Beaucoup de questions que nous nous posons, afin de mieux comprendre, voici une série de vidéos.


Qui est le père du sionisme?

Qui a créé le mouvement sioniste?
Quelle est l’origine du sionisme?
Comment s’explique la naissance du mouvement sioniste?

Beaucoup de questions que nous nous posons, afin de mieux comprendre, voici une série de vidéos ci-dessous qui nous explique vraiment beaucoup de choses sur le sujet, la première est criante de vérités à regarder et lire ce que ce Rabin Juif nous explique qui respecte sa religion, écouter : « Les vrais Juifs ne voulaient pas d’Israël, les vrais Juifs ne veulent pas des sionistes… » Tiens très intéressant !


Sai Englert, militant et universitaire, plaide contre l’amalgame entre antisionisme et antisémitisme.

L’antisémitisme n’est pas la même chose que l’antisionisme. Voici deux termes différents qui sont régulièrement utilisés de façon interchangeable dans les débats actuels, de sorte que vous pourriez être surpris d’apprendre qu’ils signifient des choses complètement différentes.

Récemment, Marc Lamont Hill, militant, universitaire et journaliste états-unien, a été licencié de CNN pour avoir lancé un appel à l’ONU en faveur d’une Palestine libre du fleuve à la mer. Plus tard, d’autres ont aussi réclamé qu’on lui retire son poste d’enseignant. La raison avancée était que l’appel de Lamont Hill était antisémite.

« Alors que la déclaration universelle des droits de l’homme affirme que tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits, l’État-nation israélien continue de restreindre la liberté et de miner l’égalité des citoyens palestiniens d’Israël ainsi que ceux de Cisjordanie et de Gaza. »

L’antisionisme en revanche est une idéologie politique, qui comme son nom l’indique est opposée au sionisme. Le sionisme est un mouvement politique né à la fin du 19ième siècle, avançant que la seule façon pour les juifs d’échapper à l’antisémitisme européen était de former leur propre état. Cet état, ils l’ont bâti en Palestine, et malgré une opposition interne minoritaire, ils l’ont fait aux dépens de ceux qui vivaient déjà dans le pays : les Palestiniens. La création d’Israël, fruit des efforts du mouvement sioniste, eut lieu en 1948 avec en toile de fond l’expulsion de plus de 700 000 Palestiniens et la destruction d’au moins 400 villages. Ces injustices se poursuivent aujourd’hui : l’expansion des colonies en Cisjordanie, le blocus meurtrier de Gaza, ou les plus de 60 lois qui ciblent spécifiquement les citoyens palestiniens d’Israël sont toujours en vigueur et appliqués au nom du sionisme. La suite ici



Les paroles de D. Trump sont plus simples que ce que le Rabin nous a expliqué dans sa très belle explication du sionisme, mais lisez bien ce que D. Trump dit ci-dessous : « Nous allons Transférer l’ambassade américaine à la capitale éternelle des Juifs à Jérusalem », il ne dit pas à la capitale des Israéliens ou de l’état d’Israël à Jérusalem, il parle bien des Juifs !! Pour nous, D. Trump défend bien le peuple Juif et non les sionistes, l’amalgame fait avec le mot capital est pour nous sa volonté de dire que Jérusalem est juive aussi, depuis toujours et non Israélienne. Conclusion : D. Trump est antisioniste.




Neturei karta : juifs ultra-orthodoxes et militants

Définition « Goyim »

  1. Un païen (dans la Bible et pour les premiers chrétiens).
  2. Étranger au culte israélite. Plus généralement, non Juif.
  3. Le terme de goy ou goï apparaît dans la Torah afin de désigner une « nation » pourvue d’institutions et d’un territoire, par opposition au « peuple », qui qualifie plutôt un groupe de personnes ayant des origines communes. Wikipédia



Un rabin en Israël refuse la vaccination et donne 31 raisons pour surtout ne pas être vacciné.

À bon entendeur.


