Le porte-parole de Biden au Pentagone admet que des » milliers » de prisonniers d’ISIS ont été libérés de la base aérienne de Bagram.
Publié le 27.8.2021
Hier, ISIS-K (une nouvelle appellation du même groupe terroriste islamique maléfique que le président Trump a décimé au cours de son unique mandat) a assumé la responsabilité des attentats-suicides perpétrés devant les murs de l’aéroport de Kaboul en Afghanistan. Les explosions ont coûté la vie à 11 marines américains et à un médecin de la marine, ainsi qu’à un nombre incalculable de personnes qui attendaient désespérément, autour du périmètre de l’aéroport, d’être évacuées de ce pays chaotique contrôlé par les talibans.
L’ISIS REVENDIQUE LES ATTAQUES DE KABOUL
Jusqu’à présent, presque tous les aspects de l’évacuation ont été bâclés par la planification et l’exécution totalement inadéquates de notre sortie d’Afghanistan par le régime Biden.
Une journaliste a demandé au secrétaire de presse du Pentagone, John Kirby, combien de prisonniers d’ISIS-K avaient été laissés et libérés sur la base aérienne de Bagram en Afghanistan ? La base aérienne de Bagram, la plus grande base aérienne américaine en Afghanistan, a été désertée sous la direction de notre commandant en chef, laissant des milliards de dollars d’équipement militaire aux mains de terroristes qui détestent l’Amérique. En outre, deux prisons remplies de prisonniers ISIS capturés par nos courageuses troupes américaines avec l’aide de nos militaires afghans et de nos alliés afghans ont également été laissées comme cadeau d’adieu aux terroristes talibans.
Au lieu d’être laissés derrière pour être libérés, le journaliste a demandé à Kirby pourquoi les prisonniers n’ont pas été emmenés à la prison de Gitmo ? La réponse de Kirk était stupéfiante…
« Hum, je ne connais pas le nombre exact. Clairement, c’est dans les milliers, quand vous considérez les deux prisons – parce que les deux ont été prises par les talibans et ensuite vidées », a répondu le porte-parole du Pentagone.
Regardez :
Les élections ont des conséquences. Les Américains commencent à voir le danger des élections non sécurisées, comme dans le cas de l’élection largement contestée de novembre 2020 qui a placé Biden à la Maison Blanche.
Les bulletins de vote par correspondance, le vote sans carte d’identité, les travailleurs électoraux rémunérés et les agents démocrates qui utilisent des tactiques illégales pour menacer et intimider les candidats républicains afin qu’ils ne fassent pas leur travail, et les machines à voter qui peuvent être connectées à Internet. Ce sont tous des problèmes sérieux qui doivent être abordés et corrigés avant l’élection de 2022, ou nous pouvons nous attendre à voir plus de ces types d’échecs par les dirigeants démocrates qui soit n’ont aucune idée de ce qu’ils font, soit essaient simplement de faire descendre l’Amérique de quelques crans.
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