Theodor Herzl, père du sionisme

Publié le 08.10.2010 par Lisa Romeo

Theodor Herzl est considéré comme le père du sionisme politique. C’est lui qui favorise réellement le développement du courant nationaliste juif à la fin du XIXe siècle. Né en 1860 dans une riche famille juive de Budapest, Herzl semble pourtant peu destiné à devenir le leader du mouvement sionisme. Il représente, en effet, l’exemple même du « juif assimilé ». Sa famille est libérale et peu attachée aux traditions du judaïsme. A dix huit ans, il quitte Budapest pour suivre des études de droit à Vienne mais délaisse rapidement sa carrière de juriste pour se consacrer à la littérature et au journalisme.

Herzl et la question juive

Theodor Herzl, comme une grande majorité de Juifs, est confronté à l’antisémitisme et au problème de l’intégration du peuple juif dans les sociétés européennes de la fin du XIXe siècle. Entre 1881 et 1883, membre de l’association étudiante « Albia », il découvre un certain nombre d’auteurs antisémites tels qu’Eugen Duehring (1833-1921). Devant l’importance des discours anti-juifs, il décide de quitter l’association et s’interroge alors sur d’éventuelles solutions pour combattre cet antisémitisme. Tout au long de sa jeunesse, il est convaincu, comme de nombreux penseurs juifs d’Europe occidentale, que l’assimilation des Juifs dans leur pays d’accueil reste possible et doit se faire de manière progressive. Pour lui, les idéaux de la Révolution française, qui affirme l’égalité des droits de tous les citoyens, triompheront très prochainement et la vague antisémite qui touche le monde européen ne peut être que passagère. Toujours dans cette volonté d’intégration, il envisage même la conversion des juifs au christianisme. Herzl est alors loin d’adhérer aux thèses sionistes et considère l’idée d’un retour en Palestine, terre ancestrale du peuple juif, comme un mythe ridicule.

Le choc de l’affaire Dreyfus en France

C’est véritablement en France que sa vision se transforme catégoriquement. A partir de 1891, Herzl est envoyé à Paris comme correspondant pour le quotidien libéral viennois Neue Freie Presse. Il est chargé de couvrir l’affaire Dreyfus qui bouleverse la société française fin 1894. Le capitaine Dreyfus, juif « assimilé » d’origine alsacienne, est accusé à tord d’espionnage pour le compte de l’Allemagne et est démis de ses fonctions. L’ampleur des campagnes antijuives qui suivent l’affaire le choque profondément et lui font alors prendre conscience que même dans un pays comme la France, qui a été la première à proclamer l’égalité des Juifs, l’assimilation semble irréalisable. Il est alors clair pour Herzl qu’en fin de compte un Juif sera toujours considéré comme un étranger. L’unique solution aux problèmes d’émancipation du peuple juif et de l’antisémitisme est la création d’un état indépendant. En 1896, il publie un ouvrage d’une centaine de pages rassemblant ses idées : L’Etat Juif (Der Judenstaat), puis il publie Altneuland. Herzl devient alors contre toute attente un des principaux leaders sionistes de la fin du XIXe siècle.

L’action de Herzl et le développement du sionisme

Une fois ses ouvrages publiés, Herzl se lance dans une intense activité politique pour mettre en place son projet. Il profite des nombreux contacts que lui apporte son métier de journaliste pour diffuser ses idées et trouver des fonds auprès des milieux financiers juifs. Ces derniers refusent cependant de lui apporter de l’aide, ne croyant pas en la création d’un Etat juif. Il poursuit malgré tout son action et organise, à Bâle, en Suisse, le premier Congrès sioniste mondial du 29 au 31 août 1897. Le congrès donne naissance à l’Organisation sioniste mondiale dont Herzl est élu président. Le but de l’Organisation est l’établissement d’un Etat juif en Palestine. Le mouvement se structure alors très rapidement. Herzl fonde la même année le journal Die Welt, son organe officiel. Il veut créer son mouvement sioniste à l’échelle internationale de façon à mobiliser l’ensemble de la communauté juive.

Le sionisme de Herzl n’a rien de messianique ou de biblique, c’est un sionisme clairement laïc. Il n’envisage pas non plus la langue biblique, l’hébreu, comme langue officielle du futur Etat. La création d’un Etat en Palestine répond pour lui uniquement à un souci de sécurité et d’émancipation du monde juif. On peut noter d’ailleurs, qu’il ne précise pas, dans un premier temps, le lieu du futur Etat juif. Herzl propose bien sûr la Palestine mais également l’Argentine ou l’Afrique orientale.

L’action diplomatique de Herzl

Pour Herzl, il est également inenvisageable de constituer un Etat juif sans obtenir au préalable une garantie et une reconnaissance internationale. Pour lui, l’immigration en Palestine doit absolument se faire de manière officielle. Il craint notamment qu’une infiltration illégale laisse les immigrés à la merci de toutes les répressions et expulsions. Pour mettre en place son projet en Palestine ottomane, il doit tout d’abord obtenir un accord de la Sublime Porte. Il rencontre finalement, après de nombreuses tentatives, le sultan ottoman Abdul Hamid II (1842-1918) en 1901 sans réussir à obtenir de ce dernier une quelconque concession. Il consacre alors le restant de sa vie à une action diplomatique auprès des différents souverains européens tels que l’empereur d’Allemagne Guillaume II, le roi d’Italie, le pape Pie X ou des ministres russes, cherchant à obtenir leur soutien sans grands résultats. Herzl se présente alors comme le représentant du peuple juif, même si l’adhésion aux thèses sionistes est alors loin de faire l’unanimité. Il essaye de faire comprendre l’intérêt que chacun peut trouver en apportant son soutien dans la mise en place d’un foyer national juif en Palestine. A partir de 1902, il concentre son action sur la Grande-Bretagne et réussit à obtenir du ministre britannique des Colonies, Joseph Chamberlain, la possibilité d’établir un foyer juif en Ouganda. Herzl considère alors qu’il vaut mieux un foyer en Ouganda que pas de foyer du tout. L’offre est toutefois majoritairement rejetée lors du VIe Congrès en août 1903 et définitivement oubliée après la mort du leader le 3 juillet 1904 en Autriche. Sa mort met également pour un temps de côté la priorité aux démarches diplomatiques chères à Herzl.

Mais si Herzl n’arrive pas à la fin de sa vie à obtenir l’accord international nécessaire à l’accomplissement de son rêve, il réussit à faire du sionisme un mouvement organisé et reconnu. Herzl écrit dans son Journal au lendemain du premier congrès de Bâle les propos suivant : « A Bâle, j’ai créé l’État juif. Si je disais cela aujourd’hui publiquement, un rire universel serait la réponse. Dans cinq ans peut-être, dans cinquante sûrement, tout le monde comprendra ». Theodor Herzl avait vu juste : cinquante ans et neuf mois plus tard, l’État juif d’Israël était créé. Il avait souhaité être un jour enterré dans l’État indépendant que le peuple juif aurait fondé en Palestine ; ses dépouilles sont transférées au mont Herzl dans le jeune État d’Israël le 17 août 1949.

Une autre explication ici, peut-être un peu plus pertinente tellement le sujet est important.

Source


Mais qu’est-ce que le sionisme ? Tribune d’Eric Gozlan – Opinion Internationale

A l’heure où tout le monde parle du sionisme, il est visible que beaucoup se trompent sur la signification de ce mot. Avraham B. Yehoshua, grand écrivain israélien, expliquait ce concept en 2012…

« Le terme de « sioniste » est fondamentalement simple, clair, facile à définir, à comprendre et à justifier. Cependant, au cours des vingt, trente dernières années, ce terme s’est transformé en une notion des plus confuses. La droite l’ajoute comme une sorte de crème Chantilly pour améliorer le goût de mets douteux, tandis que la gauche l’envisage avec crainte comme une sorte de mine susceptible d’exploser entre ses mains et qu’il convient de neutraliser avec toutes sortes d’ajouts bizarres, du genre « sionisme raisonnable » ou « sionisme humaniste ».

A l’étranger, dans les cercles critiques à l’égard d’Israël, le sionisme sert de poison à l’aide duquel chaque argument à l’encontre de l’Etat hébreu se voit aggravé. Pour certains critiques, la solution pour l’avenir de ce pays tient même dans la « désionisation » de son identité.

Pour les ennemis jurés d’Israël, sioniste est un vocable diabolique, un qualificatif péjoratif remplaçant parfois le mot « Israélien », parfois le mot « juif », parfois les deux. Les membres du Hamas parleront du « soldat sioniste prisonnier », et le Hezbollah et l’Iran se référeront à « l’entité sioniste criminelle » et non à Israël.

Dans ces conditions, il faut tenter de définir de façon réaliste le terme sioniste. Tout d’abord, il convient de se rappeler que ce terme est né à la fin du XIXe siècle. Cela n’a donc aucun sens de définir comme sioniste le poète Yéhouda Halévy, lui qui œuvrait au XIe siècle en Espagne, ou un juif quelconque immigré en terre d’Israël au cours des siècles passés.

Du coup, comment définir qui est sioniste depuis l’apparition du dit mouvement sioniste, inspiré de Theodor Herzl et de ses adeptes ? Voici une définition : un sioniste est un individu qui désire ou soutient la création d’un Etat juif en terre d’Israël qui serait, dans le futur, l’Etat du peuple juif. Selon les propos mêmes de Herzl : « A Bâle, j’ai fondé l’Etat des juifs. » Le mot-clé en l’occurrence est : « Etat ». Et, de manière naturelle, il s’agit de la terre d’Israël à cause de l’attachement historique du peuple juif à cette terre.

Mon trisaïeul, par exemple, venu de Salonique en terre d’Israël au milieu du XIXe siècle, ne peut donc être défini comme un sioniste. Il est venu s’y installer et non fonder un Etat. C’est le cas des aïeux des Nétouré Karta («les Gardiens de la cité») et d’autres groupes hassidiques arrivés au XVIIe siècle et au XVIIIe qui lui vouent la même fidélité, mais dont certains d’entre eux considéraient, et considèrent toujours, l’Etat d’Israël comme une abomination et un blasphème.

Herzl lui-même et nombre de dirigeants sionistes n’ont jamais immigré en terre d’Israël, sans que, pour autant, on ne puisse pas les qualifier de sionistes. Quiconque définit le sioniste comme celui qui a immigré en Israël déclare, en fait, qu’aucun sioniste ne se trouve hors de ce pays. Ce qui est faux. Et que dire de ceux qui sont nés en Israël ? Seraient-ils sionistes de naissance ?

Reste à savoir quel Etat désiraient ceux qui en soutenaient le projet ? Chaque sioniste affichait sa propre vision et son programme. Le sionisme n’est pas une idéologie. Si l’on retient comme définition de l’idéologie la conjonction systématique et unifiée d’idées, de conceptions, de principes et de mots d’ordre à l’aide desquels s’incarne une vision du monde d’un groupe, d’un parti ou d’une classe sociale, le sionisme ne peut sûrement pas être tenu pour une idéologie mais juste comme une très large plateforme de différentes idéologies, parfois même antagonistes.

Après la création de l’Etat d’Israël en 1948, la définition du sioniste s’est métamorphosée : un sioniste accepte le principe que l’Etat d’Israël n’appartient pas à ses citoyens mais au peuple juif tout entier, et l’expression obligatoire qui en découle est « la loi du retour ». Les affaires de l’Etat sont du ressort exclusif de ses citoyens – les détenteurs de la carte d’identité israélienne, dont 80% de juifs et 20% de Palestiniens Israéliens et d’autres.

Néanmoins, seul celui qui soutient la loi du retour est sioniste et celui qui la refuse ne l’est pas. Mais les juifs Israéliens qui rejettent la loi du retour et se qualifient de non-sionistes ou de post-sionistes (à droite comme à gauche) demeurent de bons citoyens loyaux de l’Etat d’Israël, avec leurs droits garantis.

Il en découle que toutes les grandes questions idéologiques, politiques, sécuritaires et sociales, sur lesquelles nous nous affrontons, nuit et jour, ne relèvent pas du sionisme. Elles appartiennent au même registre de querelles que d’autres peuples ont connues et connaissent encore. En outre, le mot sionisme n’est pas là pour se substituer à « patriotisme », « esprit pionnier », « humanisme » ou « amour de la patrie » que d’autres langues utilisent.

De même, il n’existe pas de rapport entre la surface de l’Etat et le sionisme. Si les Arabes avaient accepté le plan de partage de la Palestine en 1947, l’Etat d’Israël dans les frontières du partage n’aurait pas été moins sioniste que dans d’autres frontières. Si l’Etat hébreu avait conquis et annexé la Transjordanie et abrogé la loi du retour, il aurait cessé d’être sioniste, bien qu’il eût triplé ou quadruplé son territoire.

Concernant la loi du retour que d’aucuns considèrent comme discriminatoire à l’égard des citoyens palestiniens d’Israël, il convient de répondre que la loi du retour est la condition morale posée par les nations du monde à la création de l’Etat d’Israël. Le partage, en 1947, de la Palestine en un Etat juif et un Etat palestinien ne s’effectuait qu’à condition que l’Etat juif ne soit pas celui du petit établissement des 600 000 Israéliens qui y vivaient à cette époque, mais un Etat qui puisse résoudre la détresse de tous les juifs du monde et offrir à tous les juifs la possibilité d’y trouver un foyer. Serait-il moral que les centaines de milliers de juifs qui ont pu immigrer en Israël grâce à la loi du retour referment les portes à travers lesquelles ils ont pu y pénétrer ? En outre, il est vraisemblable que l’Etat palestinien, qui naîtra, je l’espère, rapidement et de nos jours, aura sa propre loi du retour. Cette loi revêtira une semblable valeur morale qui permettra à tout Palestinien exilé d’y revenir, et d’en recevoir la citoyenneté. Que ce soit en Israël ou dans l’Etat palestinien, cette loi ne contredit pas les lois d’immigration générale, comme partout dans le monde.

Libérer le terme sioniste de tous les appendices et autres ajouts superflus qui lui ont été accolés permettra non seulement d’éclaircir tous les différends idéologiques et politiques entre nous, évitant ainsi une mythification des controverses, mais obligera les critiques en dehors d’Israël à mieux préciser et à mieux focaliser leurs positions.

Eric Gozlan

Fondateur de Focus International consulting, spécialiste des dialogues inter-culturels, de l’Afrique du Moyen-Orient, auteur de tribunes et d’analyses dans les médias.

Source


Nous avons une questions sur ce sujet : « si le sionisme est le mouvement politique né à la fin du 19ième siècle, avançant que la seule façon pour les juifs d’échapper à l’antisémitisme européen était de former leur propre état. » B. Netanyahou a la tête du pays, pendant la mascarade covidiste et ses injections, a ordonné de vacciner au maximum tous les Israéliens ?? Lui pur sioniste donc pro israéliens quel est donc son plan pour vouloir génocider sa population ?? Si vous avez des réponses nous sommes preneur merci. Nous avons déjà une partie de la réponse dans la vidéo ci-dessus voir la photos ci-dessous


D’autres sources pour comprendre en complément de cet article :

« Pour mieux comprendre le sionisme » par Pierre Stambul

Un accord douteux entre le mouvement sioniste et l’Allemagne nazie